Environnement nocturne

Activité électrique cérébrale rapide Maintenant que nous connaissons les trois différents états de vigilance, nous pouvons déterminer ce qu'il se passe durant un nuit de sommeil. Le sommeil, dans les conditions actuelles, est essentiellement nocturne. Le besoin de dormir se fait sentir généralement à la même heure chaque soir, pouvant être annoncé par la fatigue ou des frissons. On est en phase d'éveil passif. Lorsque l'on se couche dans les instants suivants ces signes, l'endormissement est

complet (importance des réveils naturels Peur du sommeil : troubles qui interviennent pdt le sommeil lent, E instable mal ds leur peau Le rite de l’endormissement non respecte Terreurs nocturnes : l’E se réveille brutalement et hurle mais pas de souvenirs Le somnambulisme : l’E déambule La perte d’urine nocturne : E propre qui refait pipi Les balancements Les ronflements Un sommeil de mauvaise qualité Non respect du rythme On ne peut pas récupérer le sommeil, il faut respecter les 24

du sommeil et se retrouvent dans tous les stades de la vie. A) Quels sont les différents types de troubles du sommeil ? D’après les textes étudiés, on rencontre des difficultés d’endormissement, des sommeils agités, des insomnies, des terreurs nocturnes, des cauchemars. Il a été observé dans le cadre d’une colonie de vacances une crise de somnambulisme qui a entraîné une gêne de l’exercice du sommeil collectif. Cela révèle la problématique de « dormir en collectivité ». Dans un premier temps, nous

le sommeil paradoxal, avec une caractéristique première, validée par les chercheurs: il réveille le dormeur, le laissant angoissé. A distinguer du « mauvais rêve » qui, quoique désagréable, se poursuit jusqu’à son terme, mais aussi de la « terreur nocturne », phénomène survenant surtout chez l’enfant, en phase de sommeil profond, qui réveille en sursaut le dormeur mais ne laisse aucun souvenir ou contenu onirique, si ce n’est celui d’une terreur absolue. Les cauchemars peuvent figurer parmi les

respiration anormal lors du sommeil mais à différent degrés. Les troubles du sommeil 5. Le somnambulisme et la somniloquie ; le premier bouge dans son sommeil, alors que la somniloquie parle pendant la nuit 6. L’énurésie ; uriner au lit 7. Terreurs nocturnes ; Plus intense qu’un cauchemars, effrayants. Réveil brutal. 8. Cauchemars ; émotions négatifs transmises dans le sommeil comme la tristesse, la colère… Graphe troubles du sommeil Conclusion  Le sommeil est obligatoire à l’équilibre mental et

difficile, ou bien quand mal dormir altère la santé. Les cauchemars et les terreurs nocturnes Les nuits sont parfois agitées de mauvais rêves, les cauchemars. Ils sont particulièrement fréquents chez les enfants entre 4 et 8 ou 10 ans. Les cauchemars sont des rêves tout à fait normaux (c’est une façon pour le cerveau d’exprimer des angoisses), tant qu’ils ne perturbent pas trop le sommeil. Les terreurs nocturnes sont des crises d’agitation très importantes. Le dormeur crie, halète, son cœur bat

L’histoire Nicolas est conduit à la classe de neige de son père. Il collectionne des bons de Shell ou reçait un bonhomme en plastique où on peut ouvrir la ventre et regarder les organes. Nicolas range les bons dans un coffre-fort. Il a tous ses petits secrets dans ce coffre-fort. Mais c’est dans le coffre de la voiture. les autres de la classe vont dans la classe de neige par autobus, mais parce qu’il a eu un accident dans les semaines précédent le père de Nicolas veut conduire Nicolas lui-même

moquer du cauchemar de l’enfant. Les terreurs nocturnes : elles sont présentes pendant le sommeil lent, l’enfant se met à hurler et pleurer, il est encore endormis mais a les yeux ouverts ; la cause est neurologique et n’est pas inquiétante sauf si celles-ci continuent après l’âge de 6 ans. Il ne faut pas le réveiller, il ne vous voit pas, il faut le laisser cela s’arrêtera quelques minutes après. L’enfant ne se souvient pas de ses terreurs nocturnes, éviter donc de lui en parler pour qu’il ne s’angoisse

perdue permet d'alléger la pression sur les voies respiratoires qui étaient obstruées, et donc de bénéficier d'un sommeil plus réparateur. Ensuite, l'insomnie (incapacité passagère à s'endormir) et la parasomnie (somnabulisme, énurésie, terreurs nocturnes, etc) sont des troubles qui pertubent la qualité du sommeil et qui sont bien souvent liés au stress . Néanmoins, s'entraîner permet de réduire le stress, et donc de réduire les symptômes de l'insomnie et de la parasomnie. En fait, s'entraîner implique

phases 3 et 4 : les signes vitaux se ralentissent tout en devenant réguliers. Au stade 3 persiste une très discrète activité musculaire et les mouvements oculaires ont quasiment disparu. C'est au stade 4 que peuvent parfois se produire les terreurs nocturnes ou le somnambulisme. C'est à ce moment qu'ont lieu les divisions cellulaires et la production de l'hormone de croissance, d'où l'importance du sommeil chez l'enfant. Le sommeil profond occupe environ 1 heure et 40 minutes au cours d'une nuit moyenne