Épée

plus » (l. 26), « faut qu’il s’en aille » (27). 2. Dans l’île aux esclaves, la symbolique de l’objet passe par l’épée d’Iphicrate. Quand il apprend qu’il doit devenir esclave, il tente de tué son esclave avec sont épée mais en ne le laisse pas faire. On lui retire ensuite sont épée pour la passé a Arlequin qui devient le nouveaux maître. L’épée symbolise le pouvoir, la personne qui détient l’épée détient aussi le pouvoir. A la différence dans Les Bonnes, c’est la tasse de tilleul qui est symbolique

noir et blanc = terne - évoquent : mort, mal, souffrance - symboles mythologiques : taureau = brutalité cheval = peuple - femme qui perd son enfant - gens qui crient au secours - homme mort allongé avec épée à la main + fleur (épée = résistance du peuple espagnol, fleur = espoir) Picasso adresse un msg de paix Montre la violence de la guerre Tout le monde souffre Botticelli – La Naissance De Vénus (vers 1485) Alessandro di Mariano di Vanni Filipepi, dit

C`est pourquoi viens le temps où Phèdre veut en finir. Elle n`est plus assez forte pour continuer à se battre contre les sentiments qu`elle ressent. Elle dit à Hippolyte < Au défaut de ton bras prête-moi ton épée>(V.41). Elle veut mourir de la main d`Hippolyte, elle considère que son épée est le prolongement de son bras. Cette occasion est un moment important de la pièce puisque c`est un instant décisif. Au moment de la demande, Phèdre lui demande deux choses, de lui accorder la mort et l`amour

Dans la partie inférieure gauche, on aperçoit un homme démembré symbolisant la résistance du peuple (puisqu’il tient dans ses mains une épée brisée) qui s’avéra meurtrière. De plus, la présence d’une fleur sur son épée représente la paix et donne un peu d’espoir. Le taureau représente la corrida, c'est-à-dire la lutte, le sang. Cependant, il semble ici dominer la situation les gens de sortir car il souhaite une destruction

ais si le grand  Corneille avait su comment sacrer. Voici un extrait fameux du Sid, cette scène fameuse où  Don Rodrigue rencontre le père de Chimene.     D’une main il prend son épée et de l’autre il s’écrit: À moi Calvert deux mots, mais on vous  entend messieurs, mais vous n’êtes qu’un tabarnak. Contempler cette épée félon à travers le  cœur je vais vous la crisser.      

temps de Charles II. La toison d’or au cou. Par-dessus l’habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d’or et doublé de satin noir. Épée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout galonné, rouge et or. Tête nue. Sans épée” *au sein du théâtre: nette distinction établie entre la scène et la salle, aucun passage de l’un à l’autre, ni de la part des comédiens, ni de la part

vassal » employé par le Morholt, il répond de la même façon. - Le héros est aussi mis en valeur l. 19 et 20 par une sorte de tableau : la barque apparaît au sommet d’une vague, « le chevalier se dresse à la proue », « chacun de ses poings tenaient une épée brandie » . La description le place en position de supériorité, de vainqueur. -il fait preuve de noblesse d’attitude vis-à-vis de son ennemi puisqu’il reconnaît devant ses compagnons son courage et qu’il leur remet l’épée ébréchée, preuve de la rudesse

saints. L'alfaqui se servait de ce calice pour boire du sorbet à la neige. Je le surpris dans sa tente comme il portait à ses lèvres le vase sacré. Avant qu'il eût dit : «Allah! >> pendant que le breuvage était encore dans sa gorge, de cette bonne épée je frappai la tête rasée de ce chien, et la lame y entra jusqu'aux dents. Pour rappeler cette sainte vengeance, le roi m'a permis de porter un calice d'or dans mes armes. Je te dis cela, Juanito, pour que tu le racontes à tes enfants et qu'ils

Le Rouge et Le Noir de Stendhal Extrait n°2 – Livre second chap. XVII p.394 à p.395 - l. 89 à 124 La vie et l’œuvre de Stendhal sont profondément marquées par l’Histoire : il est tout jeune lorsque débute la Révolution française, participe à l’épopée napoléonienne puis, devenu indésirable en France sous la restauration, il part en Italie et est contraint de vivre de sa plume. Désireux, ainsi qu’il l’affirme, d’« être le successeur de Molière », il est un fin

mon épée. C’est à vous seul que je la remets, car vous êtes ici le chef ; et je ne voudrais pas la rendre à un homme moins considérable. CLAIRON. Pour la mienne, je puis vraiment la rendre au premier venu. (Aux soldats.) Tenez, prenez. ROSAURA. Et si je dois mourir, je veux, en reconnaissance de cette grâce, vous laisser ce gage d’un grand prix, à cause du héros qui l’a portée. Gardez-la bien, je vous le recommande ; car si je ne sais pas précisément quel secret est attaché à cette épée, je sais