Épée

je sois passé par tout ce par quoi je suis passé, je ne regrette pas les problèmes dans lesquels je me suis engagé, parce que ce sont eux qui m’ont mené là où je voulais arriver. Maintenant, à l’approche de la mort, tout ce que je possède est cette épée, et je la remets à celui qui désire suivre son pèlerinage. J’emporte avec moi les marques et les cicatrices des combats – elles sont les témoignages de ce que j’ai vécu et les récompenses de ce que j’ai conquis. « Ce sont ces marques et ces cicatrices

robe de ses deux mains et lui découvrit le haut de l'épaule; c'était le signal dont les conjurés étaient convenus. Casca le frappa le premier de son épée; mais le coup ne fut pas mortel, le fer n'ayant pas pénétré bien avant. Il y a apparence que, chargé de commencer une si grande entreprise, il se sentit troublé. César se tournant vers lui saisit son épée, qu'il tint toujours dans sa main. Ils s'écrièrent tous deux en même temps, César en latin: "Scélérat de Casca, que fais-tu?" Et Casca, s'adressant

« demain je tue » : présent à valeur de futur proche futur antérieur marquant l’aspect d’achèvement de l’action, donc sa détermination : « j’aurai fini », « j’aurai dit » Représentation du meurtre concrétisée : l’acte est nommé, ainsi que l’instrument « épée » et le « sang » Thème du pari : hypothèses à alternatives (2 sortes de conséquences) reprises par « pile ou face ». Le « que » au lieu de « si » ds la subord hypothétique ajoute une nuance d’injonction faite à l’avenir et à l’Histoire. Le destinataire

et pis encore, si tu me l’as fait. Scapin. – Non, non, ne me pardonnez rien. Passez-moi votre épée au travers du corps. Je suis ravi que vous me tuiez. Léandre

tué le père de Chimène, Don Rodrigue se présente chez elle en lui demandant de le punir avec son épée. Elle lui répond :«Quoi? du sang de mon père encor toute trempée!» (p.94).Ce passage nous explique que l'auteur ne cache certainement pas la violence dans le récit.Au contraire, il le met en évidence avec des phrases exclamatives. Plus loin dans la pièce, lorsque Don Sanche lui revient avec une épee, elle lui donne une réponse semblable à la première citation :«Quoi? du sang de Rodrigue encor toute

Wilson ? Comment la démarche de l’acteur décrédibilise-t-elle le personnage ? Le personnage de Matamore Corrigé des questions On retrouve dans les 4 représentations des attributs caractéristiques de ce personnage-type : costume militaire épée chapeau orné d’un panache Fraise autour du cou Les personnages portent un costume qui mêle des attributs militaires et des attributs féminins et bouffons rappelant notamment les costumes les personnages de la commedia dell’arte Ce qui reste

une lampe ou un soleil. Il ou elle représente peut-être l'œil du peintre, ou celui de Dieu, une lueur d'espoir dans ce massacre. En dessous du cheval il y a un soldat. Il a le corps en morceaux, son épée est aussi cassée. Son corps très abîmé symbolise les horreurs dues à la guerre. Derrière son épée brisée, on trouve une fleur, un fragile symbole d'espoir et de paix dans ce désastre. Sur le côté droit du tableau, on distingue une forme tombante dans les flammes. Ses yeux sont aussi en forme de

porte un casque avec des cornes comme le diable. - Hitler est transformé en animal (dénué de raison, de conscience, de réflexion, de sensibilité). - C’est un animal sanguinaire car il porte une épée qui dégouline du sang versé. - Hitler est révélé comme étant un dominateur sans merci (épée) car il est disproportionné par rapport à la taille de la terre. Il apparaît comme une menace. - Hitler est d’autant plus dangereux qu’il apparaît sûr de lui : en effet, il est impassible et serein

l’amitié véritable : A) Une mise en scène de deux amis exemplaires : 1. Deux comportements exemplaires, présence d’une atténuation : « un peu triste » (L21). 2. On note aussi la présence d’une gradation entre argent et épée « bourse, somme, argent » (L10-13-14) et « quelques querelles, épée » (L15-16) 3. Présence d’une seule caractéristique entre les deux hommes ; lien exceptionnels d’amitiés accentué son lexique : « Amis, l’un et l’autre, nos deux amis, l’ami » (L1-3-7-10) B) Réflexion du lecteur 1

Voici mon épée. C’est à vous seul que je la remets, car vous êtes ici le chef ; et je ne voudrais pas la rendre à un homme moins considérable. CLAIRON. Pour la mienne, je puis vraiment la rendre au premier venu. (Aux soldats.) Tenez, prenez. ROSAURA. Et si je dois mourir, je veux, en reconnaissance de cette grâce, vous laisser ce gage d’un grand prix, à cause du héros qui l’a portée. Gardez-la bien, je vous le recommande ; car si je ne sais pas précisément quel secret est attaché à cette épée, je sais