Épée

était plus blanche que de la neige. Mais il faudra bien du travail à Merldeux pour réussir à égaler les autres : hors de question pour lui de trembler comme un feuille devant un danger. Un jour, Arthur le mit à l'épreuve afin de lui faire gagner une épée. Notre futur chevalier devait se rendre dans la forêt de Brocéliande pour y chercher une plante médicinale. Dévoué, il mit son gambison afin d'amortir les coups en cas de chute, une tunique à la place de la cotte de mailles, son heaume, des grenouillères

morceau de chair GRÉGOIRE Il est fort heureux que tu ne sois pas poisson ; tu aurais fait un pauvre merlan. Tire ton instrument ; en voici deux de la maison de Montague. (Ils dégainent.) (Entrent Abraham et Balthazar.) SAMSON Voici mon épée nue ; cherche-leur querelle ; je serai derrière toi. GRÉGOIRE Oui, tu te tiendras derrière pour mieux déguerpir SAMSON Ne crains rien de moi. GRÉGOIRE De toi ? Non, morbleu. SAMSON Mettons la loi de notre côté et laissons-les commencer

les honneurs il n'en est pas digne. Le futur chevalier pose alors sa main sur la Bible et prête à voix haute le serment des chevaliers. Après cela, les pages l'aide à mettre sa tenue, et à attacher son épée. Il s'agenouille pour recevoir la collée par le seigneur: 3 coups du plat de son épée sur la joue ou du plat de la main sur la nuque. Ensuite on amène son cheval au chevalier et il doit sauter sur son destrier sans l'aide des étriers. Il part au galop en renversant sur son passage une série

noir et le blanc. Le noir représente le mal, la souffrance, la mort et le blanc l'espoir. On voit des gens qui souffrent, une femme qui perd son enfant, des gens qui crient au secours. On voit un homme mort allongé par terre qui tient une épée à la main. Cette épée symbolise la résistance du peuple espagnol. Elle est brisée, mais on aperçoit une fleur qui pousse dessus : Picasso montre ainsi qu'il reste un peu d'espoir que la vie va renaître .On aperçoit également des animaux comme le taureau qui représente

mort de la civilisation. Au premier plan, de gauche à droite on voit une femme avec son enfant mort dans ses bras, un taureau évoquant la force brute et la cruauté, il est également le symbole de l’Espagne, un homme allongé avec une épée brisée dans la main droite (épée qui représente la symbolique de la paix), un cheval qui représente le peuple et la douleur qui est exprimée par la langue pointue comme un couteau, une lampe ayant la forme d’un œil et représentant une lueur d’espoir malgré l’horreur

Centre : cheval qui se fait transpercer par un bâton , lanterne au-dessus de lui et épée cassée au dessous de lui. A droite : 2 blessés hurlent a la mort, la femme tenant la lanterne. Arrière-plan : formes géométrique qui évoquent le chaos et la ville détruite. Rend la scène très violente : corps et visages déformés , désarticulés. Très triste : noir et blanc. Beaucoup de symboles : taureau=violence ;épée cassée=impossible de résister ; Bébé touché=innocents touchés… L’affiche

divin. 2.Son chapeau, son nez, son épée et le fierté sont ici repris et mis en valeur. L'astre qui est ici représenté au premier-plan est la lune. La particularité que cet astre présente est qu'il ressemble à un cheval. Cette figure de style se nomme une métaphore. Cela fait allusion à l'acte 3 scène 12. Voici le passage du texte qui justifie ma réponse: Cette fois, c'en est un !...Il est sur le balcon, il rabaisse son feutre sur ses yeux, ôte son épée, se drape dans sa cape, puis se penche

marquer les esprits de l'ampleur de la barbarie dont l'Homme est parfois capable. La toile est composée de deux plans. Au premier plan se trouvent , de gauche à droite, une femme avec un enfant dans les bras, un taureau, un homme allongé avec une épée et une fleur dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. A l'arrière plan se trouvent des

l'autre et dit : «Il vous arrive peu De courir quand on dort ; vous me paraissez homme A mieux user du temps destiné pour le somme : N'auriez-vous point perdu tout votre argent au jeu ? En voici. S'il vous est venu quelque querelle, J'ai mon épée ; allons. Vous ennuyez-vous point De coucher toujours seul? Une esclave assez belle Était à mes côtés ; voulez-vous qu'on l'appelle ? - Non, dit l'ami, ce n'est ni l'un ni l'autre point: Je vous rends grâce de ce zèle. Vous m'êtes, en dormant

: vers 46 : "supplice si doux". Elle veut mourir de la main d'Hippolyte. Elle mélange le vocabulaire de l'amour et de la mort : voir vers 42. Le vers 48 nous fait penser que pour Phèdre ce serait presque pareil que ce soit son épée ou sa main : elle doit penser que son épée est le prolongement de son bras. Phèdre vient au devant : au vers 43 : on remarque une espèce d'offrande qui pourrait être aussi bien pour l'amour que pour la mort : on a une ambiguïté. L'amour est un don ici : au moment même où