Épée

peur de ce qui pourrait lui arriver car il en était fier. Même sous la menace d’une épée il va dire ceci à celui qui le menaçait : « Je cherche ma légende personnelle. Quelque chose que tu ne pourras jamais comprendre » Le cavalier lui répondit : « Je devais éprouver ton courage. Le courage est la vertu majeure pour qui cherche le langage du monde. » p 176. Santiago rencontre l’Alchimiste qui le menace de son épée mais il n’a pas peur de la mort parce qu’il a décidé d’aller à la recherche de son trésor

sur lui. Ce soleil est source de souffrance : "me faisait mal", "je ne pouvais plus supporter", "douloureux". Le soleil devient une agression, avec toutes les métaphores qui assimilent l'éclat de la lumière à une "lame", un "glaive" et enfin une "épée" : gradation. Ces métaphores associées à des verbes exprimant une action brutale et instantanée, comme : "gicle" et "jailli" : la souffance devient une torture : "rongeait", "fouillait". Le soleil n'est pas le seul à jouer contre Meursault : la sueur

me donner des frissons dans le dos. D’où provinrent les cris, je ne sais pas mais je vis surgir dix zombies. Pris de peur je sortis mon épée, je couru sur les zombies et trancha la gorge d'un de ces dix monstres. Je la planta en plein cœur deux de ces immondes créatures, coupa en deux trois zombie. J'en démembra trois autres et finis en beauté en enfonçant mon épée dans la gorge du dernier zombie. Je retourna chez moi, couvert de sang de zombie. Je tenais dans ma main droite l'épée qui avait réussi

désormais inutile. A coté d’elle se trouve le taureau qui ne semble ressentir aucune peine pour cette mère qui perd son enfant et même son regard semble inquiétant. Au sol, il y a un homme décapité tenant une épée. C’est la seule figure masculine du tableau. Son bras est sectionné et son épée qui est brisée rappel l’héroïsme de son combat. Puis il y a un cheval qui semble envahit de douleurs. A droite, hurlant aussi, les bras tendu vers le ciel en signe de détresse et d’imploration, une autre femme

tableau, on peut voir de nombreux éléments: Tout d'abord, les objets présents sur ce tableau, comme l'ampoule au plafond. Cette lumière symbolise une explosion, il y a également une épée cassée en bas du tableau, qui montre la défaite du peuple face aux bombardements. On distingue une petite fleur au dessus de cette épée cassée, qui représente une petite trace d'espoir, tout comme la colombe à gauche de la lumière, qui donne elle un espoir de jours meilleurs, où la paix régnera et non la guerre. Ensuite

cette forme est due à Chrétien de Troyes. L'étymologie de ce nom ancien, connu sous plusieurs variantes (Excalibor, Escalibor, Excaliber, Calibourne) n'est pas déterminée avec certitude, d'autant que « Excalibur » n'est pas le seul nom connu pour cette épée : par exemple, dans le conte Le Chevalier au Papegau, elle s'appelle Chastiefol. Le mot « Excalibur » est une altération savante d’éléments linguistiques issus du brittonique. L'épée d'Arthur s'appelle Caledfwlch en gallois (prononc. kalètvoulr)

Licence : Domaine public 1 V Car Roland sent que la mort est proche : Par les oreilles lui sort la cervelle. Pour ses pairs il prie que Dieu les appelle, Et pour lui-même implore l'ange Gabriel. Prenant son olifan dans une main, Et Durandal son épée ; De plus d'une portée d'arbalète Il s'avance vers l'Espagne. Au sommet d'un tertre, sous deux beaux arbres Il y a quatre blocs de marbre luisant; C'est là qu'il tombe à la renverse, sur l'herbe verte; Il s'est évanoui, la mort est proche. V

comme un supplice supplémentaire imposé par le Ciel comme un châtiment des Dieux en utilisant le champ lexical de la religion ligne 5 « âme », « ciel » et « puni ». Il va aussi sacrifier son statut de nobles pour Manon en rompant son épée ligne 16 « Je rompis mon épée » qui est le symbole ultime d’un chevalier. Il va aussi faire un sacrifice total pour Manon en la laissant partir. En utilisant la figure de style de la métonymie à la ligne 18 « pris soin de l’envelopper de tous mes habits pour empêcher

témoins de cette scène. | |Preuve |« […] je me tendais tout entier pour triompher du soleil et de cette ivresse opaque| | |qu'il me déversait. À chaque épée de lumière jaillie du sable, d'un coquillage | | |blanchi […] mes mâchoires se crispaient. » | |

Maléfique fait emprisonner le Prince dans son château sur la Montagne interdite. Les trois fées retrouvent le Prince, le libèrent et l'arment d'une épée de vérité et d'un bouclier de vertu. Il s'échappe et combat alors Maléfique qui se métamorphose en dragon. Philippe, avec l'aide de la magie de Flora, parvient à transpercer le cœur du dragon avec son épée, tuant Maléfique sur le coup. Philippe galope alors vers le château et embrasse Aurore qui se réveille. Le château et ses occupants se réveillent