Épée

pointes irrégulières nous laissent à penser qu’elle s’effondre devant une maison en flammes.Sur la partie droite de la composition : A droite du cheval, une femme court.De l’autre côté de la composition, une statue guerrière est allongée au sol, une épée brisée à la main. Cette statue est brisée en plusieurs morceaux creux, éparpillés au sol. D’une ouverture carrée, nous voyons s’avancer une tête humaine et un bras tenant une lampe à pétrole au dessus de la scène. (...) La scène ne se déroule donc

combattre le géant d'Irlande appelé le Morholt sur l'Ile Saint-Samson. Il sort vainqueur du duel mais au cours du combat, il est blessé par l'épée empoisonnée du géant. Se voyant voué à mourir, Tristan demande alors à partir seul sur une barque avec son épée, afin de mourir en homme libre. Mais après sept jours d'errance, Tristan est sauvé par des pêcheurs irlandais qui l'amènent à Weisefort. Il est alors soigné par Iseut la blonde, la fille du Roi d'Irlande. Défiguré en raison du poison, il se fait passer

portant son enfant mort, la douleur est exprimée par la langue pointue comme un couteau. La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ. On voit aussi un homme mort allongé par terre qui tient une épée à la main. Cette épée symbolise la résistance du peuple espagnol. Elle est brisée, mais on voit une fleur qui pousse dessus : Picasso montre ainsi qu'il reste un peu d'espoir que la vie va renaître. On aperçoit également des animaux comme le taureau qui représente

l’autre La premières = la présence scandaleuse dans la maison du Comte La deuxième, qui vient aggraver la première = la présence de son épée encore trempée de sang du Comte. Effet de surprise + présence de l’épée = spectaculaire Partie 1 On peut arrêter la première partie au deux premiers vers de Rodrigue (v 870) quand Rodrigue rengaine son épée « je fais ce que tu veux, mais sans quitter l’envie, De finir par tes mains ma déplorable vie. Partie 2 A partir de la fin de la page

vont de la haine à l'amour , du mépris à l'admiration (et inversement). -caractère romanesque de la scène tellement poussé qu'on peut parler de rame de théâtre. -épée : symbole de la bataille , chevalerie , tragédie -scène théâtrale : mélodrame et tragique : ridiculisé par Stendhal , le jeu des personnages -épée ridiculisée :épée raillée , qui ne peut pas « tuer » toujours qualifiée négativement -Mathilde paraît être contente de se faire tuer par son amant ne prend pas peur => admiration

et les questions qui en découlent à l’aide de questions rhétoriques à la ligne 6 avec « Si vous y tenez cependant – mais non pourquoi ? – Emporte le flambeau si tu veux ; ». Il s’imagine où son cousin posera son épée en entrant comme on peut le constater à la ligne 20 « il posera son épée là – ou là – oui, sur le canapé. » ainsi que de quelle manière il va s’installer « couché, assis ou debout » (l.22). Ou encore dans le « Lamento du Jardinier » dans lequel le jardinier essaye d’imaginer sa vie sans

foulard en direction de sa mère, à nouveau enceinte. Marguerite apprend les bonnes manières auprès de sa dame de compagnie mais reste un garçon manqué. Elle prend au sérieux les propos de Ferre, le forgeron, lorsque celui-ci lui promet de lui forger une épée quand elle sera devenue grande. Mais Marguerite veut l’épée tout de suite ! Un peu plus tard, elle surprend la conversation de lingères, qui évoquent les infidélités du comte et se demandent pourquoi il parvient sans souci à faire des fils aux paysannes

impératif « Va te recoucher, Viens par ici », méprisant «le Hongrois », affectif : « mon ami », sensible aux plaisirs charnels : « Qu’elle se fasse […] sortir ». Giomo -> brutal (physiquement/verbalement) : didascalies « saute sur lui et le désarme, épée à la main », injures (oxymores) « maître sot, honnête rustre, brave canaille », respectueux du duc : formes de politesse « Altesse, Monseigneur », menaçant : menaces « si tu tiens à tes oreilles ». Maffio -> soucieux de son honneur, de celui de

chevaliers s'y essayèrent en vain. Des années plus tard, Arthur accompagna son frère Ké qui se rendit à Londres pour assister à un tournoi organisé parmi les seigneurs du royaume afin de trouver un successeur au trône. S'apercevant qu'il n'avait pas son épée, Ké chargea Arthur d'en trouver une. Sans connaître la signification de l'épée dans le roc, Arthur s'en saisit et miraculeusement la retira sans aucun effort. Puis il la remit au chevalier ébloui par cet exploit. C'est ainsi que fut désigné l'héritier

d'affection : il l'embrasse, la considère, la regarde 3- Mort symbolique du personnage de Manon On assiste ici a une mort sociale de Des Grieux qui va à partir de ce moment la, se couper du monde extérieur. « rompis mon épée » → ce qui montre que Des Grieux brise son épée et abandonne son rang de chevalier. Il enlève ses vêtement pour protéger Manon, et puis se dépouille de tout ce qu'il a sur lui en symbole de la mort de Manon, puis enterre tout avec Manon. III) Naissance d'un narrateur