Épée

: vers 46 : "supplice si doux". Elle veut mourir de la main d'Hippolyte. Elle mélange le vocabulaire de l'amour et de la mort : voir vers 42. Le vers 48 nous fait penser que pour Phèdre ce serait presque pareil que ce soit son épée ou sa main : elle doit penser que son épée est le prolongement de son bras. Phèdre vient au devant : au vers 43 : on remarque une espèce d'offrande qui pourrait être aussi bien pour l'amour que pour la mort : on a une ambiguïté. L'amour est un don ici (cf dernier vers)

soldat agonisant : le corps est en morceau (barbarie de la guerre, violence des bombardements) et on peut voir beaucoup de cicatrices sur ses bras. Ce soldat tient dans sa main une épée cassée : c’est le signe de l’armée républicaine antifranquiste battue, mais on peut l’interpréter comme symbole de paix : une épée brisée voudrait dire que la guerre s’arrête. En haut, un peu à droite, on voit une sorte de fantôme qui porte un flambeau : c’est sans doute un clin d’œil à la Statue de la Liberté.

qui, seul, peut faire traverser les âmes, moyennant salaire. Ce personnage hante en effet Monsieur de Sainte Colombe puisqu’il se trouve sculpté sur la lame de son épée : « On y voyait, bosselée, en relief, la figure du nocher infernal, une gaffe à la main ». C’est Marin Marais qui le remarque, lorsque Saint-Colombe ceint son épée pour rendre visite à Baugin. L’intérêt que porte le jeune homme à ce qui pourrait sembler un détail, est en fait un indice pour le lecteur, une sorte de clé de lecture

main sur un anneau lise et rond et le fourre dans sa poche. En continuant sa route il arrive devant une rivière où vit un être petit et visqueux du nom de Gollum. Celui-ci lui proposa un concours d'énigme n'osant pas l'attaquer en voyant sa courte épée elfique que le hobbit avait pris dans la caverne des trolls, lui promet de lui montrer la sortie si le hobbit gagne ou de le manger s'il perd. Ils se posent mutuellement des énigmes jusqu'à ce que Bilbo mette la main dans sa poche et au

du soleil exerce une emprise : impossible d'échapper 2-LA SOUFFANCE DUE AU SOLEIL #malaise : « Me faisait mal »(10) , « je ne pouvais plus supporter »(11) , « douloureux » (19) + lumière associée à « lame »(15) , « un glaive »(18) et à « une épée » (19) + verbes d'action « giclé », « jaillit » = idée d'une agression, caractère agressif de la lumière. #souffrance → torture = « rongeait », « fouillait » #sueur : « la sueur amassée dans mes sourcils »(15), « J'ai secoué la sueur »(23) + métaphore

athlétique. Il arbore tous les signes de la virilité guerrière nazie :  musculature  surdéveloppée, port de l’arme, visage  implacable de  détermination au combat.  Sûr de sa puissance, il  est prêt à se battre. -Ce guerrier est en train de dégainer son épée, prêt à se battre. Il se tient très droit, le genou replié et qui s’ appui sur un rocher. -Il est nu. -On peut imaginer un ennemi invisible dans le hors-champ.
-Les muscles sont en tension.
-Le torse est hypertrophié ( augmentation de la taille des

et hurlant de douleur. Derrière elle, un taureau semble avoir été violenté. A droite du tableau, dans la partie la plus claire des trois femmes désarticulées, pleurent ou hurlent. En bas je peux voir une tête d'homme et un bras coupé qui tient une épée brisée. La main porte une fleur. Malgré ce désordre apparent, la construction du tableau reste rigoureuse. Les lignes de forces qui sous-tendent la composition divisent le tableau en 3 parties en analogie avec l’organisation traditionnelle des triptyques

bras. Au centre, un cheval s'effondre, le flanc troué d'une lance, bouche ouverte, la langue acérée comme un dard. Sur le sol carrelé s'étalent en deux tronçons les restes d'un guerrier, la main gauche grande ouverte, la main droite crispée sur son épée rompue. Tout à droite, une femme transformée en torche vivante tombe dans le vide, bras tendus, tête révulsée. Au-dessous d'elle, s'étire le corps d'une autre femme, bras pendants, fuyant. Par une fenêtre ouverte, qui donne on ne sait où, surgit une

événements représentés par le tableau seront donc ébruités grâce aux journaux. 1er plan : les personnages De gauche à droite : une femme avec son bébé mort dans les bras, un taureau, un oiseau blessé que l’on distingue à peine, un soldat mort avec une épée brisée dans la main droite, une fleur, un cheval transpercé par une lance, un plafonnier, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme blessée s’enfuyant, une femme en proie aux flammes. Tous les regards convergent

mourir d’une balle. Les Espagnols envoient des boulets de canon qui tombe sur les maisons et affolent la population. Citlal dresse des pieux pour transpercer les bateaux qui approcheraient. Les Espagnols débarquent, Citlal se munit d’une véritable épée et se bat. Elément de résolution Les Aztèques se rendent et Citlal retrouve Mia qu’un vieil homme avait repêchée et soignée. Situation finale Il ne reste de Tenochtitlan que des ruines. 2) Les personnages : Portrait détaillé d’un personnage précolombien ;