Éphèbe

artificiels et superflus (« Au corps, nous voyons qu'il est peu de besoins. Tout ce qui lui épargne la douleur est aussi capable de lui procurer maintes délices. La nature n'en demande pas davantage : s'il n'y a point dans nos demeures des statues d'or, éphèbes tenant dans leur main droite des flambeaux allumés pour l'orgie nocturne ; si notre maison ne brille pas d'argent et n'éclate pas d'or; si les cithares ne résonnent pas entre les lambris dorés des grandes salles, du moins nous suffit-il, amis étendus

apparaître les régisseurs qui gèrent des domaines de taille plus ou moins grande pour le compte de riches propriétaires restés en ville. La chôra est parcourue par les patrouilles d'éphèbes, au cours de ce qui correspond à leur service militaire. Ces éphèbes sont cantonnés dans de nombreux fortins, constructions militaires qui parsèment la chôra et qui sont indispensables en cas d'attaque pour assurer la protection de la cité et offrir un premier refuge aux citoyens. A Athènes le territoire civique est

n’est qu’ébauche dans l’Iliade, il devient passion dans l’Odyssée. Arès venait voir Aphrodite la nuit de peur que Hélios le soleil qui voit tout rapportât les faits à Héphaïstos, époux légitime d’Aphrodite. Arès poste devant la porte un jeune éphèbe du nom d’Alectryon qui devait l’avertir afin qu’il puisse quitter la chambre avant le lever du soleil. Malheureusement, un matin, ce dernier oublia la consigne et les deux amants furent surpris par Hélios. Celui-ci raconta à Héphaïstos ce qu’il

antiques, de l’Ancien Testament et littéraires : Ex : la fresque de la chapelle Sixtine de Michel Ange, commandée par le pape Clément VII (un Médicis) (diapo 20 à 23). Sources antiques : représentation d’Apollon, la Sibylle..Jésus imberbe comme un éphèbe des statues grecques de l’Antiquité. L’Ancien Testament : la création d’Adam, le Jugement dernier entre les damnés à droite et les justes à gauche. Sources littéraires : La Divine Comédie de Dante (1303-1304) avec deux personnages en bas à droite

aujourd’hui reconstituer la cérémonie des funérailles d’Archippè. Selon les usages grecs, il semble que la défunte a été exposée durant quelques jours dans sa demeure. Puis sa dépouille aurait été emmenée en cortège solennel par le gymnasiarque et les éphèbes, suivis des notables de la cité et de tous les habitants conviés par les autorités, jusqu’au lieu de sépulture. Durant ce trajet, la dépouille d’Archippè fut couronnée d’or tandis que les plus hauts magistrats civiques, les stratèges, rappelaient

néoclassique, ses tableaux plurent cependant aux Romantiques grâce aux sentiments exaltés représentés[1]. Sa peinture n'est pas dénuée d'une certaine sensualité ; l'un des tableaux les plus représentatifs étant son Endymion dont la représentation en éphèbe alangui, sans aucun relief de musculature, va à l'encontre des canons classiques. Honoré de Balzac en fait l'éloge dans Sarrasine, (1831)[2],[3]. Par ailleurs grand admirateur de Girodet, Balzac le cite encore dans La Bourse[4]. Autre tableau particulièrement

possédait Athènes en 325 était donc d’une grande nouveauté architecturale. Les réunions de l’assemblée du peuple se déroulaient dans le théâtre. Cependant, elles étaient limitées à quelques affaires (examens des grandes Dyonisies et la revue des éphèbes dans la deuxième année du service). Ainsi, Héracleides nous fait part de l’opulence des bâtiments dans la cité. Sa vision ne semble pas complètement objective cependant. Mis à part le Parthénon, rien ne semble réellement au dessus du reste de ce

pédotribe du secondaire et le gymnasiarque pour les éphèbes. Le texte 1 de la page 37 nous dit que «  Ptolémaïs ne vous demande de gage » les maitres était rémunéré par les parents, ce qui donnait un salaire faible, sauf les plus aisés. Les sophistes et recteur avait un bon niveau de vie. Le texte 3, nous dit que Démas assurait la présidence du gymnase. C'est-à-dire qu’il était gymnasiarque. Le gymnasiarque en plus de occuper des éphèbes avait de grande responsabilités, il fournissait

Doryphore de Polyclète, |Phidias. Surtout intéressé par la figure humaine, Polyclète crée un canon | |Musée archéologique national |(une règle) de proportions qu’il illustre vers 440 par son Doryphore | |de Naples |(éphèbe, jeune sportif, porteur de lance) : la hauteur totale du corps, | | |dont l’équilibre robuste et harmonieux tient à la musculature puissante, à | | |la souplesse des membres et au léger

comparable à des vedettes. Certaines d’entre elles ont bravé les marches de la haute société, elles sont nanties. Ne laissent aucun être de sexe masculin insensible. Par leur beauté, même les maçons se métamorphosent en poètes. Ils sont des adonis, des éphèbes, ont des corps de mannequins ne peuvent laisser aucune femelle imperturbable. On pourrait passer toute son éternité à les contempler, tellement ils sont appétissants qu’en les fixant, on penserait qu’ils n’ont que des qualités. Certains d’entre eux