Epicure Et Le Plaisir De La Nourriture

preuve de l’utilitarisme (chap IV) et les rapports entre la justice et l’utilité (chap. V) Mill se distingue de Bentham (hédoniste : plaisir, le bien suprême) par le summum bonum. Mill refuse la relation causale directe entre les actions humaines et la recherche de la satisfaction que Bentham croyait pouvoir observer. Mill : idée d’une différence qualitative entre les plaisirs. Le bonheur ne se réduit pas à une addition de satisfactions et d’expériences agréables. Utilitarisme de Mill = « utilitarisme

conscience de ce qui manque , l’ être va tenter de combler ce manque . Si nous prenons l’ exemple de la faim , le corps manifeste , fait savoir qu'il est en manque de nourriture , il y a un besoin qui demande à être satisfait . Peut – on alors parler de désir ? Le tout jeune enfant , qui ressent la faim a besoin de nourriture n’ a – t – il pas aussi le désir d’ appaisement de la sensation désagréable que procure la faim ….? Ne peut – on envisager que ce jeune enfant désire mettre fin à ce

théorie des idées ........................ Chapitre 4 : Aristote, science et réalisme dans un monde imparfait .................................................. Chapitre 5 : Diogène le cynique......................................... Chapitre 6 : Épicure et les épicuriens ............................... Chapitre 7 : Les stoïciens et l’art de vivre ......................... Chapitre 8 : Les sceptiques : douter pour être heureux .............................................................. Chapitre

inutiles voir nuisibles à ce dernier. La privation utile est d’avantage nécessaire au plaisirs immédiats. La thèse d’Epicure vient alors démontrer ceci. Selon lui, le bonheur dépend de nos choix ainsi que de nos actions. Il est possible d’atteindre le bonheur notamment grâce à une méthode rationnelle. Le bonheur se réfère en premier lieu au plaisir : “le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse”. Par plaisir, le philosophe entend une suppression de la douleur, c’est ce que nous ressentons

| II) ------------------------------------------------- Le sujet de droit A) Qu’est-ce qu’agir selon la raison ? | B) Agir selon la raison, est-ce renoncer au bonheur ? | C) Agir selon la raison, est-ce renoncer au plaisir ? | I) Le sujet de la connaissancePbque : L’homme peut-il vraiment se connaître lui-même ? | A) La conscience permet à l’homme d’accéder à son essence. | a- Qu’est-ce que la conscience ? | Nous avons défini la conscience en

de penser comme il faut... Penser fait la grandeur de l'homme...Toute notre dignité consiste donc en la pensée ». Et DESCARTES a précisé « C'est proprement avoir les yeux fermés sans tâcher jamais de les ouvrir que de vivre sans philosopher, et le plaisir de voir toutes les choses que notre vue découvre n'est point comparable à la satisfaction que donne la connaissance de celles qu'on trouve par la philosophie, et enfin cette étude est plus nécessaire pour régler nos mœurs et nous conduire en cette

se reposer… Le besoin serait donc une dynamique naturelle, nécessaire, répondant à un déséquilibre objectif et mesurable, et par là-même facile à satisfaire : une fois l’équilibre corporel restauré, le besoin disparaît, accompagné en outre d’un plaisir qui est le signe du retour à l’équilibre naturel. Tel n’est pas le cas du désir : celui-ci s’inscrit toujours dans un cadre culturel dont il dépend. Ainsi, mon désir de boire du café plutôt que du thé est-il signe de mes origines et de mon éducation

1. Le sujet La conscience : Descartes, Discours de la méthode La perception : Alain, 81 Chapitres sur l'esprit et les passions L'inconscient : Freud, Métapsychologie Autrui : Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception Le désir : Épicure (342-270 av. J.-C.), Doctrines et Maximes L'existence et le temps : Pascal, Pensées, Lafuma 47 (1670) 2. La culture Le langage : Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes L'art : Hegel, Esthétique I Le travail

désir se distingue du besoin, simple incitation physiologique. Je peux, par exemple, éprouver des crampes d’estomac sans savoir que ma douleur tient au manque de nourriture. Le désir est la tendance devenue consciente de son objet. Je prends conscience que j’ai faim et mon désir va alors se rapporter à un objet précis : telle ou telle nourriture. Repère conceptuel : besoin/désir. On oppose le caractère naturel du besoin au caractère artificiel du désir. Manger, boire, dormir seraient des besoins

complexité ? Le désir est l’épreuve d’un manque, accompagné de la représentation imaginaire de l’objet manquant, de l’attente du plaisir espéré. Désirer c’est vivre déjà-là un plaisir futur, si bien qu’une fois l’objet obtenu, s’ensuit fréquemment une déception qui trahit le plaisir escompté. Le désir est à la fois l’attente d’un plaisir futur, et le plaisir présent de désirer. Il ne procède pas d’un manque vital comme le besoin, mais d’une insatisfaction infinie à l’égard du sujet désiré. Le