Epicure Quand On Est Jeune

Lecture analytique n°1: « Quand vous serez bien vieille » INTRO: Ronsard, prince des poètes, ecclésiastique, a célébré l'amour tout au long de sa vie, Il s'agit d'étudier l'un des nombreux poèmes adresser à Hélène de Sugère, Ronsard vieillit , malade , presse Hélène de profiter de la vie, Carpe Diem. Fidèle a ses représentations poètique il associt la rose et la femme dans ce sonnet qui montre les aspects de la vieillesse. PLAN: I/Philosophie de la vie II/Déclaration d'amour insolite

la condition humaine. Et on peut le voir dès la première phrase de l'extrait puisqu'il dit bien « Pour moi j'aime la vie et la cultive tel qu'il a plu à dieu de nous l'octroier ». L'hédonisme est une doctrine philosophique formulée par Aristippe le Jeune et qui énonce que la finalité de l'existence est de vivre agréablement, d'assouvir ses plaisirs et désirs personnels. C'est ce que l'on peut comprendre du verbe « cultiver » de cette première phrase. Ainsi Montaigne se lance dans ce premier paragraphe

ème siècle, le mouvement culturel est le baroque. La société est très croyante. La France a pour souverain Louis XIV qui règne en monarque absolu. Dans cette même période apparaissent les libertins. Ils reprennent les idées du philosophe grecque Epicure. Ils sont athées, pour la liberté d'expression et posent face à la croyance le savoir. Pour cela ils s'appuient sur la raison et le progrès de la science. Avec notamment la découverte de l'héliocentrisme par Gallilé qui remet en question le dogme

 Quand on est jeune il ne faut pas hésiter à s'adonner à la philosophie, et quand on est vieux il ne faut pas se lasser d'en poursuivre l'étude. Car personne ne peut soutenir qu'il est trop jeune ou trop vieux pour acquérir la santé de l'âme. Celui qui prétendrait que l'heure de philosopher n'est pas encore venue ou qu'elle est déjà passée, ressemblerait à celui qui dirait que l'heure n'est pas encore arrivée d'être heureux ou qu'elle est déjà passée [...] extrait : les dieux « En premier lieu

soiConscience  : · Philo . Spontanée. Réfléchie · Morale. Spontanée. RéfléchieLa conscience psychologique spontanée désigne la connaissance immédiate de ce qui se passe en nous « quand je pense, je sais que je pense ».La conscience psychologique réfléchie est la capacité de la pensée à se penser elle-même.La conscience morale est la connaissance de nos actes, ou de nos pensées, rapportée aux notions de bien et de mal. Elle peut être

est l’incipit du conte, il nous présente les personnages et porte déjà une visée critique. I. L’incipit 1) La mise en place du récit • Présence de descriptions, à l’imparfait : « comme ils s’attendrissaient ». • Où ? « Baie de St Malo ». • Quand ? « 1689, le 15 juillet au soir ». • Qui ? Les Kerkabon et le Huron. • Quoi ? Rencontre entre un individu étrange et deux nobles : un prêtre et sa sœur. 2) Un incipit annonciateur de la suite du récit • Mise en place de l’intrigue : arrivée

d'agir ? Ne faut-il pas considérer que certains désirs sont plus naturels que d'autres au sens où ils seraient plus sensés que d'autres  désirer : Tendre vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir.   " Le jeune Freud se dit très tôt " mû par un désir de savoir "  * La soif de conaissance * Est il absurde de désirer l’impossible * "Malheur à celui qui n’a plus rien à désirer !" Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) Le désir étant par essence illimité

Ronsard, Sonnets pour Hélène (1578), « Quand vous serez bien vielle » Introduction Ronsard (1524-1585), auteur de la Renaissance, poète officiel de la cour de Catherine de Médicis. Appartient au groupe de la Pléïade, comporte 7poètes, se caractérise par un gout affirmé pour la littérature antique (poésie, maths, astronomie...) (Pléïade : nom des 7filles d’Atlas que Zeus métamorphose en étoile). Il est appelé « le Prince des poètes ». Ce sont des poètes humanistes (du latin humanistas : lettres

INTRODUCTION Le thème de la fuite du temps constitue l'un des lieux-communs du lyrisme. C'est cette veine qui inspire Ronsard quand il publie ses Odes en 1550. Dans le 17 poème du Livre I, le poète adresse son monologue à une jeune fille dans laquelle on peut reconnaître Cassandre Salviati (alors âgée de 13 ans), rencontrée en 1545 dans une fête à la cour de Blois, dont, à 20 ans, il était tombé amoureux. Il développe ici le thème de la fuite du temps associé à la tentation de l'amour, dans un

presque toujours", c'est à dire que pour lui la chimère qu'il poursuis est tellement parfaite que tout ce qui est réel autour de lui est empreint de nullité qu'il dédaigne et rejette; alors qu'il peut être la clef de son bonheur. Prenons par exemple un jeune homme qui recherche la femme de sa vie; il va tellement idéaliser cette femme, la rendre belle, serviable, douce, gentille, intelligente, bref parfaite qu'il va rater quelqu'un d'imparfait qui se rapproche pourtant de très près à la femme désirer.