Épigramme

il se livre à des études mathématiques ; il envoie à l'Académie des sciences des mémoires sur des questions de physique. Il expose et vulgarise le système du monde de Newton. Il écrit des contes en vers, des épîtres, des poésies fugitives, des épigrammes, des satires ; il lance des pamphlets mordants contre ses adversaires littéraires ou autres. Ce ne sont là que des distractions. Une autre étude l'a saisi qui ne le passionne pas moins que le théâtre : l'histoire. Dès sa jeunesse l'histoire l'a

compétition à laquelle il assistait, selon Diogène Laërce : « Thalès le Sage mourut en assistant à une rencontre sportive, du fait de la faim, de la soif, et de la faiblesse de l'âge ». Ce dernier aurait écrit une épigramme à ce propos, rapporté au premier livre de son ouvrage Épigrammes (Pammétros) : Portrait de Thalès, dans l'ouvrage de Diogène Laërce : Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres Tandis qu'il contemplait une lutte sportive, Zeus Solaire, tu as, hors du stade, ravi

très jeunes filles, musicien et maître de musique de la famille de Gondi, prêtre romain, évangéliste, composa, entre autres pièces maîtresses, un improbable Blason du cul. -Jean Visagier, Gilbert Ducher, Nicolas Bourbon écrivent en latin des épigrammes ou des odes. -Guillaume Aubert (1534?-1600?) rédigea quelques poèmes de circonstance. Il publia en 1568 les poésies de du Bellay. Francesco Petrarca, en français Pétrarque (né à Arezzo, 20 juillet

auteurs antiques qui ont suivi Homère, sont contradictoires, pas toujours plausibles, contiennent souvent des conjectures évidentes. Juste après la disparition d’Homère, les Grecs ne savaient même pas ses origines, ce qui s'est reflété dans la célèbre épigramme de l’ "Anthologie grecque." ( un ensemble La version antique de la cécité d’Homère est vraiment douteuse. Les détails de « L’iliade » et de "L'Odyssée" montrent clairement que leur auteur a vécu sa vie avec une capacité fantastique de voir les

systématique aux genres anciens. En revanche, le XVIIème siècle verra paraître des Odes (genre déjà utilisé auparavant par Ronsard au XVIème siècle) comme celle sur la prise de Namur de Boileau. De même, classicisme est synonyme de renaissance des épigrammes (comme celles d’Ovide), des épîtres et des satires du style d’Horace. Les poésies s’inspirent des épopées du type d’Homère et de Virgile. Symbole d’une littérature basée sur la clarté, l’ordre, la règle, les écrits classiques sont fondés sur la

Théophile entre au service du comte de Candale en qualité de secrétaire poétique. Il a des façons impies et licencieuses qui flattent l'hostilité de l'aristocratie face au despotisme croissant. À travers les odes et les stances, les satires et les épigrammes du premier recueil de ses Oeuvres poétiques (1621-1623), Théophile confesse son libertinage spirituel avec une telle candeur et un tel succès que la morale en vigueur s'en offense en la personne de deux zélés jésuites. Au reste, ce temps, qu'inquiète

qui posent la frontière entre prose et vers : strophes variées avec les mètres de prédilection (octosyllabes/ alexandrins), calligrammes (appelés dans les lettres : idéogrammes lyriques), blason, ode, fable, dialogue, poème épistolaire, sonnet, épigramme, acrostiche… et des strophes proches de la chanson populaire, verset, vers libres… Procédés : comparaisons et analogies dans toute leur richesse (lexicale, phonique…), litanie, poésie énumérative,… Ainsi, recueil qui permet d’approcher un poète

affirme une déclinaison bien à elle, en jouant sur les stéréotypes de la femme séductrice : le fétichisme, où se croisent la robe fourreau, le décolleté, les porte-jarretelles, les bas, les lanières, le fouet, les gants montants, vient percuter ses épigrammes poétiques. Ce contraste fait imploser l’expression aguicheuse du dessin. Son œuvre provoque un questionnement, foulant aux pieds les archétypes de la « femme marchandise »[2]. Déjouant la fausse perfection de la publicité et les redondances du

systématiques aux genres anciens… Le xviie siècle, lui, verra paraître des odes (genre déjà utilisé par Ronsard il est vrai), comme celle sur la prise de Namur de Boileau, ou celles, moins connues, sur Port Royal des Champs, par Racine. On voit renaitre les épigrammes, comme celles de Martial ou d'Ovide, les épîtres ou les satires du style d'Horace (cf notamment Boileau.). L'on assiste aussi à la renaissance de l'épopée de type Homérique ou Virgilienne. Mais ce genre ne connait aucun succès. Voire notamment la

|Prétérition |Zeugme ou zeugma | |Antistrophe |Epanorthose |Madrigal |Principe | | |Antithèse |Epigramme |Maxime |Prosopopée | | |Antonomase |Epigraphe |Métaphore |Protase | |