Épire

conquit, et il garde évidemment les « entrave de la Grèce » 275 : invasion de la Macédoine par Pyrrhos, roi d'Epire, de retour de son expédition en Italie et Sicile. S'en débarrasse en 272-275. Manifeste sa capacité à resiter aux invasions : Epire et montre sa capacité à défendre son pays:et permet de fondé une dynastie courte b) Le Dveloppement des « Koina » : etat féderaux : le koinou, le 1er a se dvlp est le étoliens puis achaien : s'explique par situation instable en grèce qui

fend! Sitôt que tu es arrosée, Au point du jour, de la rosée, Tu fais en l'air mille discours; En l'air des ailes tu frétilles, Et pendue au ciel tu babilles Et contes aux vents tes amours. Puis du ciel tu te laisses fondre Les chênes de Dodone, en Épire, prédisaient l’avenir par leur bruissement. Vallée de Thessalie 3 Montagne grecque 4 Un jour. 5 Poème lyrique divisé en strophes de nombre égal à la mesure des vers. 1 2 5 10 15 D.R. 2011 - XVIe Page 14 20 Dans un sillon vert

n'atteindraient leur nouvelle patrie que lorsque la faim les obligerait à manger leurs tables5,6. Finalement en route vers la Grèce, évitant les Îles Échinades au souvenir amère qu’il a d'Ulysse, l'abordage du groupe se fait sur les côtes d’Épire. • L’ EPIRE : Arrivés en Épire par le port de Buthrote en territoire chaonien, Énée et ses hommes rencontrent Hélénus, devenu roi du pays et époux en secondes noces d'Andromaque, veuve d’Hector. Ils racontent à Énée ce qui leur était arrivé à la suite de la chute de Troie :

un animal de luxe voué essentiellement au transport et aux concours, caractéristique d'un mode de vie aristocratique. Les chevaux les plus réputés sont élevés dans les plaines thessaliennes et en Argolide. On élevait également chevaux et bovins en Épire, Béotie, Messénie et Eubée. B- La richesse due aux troupeaux -Dans « l’oikos » [= « maison » au sens large], le patrimoine du maître de la maison rassemble ses terres, ses terres de culture, ses pâturages sur lesquels vivent ses troupeaux, et

Ville to y est Athènes, elle concentre l’essentiel des flux to. (acropole où se trouvent les ruines, le Parthénon…). Agora, Voie Sacrée, théâtres, sanctuaire de Delphes au dessus du golfe de Corinthe… * La Grèce du Nord : Macédoine, Thessalie, Epire, Trace… centres d’intérêts dispersés. Régions moins to (L’Epire est plutôt montagneuse et visitée pour ses paysages sauvages…) Le Péloponnèse est fréquenté dans sa partie du N-E avec le site de Corinthe qui est un ancien carrefour commercial antique

honoré dans tous les pays grecs, en particulier au sommet des montagnes : sanctuaires de Dodone, d'Olympie, de Némée, le mont Lycée en Arcadie, l'Ida de Troade et l'Ida de Crête, l'oasis de Zeus Hammon en Libye, etc. Le sanctuaire celui de Dodone, en Épire était le plus fameux et le plus ancien, il remontait aux Pélasges. On y venait de tous les coins de Grèce pour consulter l'oracle d'un chêne sacré, dont les bruissements et les murmures étaient considérés comme la parole même du dieu.  Hérodote raconte

conduite de satrapes devenus souverains absolus qui composent avec les usages et les élites locaux. L’époque romaine : débute par convention avec la défaite infligée par Octave Auguste aux forces d’Antoine et de Cléopâtre à Actium, en Epire, en 31 avt JC. En vérité de nombreux territoires grecs étaient déjà passés sous le contrôle de Rome depuis le IIIe siècle. Toutefois, la partie orientale de l’empire romain reste durablement marquée par l’hellénisme, d’autant que durant un millénaire

de la fonction politique (magistrats, conseils, sanctuaires) délimitation de l'espace de la place publique avec la construction de portiques (longues barrières monumentales) destinés à l'isoler du reste de la ville (cf. Thasos, Érétrie ; Cassopé, Épire). Ensuite, avec l'enrichissement de la panoplie architecturale, surtout au IVe siècle. C'est une époque de grande vitalité et de créativité pour l'architecture. Cela répond à des nécessités fonctionnelles — il fallait mettre au point des bâtiments

des regroupements régionaux : les Lorrains, menés par Godefroy de Bouillon et Baudouin de Boulogne, qui traversent l’Allemagne et les Balkans ; les Normands d’Italie, conduits par Bohémond de Tarente et Tancrède de Hauteville, débarquant en Épire ; les Méridionaux autour de Raymond de Saint-Gilles, qui passent par l’Italie du Nord, la Serbie et la Macédoine ; les Français dont Hugues le Grand, Robert Courteheuse et Robert de Flandre. Le serment d’allégeance Alexis Ier se

te suit. C’est toi dont l’ambassade, à tous les deux fatale, L’a fait pour son malheur pencher vers ma rivale. Nous le verrions encor nous partager ses soins ; Il m’aimerait peut-être ; il le feindrait du moins. Adieu. Tu peux partir. Je demeure en Épire : Je renonce à la Grèce, à Sparte, à son empire, A toute ma famille ; et c’est assez pour moi, Traître, qu’elle ait produit un monstre comme toi. 25 30 35 40 46 Devoir 04-FR40-10 Scène 4 - ORESTE, seul. ORESTE Que vois-je ? est-ce