Éponine

d’eux des personnages sublimes grâce à sa poésie. Par exemple, les exilés sont « ridicules » mais aussi « sublimes », les trous de la robe de la mendiante feraient son charme, laissant entrevoir sa beauté, et les petites vieilles sont telles des « Eponines » pleines de vertu. SYNTHESE : En quoi peut-on dire que Baudelaire est un peintre de la modernité ? Tout d’abord, Baudelaire est moderne dans les thèmes qu’il utilise dans sa poésie. En effet, à l’époque, cela a pu paraître très provocateur de

partout. Un jour matin de février 1832, Marius reçoit la visite de l’aînée, Éponine, qui lui en apporte une où, très obséquieusement, le père sollicite son aide ; s'il ne l'a pas remarquée jusqu'alors, elle semble bien le connaître, l'appelle «Monsieur Marius», et est déjà amoureuse de lui sans qu'il s'en doute, lui disant le trouver «très joli garçon». Il lui donne cinq francs. Ayant vu «la misère de l'enfant» dans Éponine, il se met, par un trou du mur, à observer ses voisins, découvrant ainsi petit

républicains, et l'amour, plus tendre, qu'il éprouve pour Cosette qu'il a rencontrée au Luxembourg au bras de son père.   Marius a pour voisin un effroyable chenapan, le sieur Jondrette, qui vit de chantage et de la prostitution de ses filles, Éponine et Azelma, ainsi que son fils, un gamin, Gavroche, que Victor Hugo a rendu populaire. Ce Jondrette n'est autre que Thénardier, tombé au fond du gouffre. Le vieux monsieur du Luxembourg, toujours trop charitable, vient visiter ce gredin qui écrit des

Baudelaire. I Dans les plis sinueux des vieilles capitales, Où tout, même l'horreur, tourne aux enchantements, Je guette, obéissant à mes humeurs fatales, Des êtres singuliers, décrépits et charmants. Ces monstres disloqués furent jadis des femmes, Eponine ou Laïs! monstres brisés, bossus Ou tordus, aimons-les! ce sont encor des âmes. Sous des jupons troués et sous de froids tissus Ils rampent, flagellés par les bises iniques, Frémissant au fracas roulant des omnibus, Et serrant sur leur flanc, ainsi

Victor Hugo I Dans les plis sinueux des vieilles capitales,Où tout, même l'horreur, tourne aux enchantements,Je guette, obéissant à mes humeurs fatales,Des êtres singuliers, décrépits et charmants. Ces monstres disloqués furent jadis des femmes,Eponine ou Laïs! monstres brisés, bossusOu tordus, aimons-les! ce sont encor des âmes.Sous des jupons troués et sous de froids tissus Ils rampent, flagellés par les bises iniques,Frémissant au fracas roulant des omnibus,Et serrant sur leur flanc, ainsi que

de mauvais dans le cœur. Gavroche organise la résistance républicaine sur une barricade de la rue de la Chanvrerie (aujourd'hui, la rue Rambuteau à Paris) pendant l'insurrection républicaine de juin 1832. Il y trouvera la mort avec sa sœur aînée Eponine. Le lecteur se croit plongé au cœur de l'action, que Victor Hugo restitue avec réalisme. Or, les biographes racontent que l'écrivain se trouvait au cœur des événements du 5 juin 1832 : le roi Louis-Philippe ordonne de lancer la troupe à l'assaut

En français dans le texte Émission diffusée le 28 novembre 2020 Objet d’étude : La poésie du XIX e siècle au XXI e siècle Parcours : alchimie poétique : la boue et l'or Œuvre : Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal Poème analysé : « Les petites vieilles » I. ANALYSE LITTÉRAIRE Introduction/Mise en situation Chanté par Gainsbourg, par Reggiani, par Léo Ferré, par Jean-Louis Murat et bien d’autres, Baudelaire est un poète qu’on interprète, qu’on revendique, qu’on se raconte et qu’on se

de mauvais dans le cœur. Gavroche organise la résistance républicaine sur une barricade de la rue de la Chanvrerie (aujourd'hui, la rue Rambuteau à Paris) pendant l'insurrection républicaine de juin 1832. Il y trouvera la mort avec sa sœur aînée Eponine. Le lecteur se croit plongé au cœur de l'action, que Victor Hugo restitue avec réalisme. Or, les biographes racontent que l'écrivain se trouvait au cœur des événements du 5 juin 1832 : le roi Louis-Philippe ordonne de lancer la troupe à l'assaut

la lisière déserte et délaissée de la rive gauche, en bas de notre cinquième arrondissement, abrite tour à tour des misérables, Jean Valjean et Cosette, qui s’y se cachent tout d’abord, puis, huit ans plus tard, les époux Thénardier, leurs filles Éponine et Azelma, et Marius, l’étudiant pauvre. Lorsque Cosette reçoit son éducation au monastère, elle réside dans l’ancien quartier du « Petit Picpus » entre faubourg Saint-Antoine et quai de la Rapée. En 1832, Jean Valjean et Cosette se dissimulent toujours

qui règne à Paris. Une nouvelle fois le jeune avocat a perdu la trace de Cosette. Il passe beaucoup de temps à songer à la jeune fille et se promène souvent près d’un lieu appellé "Le Champ de l'Alouette( Surnom de Cosette au début de l’histoire). Eponine, la fille de Thénardier, qui a échappé à la prison car elle était trop jeune parvient à retrouver Marius qu'elle aime. Elle a pu se procurer l'adresse de Cosette et propose à Marius de le conduire auprès de sa rivale. Après plusieurs années passées