Équation différentielle linéaire

méthodes passives : 30 2- Les méthodes actives : 35 Conclusion : 35 CHAPITRE III : Modélisation et simulation du panneau photovoltaïque 36 I- Modélisation du générateur photovoltaïque : 37 7- Schéma équivalent d’une cellule photovoltaïque : 37 8- Equations équivalentes du circuit électrique de la cellule. 38 II- Simulation du panneau photovoltaïque : 39 I- La production décentralisée. Appelé aussi production distribuée, la production décentralisée est la production

options européennes . . 6 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 27 28 30 32 32 33 34 35 . . . . . . 39 39 41 42 44 45 50 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Mouvement brownien et équations différentielles stochastiques 1 Généralités sur les processus à temps continu . . . . . . . . 2 Le mouvement brownien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Martingales à temps continu . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 Intégrale stochastique et calcul

au cas des poutres droites à plan moyen 1.4 Hypothèses sur le matériau . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.1 Homogénéité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.2 Isotropie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.3 Élasticité linéaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5 Hypothèses fondamentales de la RdM . . . . . . . . . . . . 1.5.1 Principe de Saint-Venant et conséquences . . . . . . 1.5.2 Hypothèse de Navier-Bernoulli . . . . . . . . . . . . 1.6 Conditions aux limites

pour objectif d'approfondir la mécanique des solides élastiques, puis à partir de la mécanique des milieux continus, nous introduirons la théorie des poutres. Dans une première partie, nous étudierons la démarche qui nous permet l'établissement des équations de la théorie des poutres (une démarche similaire pourrait être utilisée pour les plaques et coques). Dans une deuxième partie, nous nous attacherons à exposer les outils classiques de la théorie des poutres: étude de cas simples, méthodes énergétiques

de la solution 2 en régime statique 40 2.3.2.2 Analyses des performances de la solution 2 40 2.3.2.3 Dimensionnement de la solution 2 41 2.3.3 Conclusions 42 2.4 Solution 3 : Association MSAP en différentiel – pont de diode -simple boost 42 2.4.1 Présentation 43 2.4.2 Modèle Saber de la MSAP en différentiel 44 2.4.3 Simulations et analyses 46 2.4.3.1 Simulation de la solution 3 en régime statique 46 2.4.3.2 Analyses des performances de la solution 3 47 2.4.3.3 Dimensionnement de la solution 3 50 2

matières I Algèbre générale 1 Applications 2 Coefficients du binôme 3 Ensembles finis 4 Nombres complexes 5 Opérations 6 Groupes 7 Anneaux 8 Relations d’équivalence 9 Relations d’ordre 10 Propriétés de N 11 Propriétés de R 12 Suites récurrentes linéaires 13 Permutations 6 6 8 10 12 16 16 21 25 27 29 30 31 32 II Arithmétique 34 34 36 37 38 39 14 Congruences 15 Pgcd 16 Relation de Bézout 17 Factorisation en nombres premiers 18 Propriétés de Q 1 19 Propriétés de Z/nZ 40

Université Aix Marseille 1 Mathématiques générales II - Algèbre linéaire PEIP - L1 27 avril 2010 aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa aaaaaaaaaaaaaa 1 Algèbre linéaire dans R2 et R3 1.1 Vecteurs de R2 et R3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Vecdjzdjkszjc ozkd zl zleteurs et combinaisons linéaires . . . . . . . . . . . . 1.1.2 Produit scalaire, norme . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.3 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 La notion de matrice . .

par une grandeur, par exemple « déterminez quel est la vitesse limite atteinte par une particule ?». Il  faut  alors  avoir  pour  réflexe  de  chercher  à  résoudre  l’équation :  ( (     é) é é ) =0 Une fonction dite linéaire,  c’est-à-dire qui évolue proportionnellement à la variable considérée, a une dérivée constante. Une telle fonction est représentée sous forme de droite, sa dérivée en tout point en est le coefficient directeur. 5 Détermination des fonctions

VITESSE • Equation bilan • Débit de production 0  j Aj rj   j r • Vitesse spécifique massique r’w (mol.s-1.kg-1) • Vitesse spécifique superficielle r’’A (mol.s-1.m-2) • Nombre de rotation (turnover number) Nr (s-1) • r’’A = L Nr avec L le nombre de sites (mol.m-2) r’w = A r’’A A l’aire spécifique (m2.kg-1) >AEQS • Mécanisme type A +* A* A* R* R* R+* A=R ri = ri+ - ri- (1) Adsorption-Désorption de A (2) Réaction en surface (3) Désorption-Adsorption de R Equation Bilan

existe une fréquence f0 à laquelle le déphasage total est nul et l’amplification de la chaîne supérieure à 1. Figure 3. Dans le domaine linéaire, l’amplification est plus grande que 1. amplification T > 1 Transmittance amplification Transmittance H(p) K(p) atténuation et filtrage Lorsque l’amplitude augmente, l’amplificateur sort de son domaine linéaire et le signal est forcément écrêté par l’étage d’amplification, ce qui conduit à une diminution de l’amplification qui sera ainsi ramenée