Équations de Friedmann

la prévision. On va produire différents scénarios, par exemple sur la variation du dollar ou sur le prix du pétrole. On va essayer de combiner ses variables au sein d’un même modèle. 3 types d’erreurs possibles : Mauvaise spécification des équations (rôle des théories économiques remise en cause dans l’analyse des enchainements) Mauvaises hypothèses concernant les variables exogènes Rôle spécifiques des variables d’écart Remise en cause (années 80) par les maquettes et corrélations :

= p (q1 + q2* ) + q2* ⋅ p (q1 + q2* ) − c2 (q2* ) = 0 dq2 dq2 dq2 L’équilibre de Cournot ou plus généralement l’équilibre de Nash ( ) ( ) (q ,q ) * 1 * 2 est obtenu lorsque simultanément, on a q1* = r1 q2* et q2* = r2 q1* . Ainsi les deux équations caractérisant l'équilibre de Nash sont : ( et ) ( ) ( ) p q1* + q2* + q1* ⋅ d d p q1* + q2* − c1 q1* = 0 dq1 dq1 p (q1* + q2* ) + q2* ⋅ d d p (q2* + q2* ) − c2 (q2* ) = 0 dq2 dq2 Dans l’une des versions les plus simples de ce modèle, on

n’influence pas l’économie réelle ; * La monnaie influence les prix. * Pour Keynes la monnaie est détenue pour trois motifs : * Motif de précaution; * Motif de spéculation ; * Motif de transaction. Pour les monétaristes notamment Friedman qui affirme dans son analyse de demande de monnaie, que la demande de monnaie revient à chercher la part optimale de monnaie tout en restant fidèle à la thèse classique de la neutralité de la monnaie à long terme. En résumé, pour l’analyse classique

des entreprises : ce qui est produit Du côté du marché : ce qui est distribué Du côté des ménages : ce qui est consommé On avait rappelé l’équilibre emploi-ressources suivant : PIB = C + FBCF + variations des stocks (comptabilité nationale) Cette équation sera le point de départ de la macro-économie. Cette macro-économie ne peut pas se passer des travaux de KEYNES. Pour lui, l’équation de base est : Y = C + I soit revenu = conso + investissement. KEYNES introduit dans la théorie générale la notion

∑ ������������ = 1 ������=1 Où wi = ni p0i å ni p0i i Où wi = ni p0i å ni p0i i Les deux équations permettent de ressortir le portefeuille efficient, mais le choix entre eux dépend de la typologie de l’investisseur s’il est risquophobe il va pencher pour la deuxième équation si le contraire il va choisir à maximiser son rendement ainsi il va opter la première équation. Pour permettre la vente à découvert ou non il suffit d’y ajouter aux contraintes que Wi > 0 pour ne pas admettre

comme étant l’année de référence. Ainsi, dans cette étape, nous vérifions si l’incorporation de la notation de crédit permet une amélioration des modèles étudiés dans le contexte ces deux théories. Nous allons nous baser sur deux modèles à équations simultanées distincts afin de montrer d’une part s’il existe des effets mutuels entre la variation de l’endettement et la variable de l’ajustement partiel (la distance entre la valeur cible et la valeur retardée de la dette à long terme). D’autre

comme étant l’année de référence. Ainsi, dans cette étape, nous vérifions si l’incorporation de la notation de crédit permet une amélioration des modèles étudiés dans le contexte ces deux théories. Nous allons nous baser sur deux modèles à équations simultanées distincts afin de montrer d’une part s’il existe des effets mutuels entre la variation de l’endettement et la variable de l’ajustement partiel (la distance entre la valeur cible et la valeur retardée de la dette à long terme). D’autre

x^ - px x- + py y^- py y- = 0 y^ = - (px/py)x^ + (pxx- x pyy-)/ py Doivent être considéré comme constant, donné des valeurs sur lesquels l’agent a ne peut rien. Les prix sont constant et les dotations initiales. On dessine la droite avec une équation de droite décroissante. Dont la pente est l’opposé de –px/py Les dotations initiales appartiennent à HK, les points qui coupent les abscisses et ordonnés. En le point D(x-, y-) éprouve une certaine satisfaction, le niveau d’utilité est Ua(x-, y-)

Mundell, Robert Solow ou encore Edmond Malinvaud en France. Ces économistes s'intéressent aux fondements microéconomiques de la macroéconomie : Sur certains points, tel celui de la rationalité, les néo-keynésiens sont plus proches des conceptions de Friedman que de celles de Keynes. Adeptes des systèmes de marché des néoclassiques, ils reconnaissent cependant le caractère non volontaire du chômage ainsi que les imperfections du marché du travail comme causes de non-réalisation du plein emploi (asymétrie

entre les sexes dans l’activité professionnelle. Parmi les sociologues traitant du travail des femmes, on distingue trois courants théoriques. M. Guilbert (1966) privilégie la centralité du travail et ses recherches s’inscrivent dans la lignée de Friedmann et Naville (1964) et du courant marxiste. E. Sullerot (1968) met l’accent sur la condition féminine et sa spécificité. Ses travaux découlent de ceux de l’Ined sur la famille et prennent place dans le courant familialiste. A. Michel (1967) met en