Équations de Friedmann

on obtient : P1x1 = R1 + ------------------2 . Mettons les dépenses d’un côté 1+i et les ressources de l’autre, on obtient la contrainte de budget intertemporelle : P2 x2 R2 (7) P1x1 + -------- = R1 + -------- = W 1+i 1+i Du côté gauche de cette équation, on mesure la valeur présente des consommations présente et future, et du côté droit, la valeur présente des revenus présents et futurs, toutes deux actualisées au taux d’intérêt nominal du marché des fonds prêtables. La somme des revenus présent

par essence. • La liberté économique : le marché est un régulateur plus efficace que l’Etat (A. Smith) • Il existe un équilibre naturel vers lequel le marché tend spontanément. A l’heure actuelle les économistes néo-classiques sont : Barro, Laffer, Friedman, Buchanan. 1.2.3- Les Marxistes : Contexte historique : Marx écrit au 19° siècle, durant la phase d’industrialisation du capitalisme. Cette époque est marquée par une pauvreté ouvrière importante dans un contexte d’industrialisation qui engendre

permis de réconcilier les ouvriers avec leur travail parcellisé. Pour remédier aux conséquences du travail à la chaîne, Georges Friedmann, dans son ouvrage, propose comme échappatoire la promotion des loisirs 1. Georges Friedmann, Le travail en miettes, 1956, rééd. Paris, Gallimard, coll. « Idées », 1964. 30 © Groupe Eyrolles En 1956, le sociologue Georges Friedmann fait florès avec un ouvrage au titre évocateur : Le travail en miettes1. Dans son ouvrage, le sociologue étudie les effets du progrès

x2 - . Mettons les dépenses d’un côté on obtient : P1x1 = R1 + -----------------1+i et les ressources de l’autre, on obtient la contrainte de budget intertemporelle : P2 x2 R2 - = R1 + --------=W (7) P1x1 + -------1+i 1+i Du côté gauche de cette équation, on mesure la valeur présente des consommations présente et future, et du côté droit, la valeur présente des revenus présents et futurs, toutes deux actualisées au taux d’intérêt nominal du marché des fonds prêtables. La somme des revenus présent

théorique -le monétarisme- est devenu, avec FRIEDMAN (1968), le premier grand courant keynésien. Ex pe rt PD F HYPOTHESES Paragraphe 1 REVUE DE LA LITTERATURE Dans la Théorie générale, KEYNES (1936) met l'accent sur le rôle des dépenses Ev al ua tio n 14 Efficacité des dépenses publiques en capital humain au Bénin En allant au-delà de ses premières critiques du keynésianisme concernant la réalité du mécanisme du multiplicateur budgétaire, FRIEDMAN a déstabilisé la macro-économie standard en

des prix et celle du plein emploi LIPSEY (1960) procède à une réinterprétation de la courbe de Phillips en termes de relation entre inflation et chômage. Mais l’attaque des libéraux ne s’est pas fait attendre. Les économistes comme PHELPS (1967), FRIEDMAN (1968), puis SARGENT et WALLACE (1975), réagissent à cette analyse de LIPSEY en montrant, à partir de l’introduction des anticipations adaptatives, puis rationnelles, l’impossibilité d’arbitrage entre inflation et chômage. PHELPS (1967) réalise son

qui y conduit. ! Cette réduction des acteurs à leur intérêt de groupe sera active en théorie des jeux, les adversaires quelque soit leur nombre réel sont toujours ramenés au nombre théorique de 2, nommés A et B dans les graphes et mis en équation, leurs préférences sont jugées pré-établies indépendant du jeu propre de la négociation à tel point que certains auteurs tenteront de modéliser les anticipations des négociateurs et déterminer ainsi le point de leur rencontre supprimant de ce fait

qu’il y a un certain nombre d’offreurs pour avoir un bon niveau de concurrence. La vision en terme d’efficacité économique soutient que la concurrence est un comportement (classiques). Géographiquement, c’est à Chicago avec des auteurs comme Smith, Friedman et la côte ouest est de tradition plus démocrate. L’idée de l’efficacité économique c’est qu’il faut avoir une vision plus large avec des monopoles naturels ; situation dans laquelle la structure des coûts rend le monopole intéressant car à l’endroit

produits puisqu’ils se servent mutuellement de débouchés. Chez les néoclassiques on retrouve la théorie quantitative et la monnaie est toujours neutre. • Equation de Fisher (MV=PT) • Théorie sur la demande de monnaie : Elle transforme l’équation de Fisher • Marshall : S’intéresse aux encaisses monétaires des individus. • Pigou : Propose, le 1er, une équation de la demande de monnaie : Md= k x PY Md : demande de monnaie des agents P : NGP Y : Revenu réel On va faire apparaître le phénomène d’encaisse

vêtement déchiré, bracelet en cuir, on achète de vieilles voitures, on va dans les friperies etc.. conséquence: le rattrapage ne disparaît pas. Dans la consommation on cherche toujours à se distinguer, il fallait expliquer cela un peu plus. Milton Friedman : effet du revenu permanent : Dans les années 90, il n'accepte pas les idées de Keynes sur la propension et il va proposer une analyse beaucoup plus complète. C'est-dire que pour lui la consommation est très complexe, il est d'accord sur le fait