Équations de Friedmann

s'empare des esprits ; et, au contraire, un mouvement, une activité très favorables à la prospérité publique, du moment que la confiance tenait. (106) Commentaire : Supply-Sider, il a dit : "L'argent n'est que la voiture de la valeur des produits" Friedman lui fait écho : "Rien n'est moins important que la monnaie... quand elle est bien gérée". Processus d'équilibrage (et non pas d'équilibre) empêche crise généralisée de surproduction. Erreur : il oublie les politiques monétaires et le mal investissement

l’erreur de r´egression . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 4.4 Moindres carr´es pond´er´es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 1 4.5 4.6 4.7 4.8 II Hypoth`ese gaussienne . . . . . . . . Tests d’ad´equation . . . . . . . . . . Introduction ` a la s´election de mod`ele Moindres carr´es non-lin´eaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

(cas de la sous évaluation). La surévaluation conduit inévitablement à des ajustements violents si les déséquilibres s’accumulent, la sous évaluation peut entraîner une faible consommation des biens domestiques. 21 Depuis les travaux de M. Friedman en 1953, le débat sur les avantages et les inconvénients des changes fixes ou flottants est très intense. Il s’est intensifié après l’abandon du système de Bretton Woods au début des années 70 et la libéralisation généralisée des mouvements de

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 45 48 48 52 56 6 Solutions ` sym´trie sph´rique a e e ´ 6.1 Equation d’Einstein . . . . . 6.2 M´trique de Schwarzschild . . e 6.3 Trous noirs . . . . . . . . . . 6.4 Remerciements. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

INTÉRIEURES ET TENSIONS INTERNATIONALES UNE RÉCONCILIATION LIMITÉE ? par Frédéric BOZO (*) et Guillaume PARMENTIER (**) (***) Il y a trois ans, quelques mois après l’invasion de l’Iraq par les EtatsUnis, l’éditorialiste du New York Times Thomas Friedman n’avait pas hésité à dire de la France qu’elle était l’«ennemie» (1) de l’Amérique. Depuis environ un an, les qualificatifs utilisés pour décrire la relation ont changé radicalement : la France, écrivait début 2006 David Ignatius du Washington Post

de son revenu mais aussi d’un effet de démonstration exercé par les ménages des catégories supérieures qui poussent vers le haut la consommation des catégories inférieures. Dans l’ouvrage Une théorie de la fonction de consommation (1957) Friedman transpose l’ana- lyse microéconomique de la consommation (travaux de Fisher) au niveau macroéconomique. La consommation est principalement fonction du revenu permanent, c’est-à-dire le revenu moyen anticipé sur l’ensemble de la vie. Il dépend

en 2010, en même temps que la consommation des ménages. Et la prévision de hausse du PAS en 2011 est en lien avec celle de la consommation des ménages prévue par le CA et le Ministère des Finances. | 3. Revenu permanent et transitoire | Selon Friedman, le consommateur dissocie ses revenus permanents considérés comme durables et ses revenus transitoires (plus-values inattendues). Ces derniers sont considérés comme un résidu qui va être mis de côté en partie pour épargner. En moyenne, les ménages

Expressions R2 0.9821 0.9994 0.9987 KT 0.9855 0.9954 0.9941 0.9827 0.9999 0.9996 KT 0.9845 0.9984 0.9974 Valeurs journalières Expressions R2 0.9700 0.9976 0.9966 0.9796 0.9957 0.9945 0.9808 0.9973 0.9969 0.9708 0.9981 0.9976 KT Tableau 1 : Equations d’estimation des valeurs horaires et journalières des UV, PAR et IR en fonction de G, et coefficients de détermination respectifs en considérant les trois conditions du ciel. CIEREE'2011 Page 9 Congrès International sur les Energies Renouvelables

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 Equations diff´rentielles stochastiques e 9.1 Solutions fortes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9.2 Existence et unicit´ de solutions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 9.3 Exercices . . . . . . . . . . . .

des prix car on retrouve l'influence des idées monétaristes de Milton Friedman/ le monétarisme est une version moderne de la Théorie quantitative de la monnaie => l'inflation a d'abord une origine monétaire :a hausse des prix a lieur quand la masse monétaire (quantité de monnaie en circulation) augmente plus vite que la production (Too much money cheasing to few goods) quant il y a plus de monnaie il y a plus de demande => équation : Mv = Pq – M = masse monétaire – V = vitesse, le nombre de fois ou