Equilibre Monétaire Chez Les Classiques

renvoient au socialisme. Ces deux courants religieux s’opposent aux classes sociales. Ils prônent l’intervention de l’Etat. La propriété privée crée des inégalités sociales. Confucianisme en Chine = libéraux. Pour eux, la création monétaire vient de l’Etat, qui doit assurer les conditions de libre-échange et interdire toutes les situations de concurrence imparfaite. Les libéraux ont pour but d’accroître l’offre ne favorisant l’efficacité du travail en le divisant : le taylorisme

2.1.2 La richesse produite par l'Agriculture * 4.2.1.3 « Laissez faire les hommes, laissez passer les marchandises » * 4.2.1.4 Promouvoir et défendre l'Ordre naturel * 4.2.2 Adam Smith * 4.3 Les Maitres classiques (XIXe siècle) * 4.3.1 En Grande-Bretagne * 4.3.1.1 Thomas Malthus (1766 - 1836) * 4.3.1.2 David Ricardo (1772 - 1823) * 4.3.1.3 Cobden et le Libre-Echange (1838) * 4.3.2 En France

et donc de retrouver la valeur réelle de son capital que les taux d’intérêt seront faibles. Maurice ALLAIS pense, par ailleurs, que l’exubérance des marchés financiers est due à une création intempestive de monnaie tant de la part des autorités monétaires que des banques commerciales et que sans une vigoureuse réforme du système bancaire, la crise financière est certaine (1999). Prix Nobel 1988, cet économiste français est connu pour sa contribution à l'étude des marchés et ses travaux sur l'utilisation

bienveillance de chacun. Livre 4 : Chacun en agissant sur un marché voit son intérêt personnel. L'individu poursuit son intérêt propre et ne fait pas l'intérêt général et pourtant il a agit dans l'intérêt général mais de manière non intentionnelle (équilibre optimal). On le réalise beaucoup plus efficacement que si on avait voulu le réaliser intentionnellement. Ce type de propositions a fait l'objet d'un scandale. A la base de la prospérité d'un état, de la richesse des gens, il y a un vice. Cela

pensée économique 1. Les économistes classiques et l’émergence de la science économique 2. Les néoclassiques 3. L’économie chez Marx 4. L’analyse keynésienne Chapitre II : le marché et la formation des prix Section1- L’analyse du marché I. La notion de marché 1. La fonction d’offre 2. La fonction de demande II. Les différents types de marché Section 2- La formation des prix 1. Loi de l’offre et de la demande et équilibre du marché 2. La

aura chaque année de l’investissement agricole du point de vue des fermiers. Comme la situation des fermiers dépend des marchés agricoles, cette question revient à déterminer si ces marchés permettent la reproduction de la richesse (de l’agriculture). Chez Quesnay cette question conduit à étudier ce marché et à analyser les effets de la liberté du commerce. Selon Quesnay, les marchés agricoles ne permettront d’assurer la richesse des fermiers que si : la différence entre le prix de vente et le cout de

d’une quantité échangée « optimale » ou « d’équilibre ». Le prix d’équilibre est celui qui satisfait simultanément le maximum d’acheteurs et de vendeurs. Aucun agent n’a le pouvoir de déterminer ou d’influencer ce prix. Selon l’approche libérale (classique et néoclassique), cette situation de marché est souhaitable. Les conditions de La concurrence pure et parfaite : • l’atomicité de l’offre et de la demande (la multitude des offreurs et demandeurs) • l’absence de restriction à l’entrée, que ce

considérer l'utilitarisme comme une théorie eudémoniste. Toutefois cet eudémonisme n'est pas une caractéristique suffisante pour être le signe distinctif de l'utilitarisme. En effet on retrouve déjà l'idée sur laquelle le bonheur est le bien chez les auteurs classiques tels Platon ou Aristote. Pour mieux saisir la spécificité de l'utilitarisme il faut préciser que les auteurs de ce courant assimilent bonheur et plaisir. En effet pour ces auteurs le plaisir est un synonyme du bonheur. Ceci signifie qu'il

politique Le terme économie politique apparait au XVIIIème siècle avec les Pères de l’économie politique ou science économique (Aristote), économique ( à partir du XXème siècle Machall), dont l’économiste Britannique Adam Smith (économiste classique). Economie : Satisfaire un certain nombre de besoins en fonction de ressources rares (approche Néoclassique). Créer et répartir les richesses (approche Keynésienne). L’économie comme toutes les sciences humaines et sociales a pour objectif d’étudier

et de la monnaie. Il va poser les problèmes d’une nouvelle analyse économique, car en 1936 on est en pleine dépression, afin d’essayer d’atteindre, grâce aux interventions de l’état, le plein emploi. L ’idée de Keynes et très simple : Attendre un équilibre précis, l’équilibre de plein-emploi. Avec Smith on parlait de la croissance, avec Keynes on parle du chômage. Pour l’instant on a pas trouvé ni les chemins de la croissance ni du plein emploi. Mais le problème se pose en partie de la même façon.