Equilibre Monétaire Chez Les Classiques

sont conformes à celles de la comptabilité nationale, et à ce titre elles constituent un fondement solide pour l’examen des théories économiques. Suit l’exposé des principes de deux grandes traditions de la science économique, ceux de l'économie classique, et ceux de la théorie keynésienne. En dépit des erreurs qu'elles peuvent contenir, elles sont considérées comme valables par des fractions importantes de spécialistes. Connaître leurs argumentations permet de comprendre les débats économiques actuels

en macro économie le temps lié a la monnaie, est au cœur de l’analyse la quel est inséparable du temps, l’analyse dynamique. On peut dire pour résumer, la micro tend vers une analyse réel et statique de l’équilibre, la macro propose une analyse monétaire et dynamique du déséquilibre. La micro décrit l’économie tel quel devrait être, la macro tel qu’elle est. Chapitre I : La méthode ensembliste Walraso-parétienne 1. La valeur utilité, point de départ de la méthode ensembliste : A l’origine

contre les autres ? 2) Qu’est-ce qui fait selon Keynes la puissance de l’orthodoxie classique ? 3) Pourquoi les discours des « hérétiques » ne sont-ils pas parvenu jusqu’ici à « ébranler la citadelle » ? 4) Comment selon Keynes doit-on par conséquent s’y prendre pour « ébranler »  cette citadelle ? Texte n°2 Questions : 1) Quel est selon Keynes le défaut majeur de l’orthodoxie classique ? 2) Quel est dans ce passage l’objet d’étude que Keynes se fixe par dessus tout ?

Allemagne et aux Etats-Unis au milieu du XIXème siècle puis aux Japon et en Russie à la fin du XIXème. Enfin, en Chine et en Inde au XXème siècle. Karl POLANYI disait que le XIXème siècle a été marqué par : Un équilibre politique international Un équilibre monétaire Et un équilibre économique. Nous pouvons noter que durant toute la période du Moyen-Age, la croissance a été de 1%. Donc la transition est forte et c'est la réunion de conditions favorables qui a permis la révolution industrielle

de monnaie 1.3.1. 1.3.2. 1.3.3. 1.3.4. 1.3.5. 1.3.6. L’absence de monnaie La monnaie-marchandise La monnaie métallique La monnaie fiduciaire La monnaie scripturale Conclusion 2. Théorie monétaire 2.1. Généralités 2.2. La masse monétaire 2.3. L’équation des transactions 2.3.1. 2.3.2. Interprétation classique Interprétation keynésienne 3. Le marché de la monnaie 3.1. L’offre de monnaie 3.1.1. 3.1.2. 3.1.3. 3.2.1. 3.2.2. La création de monnaie fiduciaire La création de monnaie scripturale Représentation

que les sciences sociales auraient pour objet d'étude les sociétés humaines. Les sciences humaines et sociales s'opposent ainsi aux sciences de la nature de l'environnement. Celles-ci reconduisant ainsi, d'une certaine façon, l'opposition à l'âge classique entre la philosophie naturelle et la philosophie morale (qui incluait aussi la sociologie, la politique, l'économique, etc.). L'expression anglaise de « science sociale » ferait sa première apparition en 1824, dans un livre du coopératiste William

science (point de vu objectif) Analyse normative : explique le monde tel qu’il devrait être en s’axant sur les changements à effectuer et les objectifs à atteindre (point de vu subjectif) Les deux principaux courants dans l’économie sont : Le courant classique : régulation automatique des marchés, l’intervention de l’Etat n’est donc pas nécessaire Le courant keynésien : il faut que l’Etat intervienne pour réguler les déséquilibres économiques. - La finalité de l’économie est de satisfaire les besoins

dépense intérieure 7 III. La conception de l'équilibre macro-économique chez les keynésiens: comptabilité nationale et politique économique 8 1. L'univers des keynésiens, une logique de la demande 8 2. Les déterminants de la demande globale 8 a) La fonction de consommation chez Keynes 8 b) La fonction d'épargne 9 c) La demande d'investissement 9 d) La demande d'exportation 10 3. La notion d'équilibre chez Keynes 11 a) Équilibre sur le marché des biens 11 b) Théorie du multiplicateur et la politique

Fourçans nous apprend l'importance des anciens dans l'économie. En effet ce sont eux qui ont créer les concepts et méthodes de l'analyse économique. Ici, Fourçans nous familiarise avec les principaux courants fondateurs de la pensée économique dits « classique » et « néoclassique ». L'économie est née avec la pensée philosophique individualiste et libérale du XVIIIe siècle, mais elle ne prend son véritable essor que lors de la prise de conscience de l' existence économique. On apprend d'une part ce qu'est

Théories monétairesLes théories monétaires dans l'antiquité et au Moyen Age : le problème du prêt à intérêt.Aristote et sa critique de la chrématistique.St Augustin et l'Eglise qui critiquent le prêt à intérêt . Les utopistes monétairesThomas More, Proudhon, Marx, Silvio Gisell ( aurait influencer Keynes)...Théorie de disparition de la monnaie (chez Marx mais dans une société d'abondance), du crédit gratuit (chez Gisell et Proudhon), de la monnaie à usage unique (pour éviter l'accumulation)...