Erasme Et La Religion

Cornelius Agrippa (= Nettesheim) est un médecin moderniste, « De la noblesse et préexcellence du sens féminin ». Il est pour la supériorité de la femme, les hommes ont créé l’infériorité de la femme et les ont tenu éloignés des postes de pouvoirs. Erasme est le plus grand humaniste de l'époque, il a parlé de tout et de la femme. Faut-il l'instruire ? La place de la femme dans le mariage et dans l'église. Il parle de la femme dans les adages, dans les colloques, dans l'institution du mariage chrétien

son enthousiasme de montrer sa nouvelle éducation, le nouveau savoir. Rabelais nous renvoi de l'optimisme a travers son récit, ou le but est de proposer un éloge enthousiaste de la renaissance avec toutes ses connaissances nouvelles. Comme le dit Érasme "l'homme ne naît pas homme, il le devient" et il parvient à réaliser son humanité et donc devenir Homme par l'éducation. L'éducation joue un rôle important dans la renaissance, et dans l'enthousiasme traduit par un optimisme d'avoir de nombreuses

incontestable. Les humanistes souhaitent diffuser le savoir par le biais de langues nationales, c’est pourquoi ils se lancent dans la traduction des œuvres de l’Antiquité. Ils voyagent, se rencontrent et correspondent pour échanger leurs connaissances. Erasme parcourt toute l’Europe dans ce but, c’est la création de la république des Lettres. La diffusion très large des idées nouvelles n’aurait pu se faire sans l’imprimerie, mise au point par Gutenberg au milieu du XVème siècle. Avec elle c’est toute la

période où l‘homme va être remis en question et la religion également. L‘homme va être remis au centre de toutes les attentions par certaines personnes qui seront nommés « humanistes ». Et grâce à l’imprimerie inventé par Gutenberg en 1448, la Bible a été traduite et donc une partie des habitants a pu lire et comprendre la Bible. Cela a donnée lieu a des contestations de ce livre et donc le protestantisme a été crée. La création de cette religion a provoquée des tensions entre catholique et protestants

Pic de la Mirandole ou « l’homme mesure de toute chose » de Léonard de Vinci b) Le savoir occupe une place prépondérante Erasme, étudiant perpétuel ou encore la volonté de développer l’esprit critique ou l’enseignement idéal selon Rabelais (Pantagruel) c) De nouveaux questionnements religieux Volonté chez les humanistes comme Erasme d’un accès plus direct à la religion. Cela passe par la traduction de la Bible en langues vernaculaires et peut entraîner une foi plus intérieure que cella proposée

imprimeries, une sorte de nouveau moyen de réécrire les ouvrages. L'écrivain français, François Rabelais avait écrit et créé le célèbre Gargantua. A travers ses récits, il critique énormément les idées de son époque comme l'éducation, la politique, les religions et c'est aussi un grand pacifiste. Pour ses critiques il sera même fait arrêter et emprisonner par la Sorbonne. L'écrivain espagnol Cervantès dans son roman, Don Quichotte de La Manche, est un héros un peu ridicule et essaye de recopier les exploits

pas à la croyance divine. Il prône la vulgarisation de tous les savoirs, même religieux : pour certains humanistes, la parole divine doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines, sa langue (ex : traduction de la Bible par Erasme en 1516) ou sa catégorie sociale. Ainsi, cet Humanisme vise à lutter contre l’ignorance, et à diffuser plus clairement le patrimoine culturel, y compris le message religieux. Cependant l’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement

changement interne. Le pape l’excommunie. Jean Calvin soutient la même thèse que Luther et diffusera les idées grâce à ses écrits. Les causes de la Réforme sont la remise en question de plus en plus répandue grâce à des hommes notamment comme Erasme, John Wycliffe, Jean Hus, Luther et Calvin de l’attitude de l’Eglise catholique et des Hommes d’église (la papauté, le purgatoire, les pèlerinages etc.….). Les pressions faites dans ce sens envers les plus hautes instances de l’Eglise ne feront que

réfugiés arrive en Occident apportant avec eux des manuscrits anciens. De nombreux traités pédagogiques paraissent. Érasme, suivi par Rabelais, insiste sur les vertus morales de l’instruction. Le maître doit dégager des textes étudiés l’enseignement moral qu’ils cachent. Il convient surtout de former le jugement, car « science sans conscience n’est que ruine de l’âme », dit Rabelais. Érasme va jusqu’à donner des règles de bonne tenue, comme se servir d’un mouchoir et se moucher en se détournant. Le corps

financier qui permet l'élection de Charles Quint à la tête du Saint-Empire . Quand la religion et la politique ne font qu’un L'église avant la Réforme représente une sorte d'État parallèle aux États nationaux. Elle est un propriétaire terrien extrêmement riche, elle à ses tribunaux, exige des impôts. La religion et la politique à cette époque sont une seule et même chose. Exiger une autre forme de religion, c'est exiger une autre société. Si Luther et Calvin réussissent là où d'autres comme