Erasme Et Reforme Protestante

et ses évêques. L’humaniste Erasme dénonce l’hypocrisie de l’Eglise et demande une nouvelle réforme de l’Eglise. En 1517, Martin Luther, un professeur de théologie refuse la vente des indulgences c'est-à-dire le pardon des pêchés contre de l’argent et remet en cause l’autorité du pape avec sa doctrine «Dieu seul, Ecriture seule, Grâce seule ». Le pape refuse ce qui entraine la rupture (le schisme) et la construction par Luther d’une nouvelle église : l’Eglise protestante. Le rejoignent Calvin, Zwingli

une force. Les rois vont essayer de limiter cette force des parlements. Louis XIV prendra un certain nombre de lois qu'il ne fera pas passer par les parlements. A partir de 1715, les remontrances ne seront plus acceptées, il y a donc obstacle aux réformes. Derrière tout ça, il y a un débat de fond : « qu'est - ce que le parlement par rapport au roi? » Pour le roi, le parlement est la veille idée féodale, ils sont des conseillers. Les parlementaires considèrent que c'est un devoir pour le roi d'écouter

une même religion pour tous. - La réforme protestante Luther lance la réforme en 1517 en Allemagne. Il y a un danger de dissidence. Cette réforme se répand à travers toute l’Europe et la coupe en deux. Calvin convainc la ville de Genève de s’établir en république protestante. Ce sera le foyer du protestantisme. Au début, la France, qui n’est pas très loin de Genève, ne se montre pas hostile. Après l’affaire des Placars en 1534 (affiches protestantes hostiles à l’Eglise dans tout Paris),

terme de Réforme protestante. Il s’agit d’un mouvement qui part d’Allemagne, de Suisse et va se développer dans toute la moitié Nord de l’Europe. Il a failli englober la France, qui restera finalement catholique au prix d’un conflit intérieur qui va durer 60 ans. On peut tirer trois branches majeures de la Réforme protestante, qui va elle-même engendrer une réaction de l’Eglise catholique, différente de la réaction punitive du retour des croisades (Inquisition) : il s’agit d’une action de réforme des

machiavélisme. A- Le Bon Prince : Erasme et l’humanisme Supports : Erasme, Institution du prince Chrétien, Si les Princes doivent être fidèles à leurs engagements, chap. XVIII, p.61-63, Le Prince, Machiavel, éd. Garnier, 1957. Présentation des textes : C’est en 1516 qu’Erasme, humaniste évangélique hollandais, fait publier son ouvrage sur l’Institution du Prince Chrétien. Il le dédie à celui qui sera bientôt l’Empereur Charles Quint et qu’il conseille alors. Dans cette œuvre, Erasme fait de l’évangélisme

l’ancien droit, dans la France d’Ancien Régime La période de l’ancien régime et donc de l’ancien droit s’ouvre par une remise en cause de la compétence de l’église en matière de mariage. Cette remise en cause est conduite essentiellement par les protestants et profite au pouvoir séculière dont les tendances absolutisme supporte mal le partage des compétences avec l’Eglise, notamment s’agissant du mariage puisqu’elle considéré que c’est une ?? essentielle dans le maintien de l’étendent. Les prétentions

et y acquiert le goût des livres (il lit Ovide, Virgile, Térence et Plaute), du théâtre (Gouvea encourageait la représentation des tragédies en latin) de la poésie (latine), et des joutes rhétoriques, véritable gymnastique de l’intelligence selon Erasme. On ne sait presque rien de sa vie de 14 à 22 ans. On retrouve le jeune Montaigne vers 1556 conseiller à la cour des Aides de Périgueux. Ses biographes en ont déduit qu’il avait fait des études de droit. À Toulouse, à Paris ou probablement dans ces

religion des clercs, et la religion des fidèles dans laquelle le surnaturel est omniprésent (anges, saints protecteurs, diables, fées, feu follets). Tous les événements politiques, naturels, ou catastrophiques sont interprétés de manière religieuse. Erasme se moque de ces pratiques. Culture « populaire » ? Religion « populaire » ? Il y a une limite floue et mouvante entre populaire et savant, religion et superstition, raison pour laquelle on ne peut pas étiqueter comme tel. Par exemple la Vierge noire

Pères pour prouver que le mariage est indissoluble, du moins sur le plan moral, mais en démontrant que le mariage était dissoluble, il a attaqué la position catholique selon laquelle le mariage est un sacrement et ainsi indissoluble. La position protestante, c'est que l'homme ne devrait pas séparer ce que Dieu a uni. Mais à cause de son cœur endurci, l'homme peut se séparer et, dans ce cas, le mariage est dissout, terminé. Ambroise (340-397), un évêque populaire dont la prédication a beaucoup parlé

transition de l’histoire de la littérature française. C’est une période , qui au début fut à la fois marquée par l’inspiration des textes antiques et l’influence de la culture italienne importée au-delà des Alpes , par des initiateurs tels que Erasme , Pétrarque et Boccace . cette influence est arrivée au point ou des poètes et historiens ont confié au latin des œuvres importantes au détriment du français . Vers le milieu du XVIe siècle, cette situation se bouleversa à cause des conflits religieux