Érasme

querelles entre catholiques et protestants, il est l'auteur des Essais. Son oeuvre, Les Essais, affirment les droits de la conscience individuelle, et formulent les principes humanistes : justice, liberté, respect de l'homme, droit au bonheur... Erasme Érasme (Desideriu Erasmus Roterodamus), né en 1469 à Rotterdam et mort le 12 juillet 1536 à Bâle, est un prêtre catholique évangélique, écrivain humaniste et théologien néerlandais, considéré comme l’une des figures majeures de la Renaissance tardive

(1469-1539). Celui-ci a fait imprimer les annotations de Valla sur le Nouveau Testament. Ce texte de Valla datait de 1448, Erasme l’édite en 1505 et Josse Bade l’imprime à Paris. Erasme est le modèle de ces humanistes qui ont su utiliser l’imprimerie. Erasme a passé le quart de sa vie à corriger des épreuves chez l’imprimeur. Bâle, Venise et Paris sont des grands centres d’édition. Erasme était avant tout un philologue, c’est-à-dire un spécialiste des textes littéraire, éditeur et commentateur. Il traduisit

au bon usage de ces facultés. Ils prônent la vulgarisation de tous les savoirs, notamment religieux ; la parole divine doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines ou sa langue (traduction de la Bible en langue locale par Érasme en 1516). -Les voyages au XVIe : temps des découvertes -l’importance de l’ouverture à l’autre : guerres, guerres de religion (catholiques/protestants), guerres civiles -Analyse du sujet : ouverture à l‘autre / interrogation sur l’autre -Plan

bon usage de ces facultés. Ils prônent la vulgarisation de tous les savoirs, notamment religieux ; la parole divine doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines ou sa langue (traduction de la Bible en langue locale par Érasme en 1516). -Les voyages au XVIe : temps des découvertes -l’importance de l’ouverture à l’autre : guerres, guerres de religion (catholiques/protestants), guerres civiles -Analyse du sujet : ouverture à l‘autre / interrogation sur l’autre -Plan

expliquer la nouvelle exposition du musée intitulée «La renaissance ,un moment de rupture culturelle et religieuse». Cette exposition temporaire est organisée grâce aux prêts d’oeuvres de d’autres musées. Salle n°1 : Une rupture sur le plan des idées Erasme au travail avec son secrétaire Cognatus, illustration ,1533Salle n°2 : Une rupture sur le plan artistique La Vierge du Chancelier Rolin* , huile sur bois (62 x 66 centimètres), Jan Van Eyck** ,vers 1435, musée du Louvre *Nicolas ROLIN est

-Révolution copernicienne (découverte de l’Univers)-Découverte des Antilles et de l’Amérique (1492)-Luther dénonce les pratiques de l’Eglise (1517)-Contestation de l’autorité de l’église-Guerres de religion (1562-1598)-Massacre de la Saint-Barthélemy | -Erasme, Eloge de la Folie-Machiavel, Le Prince-Thomas More, L’Utopie-Rabelais, Pantagruel-Du Bellay, Les Regrets-Montaigne, Les Essais-Shakespeare, Hamlet | B. 1. Principaux peintre de la Renaissance et leur nationalité : - Lorenzo Lotto :

pas à la croyance divine. Il prône la vulgarisation de tous les savoirs, même religieux : pour certains humanistes, la parole divine doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines, sa langue (ex : traduction de la Bible par Erasme en 1516) ou sa catégorie sociale. Ainsi, cet Humanisme vise à lutter contre l’ignorance, et à diffuser plus clairement le patrimoine culturel, y compris le message religieux. Cependant l’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement

façon harmonieuse et esthétique. La compétition entre les cuisiniers pour inventer de nouveaux plats est féroce et l’un des changements les plus importants est que le miel est remplacé par le sucre, maintenant importé en grande quantité. En 1536, Erasme, un humaniste hollandais publie un ouvrage intitulé De civitate morum puerilium. Cette œuvre instaure un grand nombre de manières et usages à appliquer en public, que nous pratiquons toutes de nos jours de manière instinctive. Autres faits importants

avec des savoirs multiples pour pouvoir changer les temps. L'humanisme pendant la réforme, et les guerres de religion. L'humanise et la Réforme ont la même origine : ils font le retour aux textes, et ont une réflexion critique. Par exemple, Erasme et Lefève d'Étaples étudient la Bible selon la même méthode qu'ils utilisent pour les œuvres de l'antiquité. C'est comme ça que l'esprit de libre examen (le libre examen est un principe qui prône le rejet de l'argument d'autorité en matière de savoir

réfléchissent sur les textes, reprennent les mythes et les légendes en les chargeant de nouvelles significations ; c'est le temps d'une spécialisation naissante dans le domaine, et d'autres deviennent "antiquaires", c'est-à-dire historiens, ou géographes. Érasme critique le « langage barbare », c'est-à-dire le mauvais latin des scolastiques, leur ignorance des lettres et des langues. Une bataille s'ensuit autour de l'usage de la langue de Cicéron et du Ciceronianus, des humanistes se répondant par publications