Érinyes

la forme du monologue dans l'expression de la haine de Médée ? Figures de style/ Procédés d’écritures | Fonction/ Interprétation/ Signification | Périphrases/ énumérations (v. 1,2,3) è | Insiste sur la figure terrifiante des Erinyes*** | Pronom « vous » (v.1,11) + impératif (v. 5,7,9) è | Traduit la violence vivante de Médée car elle est capable de s’adresser a des êtres qui ne sont pas sur Terre. | Métaphore, accumulation, périphrase(v.16,2) è | *** |

la forme du monologue dans l'expression de la haine de Médée ? Figures de style/ Procédés d’écritures | Fonction/ Interprétation/ Signification | Périphrases/ énumérations (v. 1,2,3)  | Insiste sur la figure terrifiante des Erinyes*** | Pronom « vous » (v.1,11) + impératif (v. 5,7,9)  | Traduit la violence vivante de Médée car elle est capable de s’adresser a des êtres qui ne sont pas sur Terre. | Métaphore, accumulation, périphrase(v.16,2)  | *** |

soit fort ou que ce qui est fort soit juste ». L’association de la force et de la justice est-­‐elle donc suffisante ou seulement nécessaire ? .Dans Les Euménides Athéna remet en question une utilisation injuste de la force : la vendetta. Les Erinyes, elles, expriment la nécessité de la force pour assurer l’exercice de la justice. Cependant d’autres exemples poussent à croire que même ensemble justice et force peuvent s’avérer mauvais. En témoigne l’injustice à laquelle sont confrontés

(justice sans fin où les Erinyes ont un pouvoir archaïque), vers une justice « publique » fondée sur le procès et qui met fin au cercle ou au cycle infernal des vengeances et des souffrances (justice d’Athéna, droit moderne). (On passe de la loi des Anciens Dieux [dirigés par Kronos, roi des Titans] à la justice des nouveaux Dieux Olympiens [dirigés pas Zeus]) La volonté d’un Dieu rencontre la volonté d’un personnage (celle D’Oreste et celle d’Apollon). La justice des Erinyes et la justice Athénienne

l'œuvre Il s'agirait en fait, des trois Erinyes, ou furies dites également « déesses du remord » qui dans la tragédie d'Eschyle poursuivent Oreste. Ce dernier reçu l'ordre d'un oracle de tuer sa mère afin de venger son père, matricide, il est contraint à l'exile, hanté par les Erinyes. L'Orestie du tragédien grec Eschyle devient un thème cher à Bacon qui lui consacra plusieurs œuvres et notamment Le Triptyque inspiré de l’Orestie d’Eschyle. Les Erinyes, sont en fait des divinités grecques et qui

n’est pas permis au plus équitable homme du monde d’être juge en sa cause. »  Steinbeck, page 50 : les métayers de l’Oklahoma revendiquent le droit de posséder des terres que leurs ancêtres ont volées aux Indiens.  Eschyle : dans Les Euménides, les Érinyes pourchassent Oreste pour avoir appliqué la loi du talion, qu’elles-mêmes revendiquent. → Il est donc nécessaire que la justice soit remise aux mains d’un juge impartial. Cf François Ost : Raconter la loi, p. 83 : [Le juge] est « la première autorité

Clytemnestre et d’Égisthe, Oreste, en proie au remords, a trouvé refuge à Delphes, dans le temple d’Apollon où les Érinyes, les déesses chargées de punir ceux qui ont violé les lois du sang, l’ont poursuivi. Lavé de sa souillure, il reparaît à Athènes et se jette au pied de la statue d’Athéna. Chargée par le sort de départager Apollon, qui s’institue le défenseur d’Oreste, et les Érinyes, toujours assoiffées de vengeance, la déesse confie au tribunal de l’Aréopage le soin de prononcer son arrêt. Partagées

Égisthe, puis Clytemnestre. Enfin, Les Euménides montre Oreste harcelé par les Érinyes, qui le persécutent pour avoir tué sa mère, bien que ce meurtre ait été commandité par les dieux. Mais grâce à l'intervention d'Athéna, Oreste est finalement absout à Athènes, par le tribunal de l'Aréopage, qui remplace la notion de vengeance, typique des temps de barbarie, par celle, plus civilisée, de justice civique. Quant aux Érinyes, elles deviennent les « Euménides », c'est-à-dire les « Bienveillantes » ; elles

Clytemnestre et d’Égisthe, Oreste, en proie au remords, a trouvé refuge à Delphes, dans le temple d’Apollon où les Érinyes, les déesses chargées de punir ceux qui ont violé les lois du sang, l’ont poursuivi. Lavé de sa souillure, il reparaît à Athènes et se jette au pied de la statue d’Athéna. Chargée par le sort de départager Apollon, qui s’institue le défenseur d’Oreste, et les Érinyes, toujours assoiffées de vengeance, la déesse confie au tribunal de l’Aréopage le soin de prononcer son arrêt. Partagées

aisément bafoué sur le plan pratique. Alléguer la coutume comme fondement du droit, admettre comme usage la variation des lois sont une justification habile de la violence du droit. On peut voir la transmutation de la violence dans les Euménides, ou les Erinyes ont été persuadées par Athéna d'accepter l'acquittement d'un meurtrier, Oreste. Bien souvent, la force injuste s'impose sans chercher à convaincre par le verbe. Dans Steinbeck, par exemple, les employés de la banque invitent au fatalisme. La justice