Érotisme

Caravage, est un peintre italien né le 29 septembre 1571 à Milan[1] [2] et mort le 18 juillet 1610 à Porto Ercole. Son œuvre puissante et novatrice révolutionna la peinture du XVIIe siècle par son caractère naturaliste, son réalisme parfois brutal, son érotisme troublant et son emploi de la technique du clair-obscur qui influença nombre de grands peintres après lui Polidoro Caldara Polidoro Caldara, dit Polidoro da Caravaggio (en français, Polydore de Caravage), (né en 1495 à Caravaggio dans l'actuelle

Louvre Éros est une figure fréquemment représentée dans l'antiquité, ici sur un Skyphos attique à figures rouges (420-410 av. J.-C) provenant d'AthènesDans la mythologie grecque, Éros (en grec ancien Ἔρως / Érôs) est le dieu de l’Amour. Le mot érotisme provient de Éros. Mythologie[modifier] Dans la Théogonie d’Hésiode (VIIIe siècle av. J.-C.), Éros constitue, avec Chaos, Nyx, Gaïa et Érèbe une des cinq divinités primordiales[1]. C'est le seul des trois qui n'engendre pas, mais qui permet

Davringhausen, 1922, Cologne, W. R. M.), soit dans le lieu de son activité professionnelle (Dix : le Médecin, 1921, id. ; Davringhausen : le Profiteur de guerre, 1920, Cologne, coll. part.). Les nus, fort dépréciatifs chez Dix, sont parfois d'un érotisme qu'accentue la distinction du style, un peu à la manière de certains Vallotton (Christian Schad : Nu allongé, 1929, Wuppertal, Von der Heydt Museum). Ils participent aussi fréquemment d'un certain symbolisme, remarquable chez Anton Räderscheidt (Nu

l'urètre, ainsi que l'épiderme et autres surfaces sensibles. Pour ce faire l’enfant n’a pas besoin d’une personne intermédiaire, il se satisfait au moyen de son propre corps, cette phase est, d'après l'expression de Havelock Ellis, la phase de l'auto-érotisme, la succion ou tettement des petits enfants est un bon exemple de satisfaction auto-érotique. Il se manifestent, très vite, chez l'enfant, ces composantes instinctives du plaisir sexuel : la libido, qui exigent l'intervention d'une personne étrangère

la bêtise crasse. 2/ Les thèmes Les thèmes de prédilection du réalisme traduisent la vision définitivement matérialiste de l'époque, qui nie farouchement la dimension spirituelle de l'univers et de l'homme. Le pouvoir de l'argent ; Le corps (érotisme, sensualité, souffrance) : fin de la pudeur ; La maladie et la médecine (ce thème rejoint le thème du corps souffrant) ; L'absence de spiritualité (négation de Dieu, dénonciation de la religion, mort vue comme une fin). IV) Méthodes L'écrivain

1. La déclaration d’amour de DG à Manon -Au nez et à la barbe du « vieil amant », DG déclare son amour et son attachement à Manon : image très sensuelle et érotique de « nos deux chairs se touchent de bien proche »(passion physique, érotisme), et déclaration d’un amour indéfectible « j’aime ma sœur Manon comme un autre moi-même » (allitération en [m] qui insiste sur cette dépendance amoureuse. DG joue donc son rôle à merveille, en prenant soin d’avoir un air « niais » pour ne pas éveiller

« caressent » (v.5)… Par rapport à l’intention, l’auteur à pour but d’exprimer et partager des sentiments personnels et il montre son besoin d’amour charnel. Le chat, en tant que métaphore de la femme, permet d’évoquer des images d’une grande sensualité et érotisme. Par rapport à la structure, le poème est composé de deux quatrains et un sizain. La poésie est donc composé d’un total de quatorze vers, alternant les octosyllabes avec les décasyllabes, fait qui est un exemple de modernité où Baudelaire prend

la couleur et du mouvemen | Italie Vénitien Tiepolo *Art du trompe l’œil France Boucher ; protégé par la marquise de Pompadour (maîtresse de Louis 15) *Exubérance des couleurs et du mouvement, préférence pour un érotisme léger Boucher, Triomphe de Vénus | Néoclassique | Deuxième moitié du 18ème siècle + début 19ème Les peintres romantiques adapteront ce genre en y mêlant des traits baroques lors d'une fouille on découvre des œuvres anciennes

ensorceleuse La Loreley est imaginée par le poète romantique allemand Brentano au XIX° siècle qui à inséré dans son roman Godwi le poème de la Loreley (1801): elle avait le pouvoir de s’emparer de l’esprit des hommes , elle les tuait par sa beauté. => érotisme, femme fatale, don Juane Condamnée au couvent par un évêque qui lui évite le bûcher, elle choisi de se suicider en regardant le Rhin. Chez Apollinaire c’est une femme dangereuse, belle est ambiguë, mais elle connait aussi un amour passionnel

tigres aux formes souples tandis que la figure d’un éléphant perché sur de très longues pattes se découpent sur le ciel avec un obélisque. L’interprétation des symboles représentés peut être multiples, mais elle est dans tous les cas dominés par un érotisme aigu et profond. La composition de ce tableau comme beaucoup d’autres se basent sur l’éclatement des images et de l’ensemble comme si une explosion avait désagrégé toutes choses, toutes formes, ne laissant place qu’à des phantasmes, des rêves et