Érotisme

l’éducation, les manifestations érotiques de l’enfance sont oubliées, refoulées. L’instinct sexuel de l’enfant est indépendant de la fonction de reproduction. Il ne recherche que le plaisir, par l’excitation de zones érogènes. C’est la phase de l’auto-érotisme. Très vite se manifeste également le plaisir lié à une intervention d’une personne étrangère. Ces instincts se présentent par groupes de deux, opposés l’un à l’autre, l’un actif et l’autre passif, dont voici les principaux : sadisme et son opposé

le regard narquois des yeux de la jeune fille l'connaissances de la tempête à venir, sachant que la décadence ne pouvait pas durer; et de cette façon Le Baiser Volé se dresse comme un artefact historique, transcendant les limites du simple genre érotisme.  The Stolen Baiser Inspirations pour le travail Parmigianino  Parme Double portrait d'un couple  Frans Hals Cette peinture, typique des œuvres tardives de Jean-Honoré Fragonard, attire fortement de plusieurs sources. Évidemment, le sujet

rose : ce poème est adressé à Lou de façon directe. Il est érotique et sensuelle. Apollinaire décrit sa bien-aimée comme une déesse. Lou mon étoile : ce poème est adressé à Lou de façon directe. Il compare Lou à une étoile. Apollinaire lie amour et érotisme par la description de Lou. C’est : ce poème est adressé à Lou de façon indirecte. Apollinaire montre que Lou partout et il veut la voir de partout pour ne pas l’oublier. Oriande : ce poème est adressé à Lou de façon directe. Apollinaire compare

moderne, expression des sentiments. Aquarelles, paysages. Eugène Delacroix (liberté, peuple), F. Goya, JL Theodore Jéricho (le radeau de la méduse). Thème, la littérature, mytho nordique, dieu, déesse, moyen âge, imaginaire, mystère, fantastique, érotisme, folie, évènements historique, peinture animalière (Jéricho), contraste lumière, ombre. Touche plus large (1800), couleurs éclatantes. Dessins moins importants. Figures, idéal historique. REALISME – 1820-1830 Imite la réalité. But, représenter

puisque l’on peut observer l’épanchement du narrateur ému qui admire la beauté de la nature féminine grâce au participe passé « fasciné ». Il met en évidence sa posture de sujet sous le joug de cette beauté. Ce balancement entre pureté mystique et érotisme du charme féminin s’incarne dans l’opposition entre le réseau sémantique de l’initiation amoureuse et le lexique érotique. Cet aspect qui se traduit par la description des épaules considérées comme « pudiques » et « nues pour la première fois » et

sociales. l’objet de cet axe est l’analyse de la banc et du développement du sujet, de la subjectivité ce que structure, qui se structurer dans le sphère proposé par : la langue ; les disposition de descendance ; la socialisation de la érotisme ; la place dans le action de la société, etc. font tendance de ces études : Les conflits inconscients provoqués par le passage de l'hétéronomie à l'autonomie, par la socialisation des swinguer naturelles ; La coeur de soi, du

but du sadisme est la recherche de plaisir dans la souffrance volontairement infligée à autrui, il est fréquemment associé avec des activités sexuelles. Connu comme un des écrivains maudits grâce à ses œuvres chargées de violences, dépravation et érotisme explicites censurées à l’époque, il à passé 27 de 74 années de sa vie emprisonné et en asiles, à La Bastille il a écrit des ouvres clandestines comme Justine ou les Malheurs de la vertu, La Philosophie dans le boudoir, Les Cent Vingt Journées en

le développement de l’adulte. Effectivement la sexualité n’apparaît spontanément l’adolescence, il y a tout un processus dès la naissance qui se met en place. L’enfant découvre des sensations de plaisirs, mais que l’on peut déjà qualifier « d’auto-érotisme ». Ensuite l’enfant manifeste très vite, et instinctivement, le besoin d’une autre personne, à partir de là on peut considérer que l’enfant a une « libido ». À la puberté surgit la « grande marée des besoins sexuels », cependant ceux-ci subissent

malheur veut que qui veut faire l’ange, fait la bête » (Pascal)             Baudelaire dans ce poème dépasse l’éloge de la femme et déroge aux codes de la déclaration d’amour classique pour atteindre une vision idéale de l’amour à travers un érotisme assumé.  C’est une recherche de l’unité d’où le dépassement des contradictions pour atteindre les étoiles ou le septième ciel mystique. Pour Baudelaire, l’amour peut être une initiation et un accès au spirituel et le serpent peut être le symbole

vient entre douleur et triomphe. Ainsi, les amours sont répétitives (il a toujours rompu ses relations amoureuses). On a l’impression d’un éternel féminin non attaché à une femme mais seulement à un forme d’amour. Ses amours sont à mi-chemin entre érotisme (blason du corps toujours identiques : les mains, les paupières) et le rêve mythique d’une relation sacrée à la femme qui aiderait à une relation sacrée avec le temps 2) Multiplicité des points de vueOn trouve très peu d’événements