Erreur Obstacle Vérité

Sujet : L’erreur en EPS Préambule Accompagnée d’une empreinte morale faisant d’elle une faute, l’erreur a longtemps été perçue négativement à l’intérieur de l’institution scolaire : faire des erreurs, c’était « ne pas faire attention », « ne pas apprendre ses leçons », voire « faire n’importe quoi ». Mais depuis les travaux d’épistémologie des sciences de Gaston Bachelard montrant, avec la notion d’obstacle épistémologique, que le traitement de l’erreur est le passage obligé de la connaissance

relation didactique La transposition didactique : du savoir savant au savoir élève III- Les principes concepts de la didactique 1- Les représentations A- Définition B- Le statut des représentations en didactique C- La notion d’objectif – obstacle 2- Le conflit socio-cognitif 3- Le contrat didactique IV – En guise de conclusion V - Devoir corrigé 1 Introduction On ne peut parler de didactique sans la rapporter à une discipline de référence . On parle de didactique des disciplines

C’est être dans le vrai ou être dans le juste, avoir le droit pour soi ( Expressions contraires : se tromper être en faute, avoir tort) (*)Deux registres sont donc convoqués par la question : celui des sciences et de la recherche de la vérité ; le registre juridico-politique (*) L’ évocation du registre du jugement esthétique s’impose avec beaucoup moins d’évidence. La beauté s’éprouve mais ne se prouve pas. Il n’y a pas de démonstration du beau. L’évidence de la beauté est de l’ordre

toutes théories scientifique nous amène vers la vrai vérité. Cela nous permet d'être plus précis et de se rapprocher de notre objectif. Le fait de remettre en cause nos théories nous permet de ne plus nous tromper et c'est un critère important de la science. Dans la plupart des cas ce renouvellement ne se fait pas de manière brutale, les scientifiques affinent les théories, les complètent au lieu de totalement les réfuter on se rapproche de la vérité. L'exemple de la théorie de l'évolution ou bien encore

il ne s'agit pas de considérer des obstacles externes, comme la complexité et la fugacité des phénomènes, ni d'incriminer la faiblesse des sens et de l'esprit humain : c'est dans l'acte même de connaître, intimement, qu'apparaissent, par une sorte de nécessité fonctionnelle, des lenteurs et des troubles. C'est là que nous montrerons des causes de stagnation et même de régression, c'est là que nous décèlerons des causes d'inertie que nous appellerons des obstacles épistémologiques. La connaissance

s’éloigne de la connaissance vraie puisqu’elle ne peut pas rendre raison d’elle-même. Toutefois, il arrive que l’opinion soit par hasard vraie, qu’elle coïncide, sans l’avoir cherché, avec la vérité. Rejeter un avis au nom de la vérité, est-ce nécessairement affirmer que l’opinion n’est capable d’aucune vérité ? Ne peut-on pas parler d’opinion vraie ? En effet, si nous la rejetons systématiquement, il devient dès lors difficile d’accepter que des régimes politiques puissent reposer sur ce que l’on

vraie qui serait utile et fiable. Pour cela, il faut partir d’une vérité absolument certaine. Pour la découvrir, il procède à un doute hyperbolique et méthodique. C’est un doute exagéré puisqu’il porte sur tous les domaines et qu’il pousse à considérer comme faux un simple doute. Car il s’agit de ne pas confondre le vrai et le vraisemblable, pour ne pas prendre de risques. C’est un doute stratégique, il est un moyen pour accéder à la vérité, il se distingue donc du doute des sceptiques (philosophes antiques

dominante, les obstacles proviennent de l’expérience et sont considérés comme source de confusion et d’incertitude. L’expérience nous vient de nos 5 sens : L’ouïe, l’odorat, la vue, le toucher et le goût. C’est grâce à eux que nous viennent les désirs et les envies qui faussent notre jugement. Comme nous le montre PLATON, nous nous laissons fasciner par tout ce qui brille, par les nouveautés, ce ne sont donc que des envies momentanées. L’apparence induit donc notre vision des choses en erreur. L’homme

Doute et vérité Introduction : Nous commençons à connaitre le monde par l’intermédiaire de notre sensibilité. Les réalités sont d’abord celles de notre existence quotidienne dont nous nous contentons habituellement pour vivre. Nous avons emmagasiné depuis notre enfance une grande quantité d’opinions que nous avons crues vraies et qui se sont révélées incertaines ou fausses. Les opinons sont des jugements que l’on porte sur des choses ou sur des personnes. Elles sont imprégnées de nos craintes

activités) sont transposables dans le domaine de la pensée: un certain nombre d'opérations mentales peuvent, grâce à la répétition, et à l'habitude, se transformer en automatismes, qui s'effectuent de manière inconsciente. Loin d'être un obstacle pour la liberté, les automatismes, qu'ils soient corporels ou mentaux, constituent le fonds inconscient qui permet à la réflexion de se déployer au plus haut degré. +PASCAL (mathématicien et philosophe français du XVII ème siècle)