Erreur Sur Rentabilité Economique

besoins en différentiant l’offre et en adaptant les actions aux différents types d’attentes. Mais le principal avantage est surtout de se distinguer de ses concurrents. En concentrant ses efforts sur certaines cibles l’entreprise augmente ainsi sa rentabilité. B. La représentation des segments Afin de mieux visualiser les groupes, on les représente sous la forme d’arbre ou de graphique. * 1) Les arbres de segmentation Pour obtenir un arbre de segmentation on divise la population

2010- 2011 1 Gestion Logistique Professeur : Jamal Elbaz b. La moyenne mobile pondérée d’ordre 4 (utiliser les poids w1=0,1 ; w2= 0,2 ; w3=0,3 ; w4=0,4) c. Le lissage exponentiel avec alpha prenant les valeurs 0,1 et 0,7 d. Calculer les erreurs de prévision à l’aide des 4 critères d’erreur e. Choisir la meilleure méthode Année universitaire 2010- 2011 2 Gestion Logistique Professeur : Jamal Elbaz Formules de calcul Méthodes de prévision : Quelques modèles de prévision simple

premières formalisations du contrôle remontent à la fin du XIXe siècle et surtout au début du XXe siècle en Europe et aux Etats-Unis. Le contrôle a d’abord concerné l’activité de production et s’est développé pour répondre à l’évolution technique et économique de l’entreprise[1]. Ainsi le contrôle n’a plus exclusivement un but plus ou moins coercitif mais exprime une volonté de maîtrise de soi ou d’une organisation. La gestion ne se limite plus à un arsenal de règles de maximisation des objectifs

La crise de 1929 est une crise globale, car elle touche l'ensemble du monde, absolue, puisque la vie économique et sociale sont durablement atteintes, et de nature dépressive. C'est une crise de la demande car à la production de masse ne correspond pas encore une consommation de masse. Elle est le fait d'un blocage dû au contraste entre le progrès industriel et le retard social. Le régime d'accumulation n'est pas en cause à l'inverse du mode de régulation : l'archaïsme institutionnel, par le rapport

dernières années avec l’exigence des filières techniques et professionnelles. Ces formations axées avant tout sur l’acquisition de compétences applicables dans le milieu professionnel concèdent peu de place à l’histoire. D’ailleurs, d’un point de vue économique, les lauréats de tels diplômes produiront des richesses réelles alors qu’un diplômé en histoire ne produit rien, du moins rien de tangible. De plus, l’étude de l’histoire en elle-même est longue et fastidieuse. Cette matière n’est pas réputée

commerciales pratiquent elles aussi le flux tendu................................................. 11 B. OBJECTIFS DES FLUX TENDUS AU NIVEAU DU FINANCEMENT ................ 11 1. La rentabilité financière ................................................................................................... 12 2. La rentabilité économique ............................................................................................... 12 3. Effet de levier (Leverage effect) ....................................

R. Pradeau, stage du 11/03/2014, Nice Comment expliquer les fluctuations économiques ? I/ Problématiques et objectifs Programme (cf doc 1) : On s'intéresse ici à la phrase des IC « On présentera les idées directrices des principaux schémas explicatifs des fluctuations (chocs d’offre et de demande, cycle du crédit), en insistant notamment sur les liens avec la demande globale. » Remarque : « demande globale » est un acquis de 1e. Spécificité de cette question par rapport au reste du programme :

écart croissant entre les valeurs de marché et les valeurs comptables (ou patrimoniales). Les analystes estiment que la valeur immatérielle d’une entreprise peut représenter jusqu’à 70 à 80 % de la valeur totale. Quel est le sens " comptable " et " économique " de cette affirmation ? Il y a-t-il encore un sens d’évaluer la valeur d’une entreprise par rapport à la règle comptable actuelle ? Pourquoi le marché financier considère une entreprise " potentiellement " rentable à partir d’un patrimoine d’activés

Carrefour…………………………………………………..7 4) Informations financières……………………………………………………8 PARTIE 2 – DIAGNOSTIC DE LA RENTABILITE……………….10 I. Analyse de la rentabilité des capitaux propres……………………………………10 1) Bilan patrimonial…………………………………………………………..10 2) Calcul de l’effet de levier………………………………………………… 11 II - Taux de rentabilité économique………………………………………………...11 1) Décomposition en taux de marge économique …………………………..11 2) Tableau des soldes intermédiaires de gestion…………………………….12 PARTIE 3 - DIAGNOSTIC

......36 Section II : Analyse des procédures de gestion ..........................................................39 Section III : Analyse des conditions et modes de paiement ........................................45 Section IV : Diagnostic des erreurs de gestion de la tresorerie ...................................48 Chapitre III : Impact de l’assujettissement de la COPAG sur sa trésorerie............................51 Section I : Activités imposables............................................