Es Tu Brune Ou Blonde Verlaine

table par trop triviale sur laquelle s'appuyait le modèle, mais il a surtout déplacé l'axe de sa photographie en sacrifiant tout son côté droit pour mieux mettre en valeur l'attitude offerte de la femme et la fluidité de cascade d'une longue chevelure brune très érotique. Man Ray - Série de Nus - vers 1922 - Centre Pompidou C'est précisément sous ce nouveau titre de « Chevelure » que l'on retrouve cette photographie sur le site du Man Ray Trust, datée cette fois de 1937, c'est-à-dire de l'année de

classiques. Il libère également la poésie des contraintes de la ponctuation, suivi en cela par de très nombreux poètes du XXe siècle. D’un point de vue pédagogique, on pourra demander aux élèves de comparer « Zone » avec des poèmes de Baudelaire ou de Verlaine pour saisir les écarts. © Éditions Belin 5. Référents des pronoms personnels : Vers 1-3-11 : « tu » + vers 9 : « toi » + vers 9-10 : « te » : les pronoms désignent le poète qui se met en scène dans le poème, s’apostrophe lui-même tout en gardant

il est souriant et joyeux. Il a vraiment l’air très heureux. Physiquement, il est plutôt fort, corpulent. Son visage est rond, lisse, respirant une évidente bonne santé. Il porte des cheveux bruns mi-longs et une moustache longue et fine également brune, rappelée par un petit carré de poils noirs sous la bouche. Ses yeux noirs, ronds et bien ouverts, et son teint basané, nous portent à penser qu’il vient du sud. Il sourit franchement. Son nez semble large, avec une tache assez prononcée sur la partie

Dumesnil), Librairie de France, 1938, p.289. Une vie de Maupassant ou « l'écriture du vide » Aurore Loison - 2007/2008 33 cesse, j'entends sa voix, je retrouve ses gestes, je le vois à tout moment debout devant moi avec sa grande robe brune et ses bras levés en parlant. C'est comme une solitude qui s'est faite autour de moi, le commencement des horribles séparations, qui se continueront maintenant d'année en année, emportant tous les gens qu'on aime, en qui sont nos souvenirs, avec qui

rustice; dedesupt, ciorapi de mătase agăţaţi pe vergele înfăţişau profiluri de pulpe rotunde, unii presăraţi cu bucheţele de trandafiri, alţii, în toate culorile, cei negri cu ajur, cei roşii cu baghete brodate, iar cei roz aveau luciul satinat al pielii blonde; în sfârşit, mănuşile, aşezate simetric pe postavul etajerei, cu degetele lor alungite, cu palma îngustă, ca la fecioarele bizantine, aveau acea graţie rigidă şi parcă adolescentă a nimicurilor feminine care n-au fost încă purtate. Dar ultima vitrină