Escalator

tangage cessèrent. Le silence revint à bord, exception faite du ronronnement des machines. Finalement, Léo remonta du pont inférieur. Il était couvert de sueur, de poussière de chaux et de goudron. Son tee-shirt avait l’air d’être passé sous un escalator. Du slogan « Allez les Léo ! », il ne restait plus que « lez les Lé ». Mais c’est avec un sourire extatique qu’il annonça que tout était sous contrôle. 201/1102 – Réunion au mess dans une heure, ajouta-t-il. Folle journée, hein ? Quand ils eurent

the spelling “Jambalaya.” “Unzip a Banana” was a suggestive Trinidadian calypso, later used as an advertising slogan to promote the sale of bananas. Presumably it is one of the posters from that ad campaign that Mixed-Up reads as he goes up the escalator. The story is threaded through with the rising adolescent desires of the narrator, whose frank but frustrated yearning for sex contrasts strongly with the more subdued affection between the two old people. But these two threads have in common a lack

photographique s'est lentement sublimée en moi. Le nouveau terminal RER semblait sortir d'une séquence de THX 1138, de Georges Lucas. Corridors blancs dallés de nuances de gris, se ramifiant à l'infini, sous des rampes de néon à la lumière blanc-bleu. Escalators et couloirs roulants, se superposant en galeries entrecroisées, larges aires commerciales alignant leurs vitrines aux lumières pâles (le logo Sécurit-UltraCarbon en tache jaune mille fois répété), locks de consignes, casiers de métal blanc ou gris