Essai Sur Les Données Immédiates De La Conscience

Henri BERGSON (1888) Essai sur les données immédiates de la conscience Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, Professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web pédagogique : http://www191.pair.com/sociojmt/ dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" fondée dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

DEVELOPPEMENT : L’auteur commence par opposer la singularité de la pensée avec le caractère général des mots qui l’expriment. Pour cela, il prend deux exemples, à savoir l’amour et la haine. Il dit dans cet extrait de "l’Essai sur les données immédiates de la conscience "que la façon d’aimer ou de haïr de chacun lui est propre dans la mesure où elle dépend de sa personnalité. C’est donc qu’il admet que la personnalité de chacun diffère de celle des autres. Et comment ne pas l’admettre puisque si ma

Explication de texte, philosophie. Ce texte est un extrait de l' Essai sur les données immédiates de la conscience par Bergson qui est un philosophe français du 19ème siècle. Dans ce texte, Bergson s'intéresse principalement à la notion de langage. L'auteur soutient que le langage a une influence sur nos sensations. Dans ce cas, est-il possible de donner une définition exacte de nos sensations par le langage sans les déformer? Bergson tente d'y répondre par ce texte composé de sa thèse, du problème

Dans le premier chapitre de l' Essai sur les données immédiates de la conscience Bergson traite de la variation -et plus précisément de l'accroissement- d'intensité de nos états de conscience dits profonds. Dans les paragraphes qui précèdent il expose et réfute l'opinion problématique du sens commun, qui consiste à comparer en termes de grandeur deux intensités, alors que les faits psychiques sont purement inétendus Mais en quoi consiste alors l'accroissement d'intensité de nos états internes, et

existence, sa teneur concrète (ce qu’elle a pu offrir) a toujours été vécu « en durée ». En outre, on voit mal pourquoi, sur la base de ce sentiment subjectif des durées (au pluriel), qui reste dans le langage du temps-quantité (=des durées que la conscience mesure mal mais que l’on aurait pu mesurer), il nous faudrait une tout autre théorie du temps. C’est un peu comme si l’on prétendait fonder une physique différente, une physique à usage philosophique, juste sur la base du fait que nos impressions

de la conscience et de la vie spirituelle. Philosophie qui se découvre spiritualiste, fondée sur une morale ouverte et sur une religion d'amour et de mystique. Sa réflexion part d'une philosophie du moi psychologique (Essai sur les données immédiates de la conscience / Matière et Mémoire), s'approfondit dans une intuition de la vie (L'Evolution créatrice), s'épanouit enfin dans une philosophie de l'esprit (Les Deux Sources de la morale et de la religion) - Essai sur les données immédiates de la conscience'

Conscience et inconscient ''Suis- je ce que j'ai conscience d'être ? '' ; '' Quel est ce « je » qui dit je ? ''… Notions impliquées : Bonheur , vérité , langage. Introduction : Il semble évident que chacun sait ce qu'il est a conscience de son identité perso = express comm : '' je connais mes limites '' '' tu n'est pas à ma place ''… = présence d'une conscience qui n'est pas physique mais métaphysique. Pourtant au lieu de me comprendre je peux parfois être dans l'ignorance sur moi mme =

peut communiquer notre psychisme profond, le langage ne peut exprimer le réel objectif. Il n'est qu'un instrument d'action.C'est ce qui explique le privilège de l'intuition chez Bergson. Ce mode de connaissance direct, immédiat, nous fait pénétrer l'être profond du réel. c. La conscience Bergson distingue deux types de temps. D'une part le temps, le temps dit "objectif", c'est à dire le temps vue par la science délimité en heures, minutes et secondes. Cependant, Bergson déplore le fait que temps objectif

sur son identité. Cette faculté de se retourner sur soi-même s'appelle "conscience de soi". Mais comment "puis je", ce qui renvoie à la possibilité et un sujet, "savoir" qui renvoie à la connaissance," qui je suis ? ". Est il possible de savoir avec exactitude qui je suis ? Ce qui confère au sujet humain une certaine dignité particulière. La conscience de soi ouvre le sujet à des ambitions qui le transcendent. Mais la conscience n'est elle que connaissance de soi? Sans doute un enfant peut-il, à partir

 La conscience I ) Qu’est ce que la conscience ? Plusieurs définitions : 1-La conscience sensible suppose une perception sensible ( information de sens et traitement de l’information ) 2- Conscience de soi : sentiment d’exister, d’être une individualité . Cela suppose d’avoir conscience de ses actes, et avoir une conscience intellectuelle. La conscience de soi nous renvoi une image de nous même ( être beau , être grand) . Elle suppose une expérience