Essor Du Capitalisme Libéral Aspects

franchie par l’inflation en 1980 et par le chômage en 1982) => crise plus inquiétante que la précédente : plus sévère et plus générale, baisse rapide des prix du pétrole (met un terme au recyclage des pétrodollars), retour des États-Unis à l’orthodoxie libérale (attirent la plupart des capitaux disponibles : cours du dollar monte considérablement et contraint les autres pays à réduire leurs importations et leur activité économique) => monde entier plongé dans un profond marasme, mais désinflation sensible

BRAUDEL ET SCHUMPETER : DEUX MANIERES DE VOIR LE CAPITALISME ? Fabrice DANNEQUIN 1 BRAUDEL ET SCHUMPETER : DEUX MANIERES DE VOIR LE CAPITALISME ?1 BRAUDEL AND SCHUMPETER : TWO DIFFERENT WAYS TO CONSIDER CAPITALISM ? Fabrice DANNEQUIN2 Résumé. Etudier le capitalisme peut se réaliser de façon fructueuse par la comparaison/confrontation d'auteurs comme Fernand Braudel et Joseph Schumpeter. Certes, le marché et le capitalisme sont imbriqués chez l'économiste, alors que chez l'historien

de la richesse mondiale à lui seul. Sa population dynamique et la mise en valeur de son territoire lui garantissent le rang de première puissance mondiale. Toutefois, l’aggravation de la fracture sociale fragilise la société américaine. Les aspects de la puissance et de la fragilité des Etats-Unis seront analysés sous trois angles. Après une présentation du rêve américain et des fondements de cette puissance économique, nous tenterons de comprendre quelles sont les conditions qui favorisent

transcende les frontières et intègre les nations. Les firmes s’organisent elles aussi en réseaux et deviennent des firmes globales, cherchant à optimiser leur production. Responsable ou coupable ? Ce phénomène d’internationalisation est mondial. Les libéraux y voient un avenir prometteur. Cependant, ces opposants sont de plus en plus nombreux parmi capitalistes et l’opinion public, et considèrent la mondialisation dangereuse. KRUGMAN écrit : La mondialisation n’est pas coupable en 1996. De nombreux

consacre les conquete de la révolution La laïcisation complete du droit est confirmé par code civil. Mariage et état civil demeure d institution strictement civil. La conception individualiste ( primauté a lindividu) est maintenu sous le double aspect d'égalité et liberté: egalité des pers et d terres, absolutisme du droit de propriété et la liberté contractuelle. Sous influence de napoléon il y a eu un renforcemen de lautorité paternelle. Le divorce est maintenu mais il est plus stict car

• … mais c’est seulement au XVIIIe siècle (Voltaire) et au XIXe (Michelet) que l’histoire s’ouvre peu à peu sur les aspects non évènementiels, militaires ou politiques … • … pour prendre enfin une place centrale dans les sciences historiques avec l’école des annales (Marc Bloch, Lucien Febvre, Fernand Braudel) au milieu du XXe siècle → La nouvelle histoire absorbe tous les aspects de la vie humaine (les histoires sérielles, quantitative, sociale, démographique) – L’économie • Contrairement

l'ensemble des innovations agricoles survenues aux XVIIIe et XIXe siècles. Des historiens comme Georges Duby montrent, au contraire, que la modernisation de l'agriculture débuta dès le Xe siècle. Elle concorde le plus souvent avec l'apparition du capitalisme agricole qui entraîne une recherche nouvelle de la productivité. Le processus de la Révolution agricole entretient par ailleurs des liens de causes à effet, réciproques et étroits, avec la révolution industrielle et la transition démographique1

Au-delà du « bon équilibre » restent posées plusieurs questions : pourquoi et à quelles conditions le pouvoir économique serait-il porteur d’efficacité ? Pourquoi et à quelles conditions le pouvoir politique serait-il porteur de justice ? Pour les libéraux des différentes obédiences, la réponse va d’elle-même. La fusion entre les deux pouvoirs laisserait peu de place aux libertés individuelles. Il faut donc préserver le pouvoir économique du contrôle de l’Etat. Les conditions d’efficacité seraient

Libéralisme et nationalisme, ce sont les deux principes issus de la Révolution française que reprennent les partisans d’une transformation de l’Europe. On en appelle à l’indépendance des pays et l’unification des peuples. Deux courants se forment : les Libéraux soutiennent les nouveaux principes de la démocratie, concepts embrassant la souveraineté du peuple, sa représentation au gouvernement ainsi que la liberté d’expression, de la pression et de religion. Les Romantiques, quant à eux, prônent l’héroïsme

politique ». -SAY (1767-1823) : Il publie en 1803 « catéchisme d’économie politique » et en 1828 « cours complet d’économie politique pratique ». -Mills (1808-1873) : il publie en 1948 « principes d’Economie Politique ». CES AUTEURS SONT DES : -Libéraux révolutionnaires -pasteurs recherchant un ordre naturel -bourgeois cherchant à comprendre comment augmenter la richesse totale -Philosophes cherchant à dessiner les contours d’un système économiques sur le modèle de la physique afin d’exprimer