Estrada

se prononcer sur la légitimité d'un gouvernement. 1) La doctrine Tobar (1907 – Ministre des AE de L'Equateur) : un état doit refuser de reconnaître un nouveau gouvernement s'il s'est formé de façon contraire à la C° par la force. 2) La doctrine Estrada ( 1930 - Ministre des AE du Mexique ) : Le Mexique ne se prononcerait pas sur la légitimité de tel ou tel régime révolutionnaire car cette pratique porterait atteinte à la souveraineté de l'Etat en cause. Cette doctrine, pas plus que la doctrine

déjà existantes ont permis l’établissement d’une carte hydrogéologique schématique, où ont été individualisés six systèmes aquifères différents : système lié à la Formation Rio do Sul ; à la Formation Rio Bonito ; aux Formations Palermo, Irati, Estrada Nova et Rio do Rastro (tiers inférieur) ; aux Formations Rio do Rastro (tiers supérieur) et Botucatu ; à la Formation Serra Geral ; aux roches granitiques fracturées ; aux sédiments quaternaires. L’analyse de la vulnérabilité naturelle des aquifères

explicatives : [1] Korten, David : When Corporations Rule the World, Kumarian Press & Berrett-Koehler, 1995 [2] Pascal Galinier : « Sara Lee cède ses usines pour mieux développer ses marques », Le Monde, 11 janvier 1998 [3] Ramírez-Buendia et Rodríguez Estrada (Psicología del mexicano en el trabajo, Serie Capacitación efectiva, México, MacGraw-Hill, 1992) ont étudié cette situation au Mexique et montré que les nouveaux embauchés sont d'abord loyaux vis-à-vis de l'ami ou du parent à qui ils doivent leur

continuité de l’Etat. Un nouveau gouvernement n’a donc pas à être reconnu par les Etats étrangers ; à la limite on pourrait même considérer qu’il s’agit d’une violation du pp de non-ingérence dans les affaires intérieures (voir infra la doctrine « «Estrada » et art 2§7 Charte ONU). Pourtant, la question intéresse les relations internationales dans deux situations : a) gouv révolutionnaire Lorsqu’un changement de gvt intervient par la force (rébellion, coup d’Etat, putsch, etc.), le nouveau Gvt

09/12/2011] http://cronicasdelestallido.net/bolivie-felipe-quispe-le-dernier-mallku/ [consulté le 03/01/2014] DURAUD Bernard, « L’acte souverain de Morales », In . L’Humanité, 4/05/2006 http://www.humanite.fr/node/99251 [ consulté 03-04/01/2014] ESTRADA JOPIA Carla, « Le mouvement cocalero au pouvoir en Bolivie. Sous le regard attentif du monde entier, les indigènes et les cocaleros révolutionnent la région andine » In . dph, dialogues, propositions, histoires pour une citoyenneté mondiale, 09/2006

CROUZAT Nadine CUAU Benoit CUVELIERGuillaume DA SILVA Sonia DARDE Christophe DELCASSO Jean Francois DELCROS Stéphane DENAT Emelyne DERVIER Céline DIB Rachid DOUTRE Simon DUTKA Candie EICHENLAUB Pierre ERRAMI Nassira ESCUDIE Benoît ESMIEU Emmanuel ESTRADA Julie ESTRUCH José-Arnaud FALCO Stéphanie FERNANDEZ Kathleen FERRANDO Laurent FOINY Yoann FOURNIER Céline GACHON Emilie GAILLARDOT Charles GALINIE Cécile GALLEGO Virginie GARCIA Karine ghislainecosta@wanadoo.fr POTIER Nathalie POUSSIN Céline simoncoursieres@hotmail

non-reconnaissance lorsque la légitimité d’un gouvernement nouveau n’est pas acquise. La doctrine TOBAR a été longtemps appliqué par les USA mais fut considérée par le Venezuela comme offensante pour la souveraineté de l’Etat à reconnaitre. La doctrine ESTRADA fut une réponse à la pratique antérieure à savoir que le Mexique se bornerait à suspendre ses relations diplomatiques sans se permettre d’apprécier la légitimité du gouvernement étranger. Le deuxième exemple c’est l’Etat d’Israël non reconnu par

territoire national; b) Le gouvernement doit avoir la capacité de s’acquitter de ses obligations internationales. Plusieurs doctrines ont été développées dans ce cadre, citons simplement les deux plus importantes: · La doctrine Estrada: Si un bouleversement ou changement violent a lieu au sein d’un Etat, les autres Etats doivent s’abstenir de reconnaître ou de ne pas reconnaître le nouveau gouvernement car il s’agirait d’une ingérence dans les affaires intérieures de l’Etat;

de plus en plus nombreux, veulent approfondir la « conscientisation » et ses prolongements possibles. Équipe INODEPPremière partie : L'homme et son expérience 1.1. Paulo Freire par lui-même [Paulo Freire] Je suis né le 19 septembre 1921, à Récife, Estrada do Encanamento, quartier de la Casa Amarela. Joaquim Temistocles Freire, du Rio Grande do Norte, officier dans la Police Militaire de Pernambouc, spiritiste, sans être membre de cercles religieux, bon, intelligent, capable d'aimer : mon père. Edeltrus

soumis. L’exercice de ce pouvoir est permis par la structure militaire sur laquelle il s’appuie et sur la terreur qu’il fait régner autour de lui, bafouant sans scrupules les droits de l’homme. b) ➜ Le cas présenté est celui du Guatemala et de manuel Estrada Cabrera, mais c’est en fait tous les dictateurs d’Amérique Latine que miguel Ángel Asturias évoque à travers lui. Une fois posés ces premiers jalons, on passera à l’étude approfondie à partir des questions des trois rubriques. Etapa 1 Presentación