Et Je Porte Avec Moi Cette Ardente Souffrance

volumes. Il écarte la géométrie (trop abstraite), l'Histoire (dont les personnages lui paraissent invraisemblables). Il est touché par un roman qui étale la souffrance humaine, mais qui en "fait" trop. Il trouve enfin le prototype du livre idéal: "Le Rosaire de Florence Barclay contenait de l'amour, encore de l'amour, toujours de l'amour." la souffrance y est mêlée au bonheur et à la beauté: le vieux en est ému aux larmes. Ces histoires lui permettent d'échapper à la rumination d'un passé chaotique et

climat de souffrance insupportable pour le personnage. L’évocation du soleil suit une gradation dans l’expression de l’intensité de son action. Les formules “un souffle épais et ardent” (l.16) et “pleuvoir du feu” (l. 17) renforcent cette présence du soleil jusqu’à l’assimiler à un brasier. Outre la chaleur, le soleil est aussi source d’ une lumière dont l’intensité est elle aussi cruelle pour le personnage, est comme le suggèrent les deux adjectifs “étincelante” et “éclatant”. La souffrance est signifiée

pris l’autobus à deux heures. Il faisait très chaud. J’ai mangé au restaurant, chez Céleste, comme d’habitude. Ils avaient tous beaucoup de peine pour moi et Céleste m’a dit : « On n’a qu’une mère. » Quand je suis parti, ils m’ont accompagné à la porte. J’étais un peu étourdi parce qu’il a fallu que je monte chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard. Il a perdu son oncle, il y a quelques mois. J’ai couru pour ne pas manquer le départ. Cette hâte, cette course, c’est à cause

un poète et un dramaturge français de la période romantique. Alfred de Musset a véritablement été l'enfant de son siècle. En intitulant l'un de ses poèmes Tristesse ou en contant la mort du désabusé Rolla, Musset n'a pas seulement exprimé sa souffrance, mais aussi celle de tous ces jeunes gens qu'on a excité avec des rêves de révolutions ou de gloire militaire, mais qui, en vérité, n'ont rien vécu d'autre que la réalité la plus plate. Un Musset aurait épousé, au XVIe siècle, une petite cousine

cet extrait. Il y a d'ailleurs répétition 5 fois du mot soleil. A - Le soleil, une présence hostile Tout au long de l'extrait, la chaleur intense se fait ressentir comme en témoignent les termes : «brûlure», «brûlante» «un souffle épais et ardent» «pleuvoir du feu» -> Le Soleil est assimilé à un véritable brasier. De plus, il y a multiplication d'hyperboles épiques. On quitte le réalisme pour glisser vers l'univers du mythe, univers dans lequel les éléments peuvent être dotés d'une puissance

parole ? En effet, cette idée peut être discutable en fonction du caractère de chacun, et de la diversité des Hommes dans leurs différences. Cependant, il n’est pas à omettre que dans la majorité des cas, il sera plus aisé d’avouer des sentiments ardents à l’aide d’une Lettre plutôt que dans le blanc des yeux. Pourquoi ? Il y a certains sentiments et émotions que nous ne pouvons contenir. Néanmoins, la gêne ou encore la timidité peuvent être facteurs d’échecs dans une déclaration d’amour orale. En

MARTYR DU CONGO XIXÈME SIÈCLE (ROYAUME DE LOANGO) 1 Ardent, brusque, fougueux Question n°1 : 3 points Présentez, en six lignes, le corpus documentaire. Vous préciserez le courant littéraire dans lequel il s’inscrit et le contexte historique/politique de ses auteurs. Analyse et interprétation Question n°2 : 3 points En faisant une analyse du style du premier document, vous expliquerez en quoi ce style particulier d’écriture évoque la souffrance. Question n°3 : 4 points Quels éléments montrent

pas son tour » suggère un dévouement sans limites du jeune homme tout comme les nombreuses hyperboles qui émaillent son récit des lignes 10 à 15 : « ardeur » à la ligne 9, « tous mes habits » à la ligne 10, « tout ce que je pus imaginer » et « ardents » à la ligne 12, « entière » à la ligne 13, « vifs » à la ligne 15. De même, l’anaphore du pronom personnel « Je » au début des quatre phrases des lignes 10 à 15 montre bien que Des Grieux se donne tout entier à Manon. Mais la prolepse « par quel

obsédant de certains états. « Mon cœur effeuillé, mon cœur de douleur, Mon cœur pétrifié, mon pauvre cœur tari » Max Jacob, l'Accord • La poésie lyrique est par excellence le lieu de la comparaison et de la métaphore : « Et je porte avec moi cette ardente souffrance Comme le ver luisant tient son corps enflammé » » Guillaume Apollinaire, Calligrammes, « Tristesse d'une étoile » « C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent […]

sous le poids de son orgue », on sent le découragement dont ils souffrent, le dégout de la vie, la solitude. C’est le cas de la femme accouchant dans la douleur, et comparée à « un lingot dans un ardent braiser ». Toutes ces scènes rendent compte d’une société touchée, marquée par le doute et la souffrance ; à la manière de Laforgue, seul dans ses pensées : « Et le penseur navré songe en ses insomnies : Tout est-il seul ? Quelqu'un veille-t-il quand tout dort? » . Ces nombreuses interrogations et préoccupations