Etat De Nature Hegel

être conscient » . L’art, tel que nous le comprenons aujourd’hui, est donc avant tout une production de la beauté. Mais à quoi sert-il et quel est précisément son rôle ?  L’Art comme imitation de la nature Une longue tradition a réduit l’art à une simple reproduction de la nature. Le terme de « nature morte », par exemple, est éloquent à cet égard. Pour le bon sens populaire comme pour les premiers philosophes, l’art ne consistait qu’à recréer et à refaire, plus ou moins habilement, ce qui existait

personnes, qui composent notre société, réclament de plus en plus la peine de mort. Cette ferveur populaire qui appelle, de leur voix rauque, de leur visage blême, de leur indifférence inhumaine, la mort. Décidément, vous n’avez pas retenu la leçon ! Hegel avait malheureusement raison : ce que l’histoire et l’expérience nous apprend, c’est que les hommes n’ont jamais rien appris de l’histoire. J’entends des personnalités publiques s’exprimer en faveur de ce fléau qu’est la peine de mort ; j’entends

comme Homère ou Hésiode « qui laisser d'eux-mêmes des rejetons qui sont à même de leur assurer une gloire, parce que leurs poèmes sont immortels ». Mais c'est dans la suite de son discours que Diotime révèle à Socrate la vérité du désir. En effet la nature de l'ascension de l'âme qui désir, le terme de cette ascension marquent les retrouvailles de l'âme avec une manière de connaître qui n'est plus celle de la connaissance sensible ou de l'opinion, toujours fluctuante et contradictoire. Passant de la

James affirment que la conscience n’a pas de réalité propre et dépend | | |entièrement de l’expérience et de la réalité. Hegel affirme qu’il existe une vie intérieure, Sartre| | |qu’elle n’est pas réellement intérieure. Hegel pense qu’une partie de nous-mêmes n’est pas | | |accessible à la connaissance des autres, au contraire Sartre pense qu’il

célèbre thèse de Berkeley : « être, c’est être perçu » ou percevoir, ce qui est l’activité d’un esprit et jamais d’une chose matérielle. Notons que cette thèse ne conduit pas nécessairement à nier le monde extérieur mais seulement à lui conférer une nature spirituelle et non plus matérielle.   Le matérialisme   « À l’encontre de la philosophie allemande qui descend du ciel sur la terre, c’est de la terre au ciel que l’on monte ici. Autrement dit, on ne part pas de ce que les hommes disent

années 60 en réaction à l’esthétique dominante de l’art abstrait. Comme son nom l’indique, elle cherche à imiter les formes, les texture, les couleurs afin d’offrir une illusion parfaite de la réalité. Ce mouvement émerge dans un premier temps au État-Unis avec des artistes tel que Duane Hanson, John DeAndrea et George Segal qui se tournent vers une représentation réaliste du corps de part le modelage ou le moulage. Cependant les générations suivantes continuerons à devellgopé d’autres technique

toujours influencé par ses sentiments, son époque, ses opinions. L’œuvre d’art n’est pas une copie parfaite de la réalité comme le pensait Platon. Au contraire, elle recrée une nouvelle réalité aux yeux du spectateur, par l’imaginaire notamment. Hegel pense que ni la satisfaction des sens, ni l’imitation de la réalité ne sont l’objet de l’art. Ce philosophe du début du XIXème siècle, s’oppose à la thèse de Platon. Selon lui, l’œuvre d’art même si elle se rapporte au sensible, est œuvre de l’esprit

La culture se définit généralement comme ce qui s’ajoute à la nature ou comme transformation de cette dernière. En ce sens, on définit traditionnellement l’homme comme un être de culture en le distinguant de l’animal qui n’est et reste toute son existence que ce que la nature a fait de lui. L’homme est ainsi un être qui transforme son environnement ce qui, en retour, le transforme également. Cf. Hegel sur la double manière d’acquérir la conscience de soi (théorique, mais aussi pratique : par l’art

et humains. Anarchisme (grec anarchia, absence de chef) – Doctrine politique, apparue au XIXe siècle, reposant sur le postulat que les hommes sont par nature bons et sociables et que l’organisation des masses en communautés est spontanée rejetant par conséquent l’intervention de l’Etat voire se donnant pour objet la destruction de cet Etat « Ni Dieu, ni maître, chacun n’obéit qu’à sa propre volonté » (J. Grave). La société et l’Etat soumettant le Moi à des obligations et des lois en détruisent

morale en revanche, affirme Kant, j'atteins la liberté véritable. Pourquoi ? Ce que la loi morale me commande, c'est d'agir de telle sorte que la maxime de mon action (le mobile qui détermine ma volonté) puisse être érigée en loi universelle de la nature. En d'autres termes, si ce que je veux était une loi aussi universelle que la loi de la gravitation, le monde deviendrait-il contradictoire ou invivable ? Si la réponse est affirmative, alors mon action n'est pas morale : le critère de la moralité