Etat De Nature Hegel

religion est au service de la politique. - Le prince doit gérer son image→ PARAÎTRE - Ceux qui pensent une société meilleurs = utopiste et ils périront car ils redoutent la réalité. LE CONTRAT SOCIAL : HOBBES XII : - Hommes peu enclins par nature à se soumettre aux lois → « L’homme est un loup pour l’homme » - Seul un pouvoir commun peut tenir les volontés en respect et diriger les actions vers un avantage commun. - Il soumet la volonté et le jugement de l’ensemble des particuliers à la

l’état de nature les hommes vivaient seuls de façon égoïste guidée par leur désir. Désirs qui pouvaient nuire à autrui : « guerre de tous contre tous ». C’est à partir de ce moment-là que les hommes se sont rapprochés pour former une collectivité, d’où l’apparition de la politique afin de maintenir une cohésion sociale en instaurant des règles. De ce fait on peut définir la politique comme un ensemble de décisions prises collectivement ou individuellement par le gouvernant d’un Etat ou d’une

courante • Sens général : activité par laquelle l’homme produit des biens et des services qui assurent la satisfaction de ses besoins naturels mais aussi sociaux. • Sens économique : activité rémunérée, obligatoire et souvent pénible. - Thèse de Hegel • Le travail éduque et le civilise. Il permet à l’homme de réaliser son humanité et de prendre conscience de lui (but, capacité), l’acte de travailler est un processus de culture et d’appréhension de soi à travers le produit créé. - Thèse de Platon

L’Homme occupe une place toute particulière au sein de l’univers, dans la mesure où il est doué d’une conscience contrairement aux «choses de la nature », c'est-à-dire aux animaux, végétaux et minéraux. Comme le disait Pascal, « l’homme est un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant ». Dans son ouvrage «Esthétique », Hegel évoque le fait que l’Homme possède une double existence, dans le sens où il existe, et il sait qu’il existe. Il est donc capable de se représenter

sentiments ou de ses actes, en rapport avec son entourage. Quand on dit "Il reprit conscience après son accident" ou "J’ai eu conscience qu’il pleuvait", aucune évaluation d’ordre moral n’est concernée, il est simplement dit que la conscience était en état de fonctionner. Aussitôt qu’elle le fait, que nous le voulions ou pas, elle se retourne continuellement sur nous-mêmes en vue d’un jugement sans appel "Ai-je raison? Ai-je tort? Ai-je bien fait?". C’est tout le problème de la morale qui se pose.

répondons à une nécessité et cette nécessite est le passage que nous faisons de la nature a la culture. Nature renvoie au mot « naitre : naissance » (donné brutalement » et culture « rassembler, récolter » nous sommes toujours en train de cultiver et de faire ce passage de la nature à la culture. On peut faire grossièrement les choses et on peut même être grossier malgré tout même dégrossi c’est toujours un passage de la nature a la culture. De ce fait le travail est toujours une expression de notre humanité

d’esprit qui va surtout être un principe d’illusion, de croyance à tendance magique. Il faut là reprendre une étymologie que donne Cicéron de religio, qui viendrait de religare c'est-à-dire relier, il faut de la culture. • Religion et pouvoir De la Nature des Dieux. « La religion c’est le culte rendu aux Dieux. Religio id est culto deorum. » La religion entendu par Cicéron est une prise de position philosophique et politique. Cicéron va vouloir démontrer dans ce texte que la doctrine stoïcienne est

particulières. Le langage a un lien très lâche avec la réalité, il renvoie à toute une élaboration du monde par l’homme. - langage et culture : le langage est culturel, à la fois parce qu’il n’est pas naturel, rivé aux besoins, et nécessité par la nature (cf. convention, arbitraire), mais aussi en ce que les mots qui le constituent sont des signes, des concepts. Ces concepts sont des définitions, des représentations générales et abstraites, qui renvoient à notre façon de voir le monde, à nos connaissances

pour la même raison. Hegel nomme « certitude sensible » cette attitude de l’esprit qui affirme ou nie quelque chose selon le moment où il la perçoit. Cette certitude se justifie en disant que la chose existe ainsi ici et maintenant mais ces mots s’appliquent au jour comme à la nuit, lesquels sont pourtant des réalités opposées. Hegel montre ainsi que la certitude sensible est une disposition subjective et formelle. Elle énonce une correspondance entre ce qui est dit et un état temporaire du monde

inachevé. Le philosophe explique que la nature humaine, bien que l'homme soit censé représenter une certaine idée de la perfection car réalisé par Dieu à son image, ne permet pas à l'homme d'être tout à fait abouti à sa naissance. Il s'oppose ainsi à toute idée de nature humaine intrinsèque le plaçant au-dessus des autres espèces. Cependant, si l'homme survit, s’il a pu se sortir de sa condition de force inférieure vis-à-vis des animaux, ce n'est pas par sa nature mais parce qu'il a dû compenser ce déficit