Etat Providence Selon Keynes

et entière qui permet à la majorité de l’emporter sur la minorité. = redoute tout autant le pouvoir du despote que le pouvoir des masses : réticence sur la notion de souveraineté populaire, nationale. = ATTENTION : soumission minorité = danger selon lui. * La liberté comme garantie des  « jouissances privées ». = Individualisme absolu = individu doit être en mesure de faire tout ce qui n’est pas interdit. Il se rapproche de Montesquieu, Voltaire ou Rousseau : « liberté commence où s’arrête

croissance La consommation n’a pas été très étudiée au cours du XIX° siècle. La naissance du capitalisme et le développement industriel ont été marqués dans un premier temps par une exigence productiviste. A. L’analyse classique de la consommation Selon A. Smith, la consommation n’est pas à prendre en compte. Seule l’accumulation de capital et la division du travail sont facteurs de croissance en même temps que de production. Ainsi, l’offre est l’unique acteur de la croissance. L’épargne est ainsi

continents Chute des importations américainesPrincipales interprétations de la crise de 1929 : Les Etats-Unis à l’origine de la crise- Rigidités (exogène) sur le marché du travail (Robbins 1932) - Contrainte de débouché et défaut de coordination du marché (KEYNES 1936) - Production de masse sans consommation de masse (AGLIETTA 1974) - Erreurs de politique monétaire (FRIEDMAN 1963) - Erreurs de politique monétaire + défaillances du marché du crédit (BERKANKE 1983) - La déflation par la dette (FISHER 1932) -

surtout à un changement des mentalités concernant le rôle de l’Etat. L’ampleur de la crise des années 1930 est telle que peu à peu s’impose l’idée d’un recours nécessaire à l’Etat pour soutenir l’activité économique. Naît alors la notion d’Etat providence. Il est donc important, pour comprendre le sujet, d’en définir les termes principaux. Tout d’abord, qu’est ce que l’intervention de l’Etat ? L’Etat désigne la personne morale de droit public qui, sur le plan juridique, représente une collectivité

Depuis les années 1930, on distingue deux grandes traditions dans la pensée économique. Le courant néo-classique confiant dans l’efficacité de l’ajustement par les prix est pour un état minimal. Le courant keynésien lui, voit dans la politique économique, un moyen de remédier au défaut de rééquilibrage par le marché. Pour Keynes, l’économie de marché, la « main invisible », livrée à ellemême ne permet pas de coordonner l’action des différents agents et un « équilibre de sous-emploi » est possible. Cette

scandinaves les effets de la crise économique ne se sont pas fait ressentir de la même manière selon le pays. Alors que le Japon a accusé une récession de 8,4% en moyenne sur la période de crise, un pays comme la Suède a elle connu une récession plus contenu d'environ 2% sur la période. Dans un contexte post crise les pays développés recherche un équilibre économique cœur théorique d'un système libérale en bon état de marche. La consommation et L'investissement agrégat nécessaire à l'équilibre emploi ressource

1931 à 1950, il enseigne à la London School Of Economics et participera à de nombreuses réunions sur des thèmes économiques, politiques… ce qui lui donnera une certaine réputation bien que ses théories soient souvent mal perçues par les partisans de Keynes ceux-ci étant majoritaires à l’époque.  En 1974, il est distingué du Prix Nobel de Science économique pour « ses travaux pionniers dans la théorie de la monnaie et des fluctuations économiques et pour son analyse de l'interdépendance des phénomènes

vainqueurs et des vaincus avec l’aide des EU. o Nécessité pour expliquer nos besoins et nos priorités de redressement. o Crée également pour une raison concernant l’évolution des mentalités, des idéologies : au XXème siècle courant de pensées porté par Keynes aux EU qui aura une forte influence : auteur qui va largement affirmer la nécessité de l’intervention de l’état dans l’activité économique. Prévoir : Il a été plus facile de prévoir dans certaines périodes plutôt que d’autres. Au sortir de la guerre

intervient régulièrement dans un grand nombre de domaines de l’activité économique et sociale, on parle d’interventionnisme étatique. L’interventionnisme est né des échecs constatés du libéralisme : inflation, chômage, inégalités sociales... Toutefois, selon l’époque ou le lieu, cet interventionnisme varie grandement ; ainsi, si la France est historiquement une économie de « tradition interventionniste », la plupart des pays occidentaux, comme la Grande-Bretagne, attribuent à l’État une place plus restreinte

La politique sociale Les objectifs La mise en place de l’ État providence à la suite de la seconde guerre mondiale va se concrétiser par un rôle plus important de l’ État dans la vie économique mais également dans la vie sociale. C’est tout l’enjeu de ce que l’on appelle la politique sociale. Ce qu ‘il est important de comprendre ce sont les justifications des interventions de l’ État dans le domaine social. Pourquoi l’ État prend-il en charge les pauvres ? la santé ? Pourquoi se préoccupe-t-il