Étoile supergéante

; J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal ; Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres

l’élimination des étoiles une à une. Le gouvernement a commencé à former des plongeurs , de véritables tueurs à gages chargés d’éliminer les monstres. En les ramassant ou en leur injectant un poison mortel, Jairo Rivera Possada, du Centre d’excellence pour l’étude des récifs coralliens en Australie, semble avoir découvert une véritable « arme fatale », un banal cocktail de protéines utilisé en laboratoire pour faire pousser des bactéries. Mais une fois injecté dans une étoile de mer, il la tue en

de verbes d’action. D’une part, les étoiles « soulevaient », « avaient éclaté » ; d’autre part, le ciel « tremblait », « descendait » jusqu’à « toucher », « râcler », « frapper », « faire sonner » : on remarquera le procédé d’accumulation, qui accroît cette impression d’activité céleste, d’autant plus qu’il est amplifié par un procédé de gradation sonore entre les verbes à l’infinitif, qui vont crescendo. 2. L’alliance entre le ciel et la terre – les étoiles sont dès le premier paragraphe l’objet

adaptée à l’ordre des grandeurs des distances en astronomie. Lorsque l’on dit qu’une étoile est située a 10 années lumières de nous, cela veut dire qu’on la voit telle qu’elle était il y a 10ans, car la lumière émise par cette étoile a mis 10ans pour nous parvenir. Dans le vide et dans l’air la valeur de la vitesse de la lumière est de : c ≈ 3,00 × 108 m.s-1 2. La lumière des Etoiles : A. Différents types de spectres : PS : Toute lumière peut être décomposée à l’aide

de même, il ne conçoit pas son environnement autrement qu'avec un début et une fin. Si la Terre est née, c'est donc qu'il y a eu un commencement. Mais qu'il y avait-il avant ce commencement ? En fait, rien. L'univers ne possédait ni galaxies, ni étoiles et ni atomes. Hubert Reeves, astrophysicien français, décrit cet avant Big Bang "comme une bouille de matière informe." " Cette bouille a été portée à des températures de milliards de milliards de degrés. C'est ce que l'on a appelé le Big Bang."

neutrons se rassemblèrent dans des noyaux atomiques simples, comme celui de l’hélium. Après quatre cent mille ans, les noyaux s’unirent aux électrons pour engendrer des atomes. Ceux-ci constituèrent des nuages de gaz où se formèrent les premières étoiles et les premières galaxies. L’Univers tel que nous le connaissons venait de naître ! De nombreuses observations astronomiques, très diverses, sont venues étayer la théorie du Big Bang, comme les proportions relatives des différents atomes dans

qu’ils n’envahissent pas la planète. Le Petit Prince assiste à la naissance d’une rose, celle-ci est orgueilleuse, coquette et exigeante de ce fait, elle finit par le rendre malheureux. Il décide alors de quitter sa planète et d’aller explorer les étoiles, en quête d’amis. Il a ainsi rencontré : un roi, un vaniteux, un buveur, un businessman, un allumeur de réverbère et un géographe. Toujours en quête d’amis, le Petit Prince arrive sur Terre. Il y rencontre un renard ; ce dernier lui apprend que pour

notre monde sont trop préoccuper avec leurs emploie qu'il oublie de vivre leur vie avec que sa fini. Le businessman compte des étoiles, qui sont jolie, mais il les apprécie pas car il est trop occuper de les compter et est peur que quelqu'un les prend de lui. Il est égoïste, il ne veut pas partager les étoiles qui n'appartient pas à lui. Son papier avec qu'il compte les étoiles symbolise l'importance des choses pour nous autre. Il a beaucoup d'étoiles, mais il est plus intéresser dans son morceau de

! ayez les bonheurs infinis. Oh ! les anges pensifs, bénissant et bénis, Savent seuls, sous les sacrés voiles, Ce qu'il entre d'extase, et d'ombre, et de ciel bleu, Dans l'éternel baiser de deux âmes que Dieu Tout à coup change en deux étoiles !

Ils sortirent. Ils abandonnèrent aussitôt l'avenue, entrèrent dans la ville chinoise. Des nuages très bas lourdement massés, arrachés par places, ne laissaient plus paraître les dernières étoiles que dans la profondeur de leurs déchirures. Cette vie des nuages animait l'obscurité, tantôt plus légère et tantôt intense, comme si d'immenses ombres fussent venues parfois approfondir la nuit. Katow et Kyo portaient des chaussures de sport à semelles de crêpe, et n'entendaient leurs pas que lorsqu'ils