Etonnement Observation Sur Une Toilette Au Lit

ne voulait pas participer aux activités. Mme P voulait sortir dehors mais cela n’était pas possible. Donc Mme P commence à insulter les soignants ainsi que les autres résidents et elle avait même fini par renverser les dominos par terre. Observations, étonnements: Mme P n’était pas la seule résidente agressive dans l’unité. L’agressivité est un trouble du comportement fréquent dans la maladie d’Alzheimer que l’on retrouve dans 30 à 50 % des cas. Il y a deux types de manifestation : l’agressivité

faire sa toilette et que je suis disponible aujourd'hui après sa toilette pour l'aider à s'habiller, je lui propose de préparer ses vêtements dès a présent. Il ouvre l'armoire, je lui demande de choisir un pantalon, des dessous, une paire de chaussette, un tee-shirt et un pull et un gilet puisqu'il fait froid aujourd'hui. Avec Mr B nous plaçons les vêtements selon l'ordre dans lequel ils doivent être mis. Maintenant que ses vêtements son près je lui dit qu'il peut aller faire sa toilette. Il me demande

APF: Situation en lien avec L'UE 4.5: Soins infirmiers et gestion des risques: Lieu: Soins de suite et réadaptation, clinique de convalescence. Observations, étonnements: Mme L, 82 ans, est entrée à la clinique le 14 novembre 2011, pour convalescence suite à une hospitalisation pour AVC. Mme L est atteinte de la maladie d'Alzheimer. Elle vivait auparavant chez son fils et sa belle fille, qui se disent épuisés et souhaitent une institutionnalisation. En effet, Mme L déambule toute la journée

est 8h30, je me rends dans la chambre de Me L. elle est dans son lit et commence à se réveiller. Je lui demande si je peux allumer la petite lumière pour ne pas la surprendre. Mme L est bien réveillée et c’est avec le sourire qu’elle me reçoit. Je lui demande si elle veut bien prendre un bain ce matin avec mon aide, Mme L ne refuse pas au contraire elle est excitée. Je regarde dans la salle de bain pour prendre ses affaires de toilette, du gel douche, du shampooing. Je prends également une brosse

le couloir du service de chirurgie ambulatoire, je vérifie sur la planification qu’elle fait bien partie des programmes de la journée puis je l’installe dans une chambre. Je lui demande de revêtir la blouse d’opérée et lui montre où se situe les toilettes. Je lui explique que je reviendrais un peu plus tard pour lui poser des questions et lui présenter le déroulé de la journée. Le temps que Mme G se change l’infirmière et moi regardons son dossier que nous avons déjà consulté hier matin. Mme G a

Arrivée aux postes de soins, je mets mes déchets dans les poubelles appropriées, désinfecte mon chariot, me lave les mains et fais mes transmissions écrite dans le dossier informatique du patient et orale à l'équipe soignante.   Observation et étonnements.   J'ai été impressionné par la profondeur de la lésion cutanée. Je demandais a la patiente, tout au long du soin ce qu'elle ressentait. Je devais faire face à la douleur. Elle avait beaucoup d'appréhension, et je ne m'attendais pas

relation avec qui 4 III.4 Les informations souhaitées 4 III.5 Les contraintes particulières et marges d'autonomies 4 III.6 Matériel 4 III.7 Les modalités de réalisations 4 III.8 Informations transmises 5 III.9 Les habiletés nécessaires 5 III.10 Observation, étonnement 5 IV. Bilan 5 IV.1 Apprentissage 5 IV.2 Point à approfondir 7 I. Lieu Il s'agit du service de SSR1 dans la chambre 281 II. Recueil de données II.1 Présentation du patient Monsieur S., 81 ans né le 21/03/1932, entré dans le service de SSR

visite. Il réexpliqua lentement le but du soin et son déroulement. Mr G accepta donc la réalisation du soin. J'ai commencé par monter le lit en hauteur et disposer le produit à porté de mains.J'ai baissé la barrière de mon coté qui était prescrite par le médecin. J'ai ensuite prévenue le patient que le soin allait commencer . Nous étions chacun de part et d'autre du lit. L'aide-soignant l'a tout d'abord aidé à se découvrir les avant bras, pour que nous puissions faire l'effleurage de ses points d'appui

uns après les autres ( température, tension , saturation...) . Il semblait moins perdu , plus receptif à certaines informations. La prise des constantes s'est très bien déroulé , il a pris sa prémédication sans problème , et est resté calme dans son lit jusqu'au départ au bloc opératoire. Son éducatrice l'a accompagné afin qu'il est près de lui une personne qu'il connaissait bien . Lors de son réveil , il était très agité car il était à nouveau dans un endroit inconnu avec des personnes inconnues.

conditions possibles de sécurité et d’hygiène. Après avoir demandé l’autorisation au patient, j’ai décalé quelques affaires de son bureau pour pouvoir poser le matériel nécessaire de façon à respecter l’hygiène. Le sac en plastique est posé sur le lit à côté du patient. Nous disposons comme matériel de : une boîte qui appartient à l’infirmière, dans laquelle se trouvent des pinces et ciseaux en métal (il y a peu d’ustensiles à usage unique en libéral), des compresses, des mèches, un flacon d’EPPI