Etranger Meursault Comportement En Prison

personnages par son importance , son parcours , afin que le narrateur (omniscient) fixe son attention sur lui seul. Le personnage romanesque a beaucoup changé au cours du temps . le héros de Stendhal (Julien sorel )est bien différent de celui de Camus ( Meursault) , par exemple .Le héros du roman obéit a la loi du changement. Il suit un itinéraire semé d’obstacles ou de conflits qui vont le modifier , voire le transformer. Le personnage du début n’est plus le même que celui de la fin. Depuis le XVIIe siècle

allégoriques de défauts humains (Itobad). b) Critiques sociales: - justice - chapitre « bûcher »: il juge les traditions sans fondements. Recherches: 1/ Voltaire est né en 1694 à Paris et est mort en 1778 à 84 ans. A 23 ans, il est à Bastille en prison car il s’attaque à des puissants. 2/ L’affaire Calas: pendant 3 ans il va travailler a faire réhabilité Calas (1762-1765) en prouvant son innocence car la justice l’avait condamné sous prétexte qu’il était protestant. 3/ Il a pratiqué les

poussent à dépasser les limites d’un homme ordinaire. Malgré son passé de forçat, il parvient à se forger l’image d’un véritable héros. C’est un personnage très déterminé et courageux, car il n’hésite pas à tenter à de nombreuses reprises de s’évader de prison, bien que les premières fois fussent sans succès, et rallongèrent sa peine. De surcroît, il possède une grande bonté d’âme : il recueille et aide une orpheline, Cosette, qu'il va faire se marier avec l'homme qu'elle aime, Marius. Il a une action positive

inattendue, embarrassante. Le comique de mots provient d’un emploi surprenant du langage ; jeux de mots, mélange de divers niveaux de langue, usage de figures de style. Le comique de caractère prend pour cible les travers d’un personnages dont le comportement est excessif et ridicule : il procède par schématisation et grossissement de certains traits. Le comique de gestes repose sur la représentation scénique : affrontement physiques, gifles, coups de bâton, chutes,… les gestes des personnages sont

Situations I, 1947. À peine sorti des presses, L’Étranger1 de M. Camus a connu la plus grande faveur. On se répétait que c’était « le meilleur livre depuis l’armistice ». Au milieu de la pro- duction littéraire du temps, ce roman était lui-même un étranger. Il nous venait de 5 l’autre côté de la ligne, de l’autre côté de la mer ; il nous parlait du soleil, en cet aigre printemps sans charbon, non comme d’une merveille exotique mais avec la familiari- té lassée de ceux qui en ont trop joui ; il ne

?  Présence intense du narrateur par l'utilisation du point de vue (la perception des événements se fait uniquement par le biais du personnage) + « Je » répété 22 fois + pronom possessif « ma ». Tout est perçu par le regard ou la conscience de Meursault.  Choix des indices temporels « aujourd'hui - hier - demain - dans l'après-midi -demain soir » tend vers le journal intime. Emploi du passé composé, du présent et du futur de l'indicatif nous présente une forme de discours qui nous donne à voir

Goriot » -- la description de la pension Vaquet). Après le cadre, le portrait. Le réalisme de BALZAC consiste ici à aborder les personnages de l’extérieur, à nous en faire d’abord un portrait physique détaillé. Leurs vêtements, leur visage, leur comportement révèlent leur caractère, leurs vices ou leurs passions. Vulgaires ou distingués, leurs noms mêmes sont significatifs. Il n’est guère de personnages ou le trait de caractère que BALZAC ne présente comme des résultantes d’une loi générale. Ses personnages

du même nom. En 1942, Camus publie son premier roman L'Etranger ; il en résumait l'histoire en une phrase : "Dans notre société, tout homme qui ne pleure pas à l'enterrement de sa mère risque d'être condamné à mort". En cela, Meursault, le personnage principal, "est étranger à la société où il vit" acceptant "sans aucune attitude héroïque, de mourir pour la vérité". La même année, il théorise son propos - l'absurde de la condition humaine - dans un essai Le Mythe de Sisyphe. A la Libération, ses

se retrouvent dans son étymologie. En effet, le terme « baroque » vient du portugais « barroco » qui signifie « perle irrégulière ». C’est pourquoi nous pouvons qualifier de « baroque » tout ce qui est exubérant, mais aussi tout ce qui est d’une étrange irrégularité. LE CLASSICISMELES LUMIERESLes Lumières désignent un mouvement littéraire, intellectuel et philosophique qui se développe au XVIIIe siècle en Europe.Il est fondé sur la raison puisque, pour les Lumières, elle est indispensable afin de

« l’enthousiasme » * Les soldats sont tristes et effondrés. * Donc révolution qui est l’inverse de la norme. * Les manifestations prennent des allures de fêtes : champs lexical de la lumière et de la fête. « guirlandes », « lampions ». * Le comportement des personnages s’ajoute à cette ambiance de fête : « Ils vont dîner ». * Focalisation qui porte sur un personnage qui ne comprend pas ce qui se passe. * Cette insurrection devient un épisode dérisoire de l’absurde, comédie humaine.