Etranger Prologue

L’illusion Comique, Acte II, scène 2, v. 231-252 : « Voici un étrange monstre que je vous dédie » écrit Corneille en 1639, lorsqu’il fait imprimer pour la première fois l’Illusion Comique. Corneille [1606-1684] a été sous l’influence de l’esthétique baroque avec des pièces, comme Clintandre, qu’il a su rendre jouée. Il est également le précurseur du classicisme. L’Illusion Comique, tragi comédie, malgré le manque d’unité, rencontre un vif succès grâce au ton et aux sujets très diversifiés. La

détour d’une phrase (« les mots que j’écris ne me rendront pas ma mère morte. Sujet interdit dans la nuit. »). Nous sommes dans le discours et le temps de l’écriture (présent, passé composé, futur). Pourtant le lecteur tient peu de place dans ce prologue ; aucun « pacte autobiographique » n’est engagé avec lui et l’authenticité des faits n’est pas revendiquée. Seules, l’inspiration, la plume et la mère constituent les véritables interlocutrices du narrateur. Le récit autobiographique, réflexif, est

langues) et certainement le plus étudié dans les départements de Lettres des universités du monde entier. Marié à la romancière Catherine Robbe-Grillet, il est décédé le 18 février 2008, à l'âge de quatre-vingt-cinq ans. Résumé de l'œuvre : Prologue Le roman s'ouvre sur la vision d'un café. C'est le matin, le patron range, nettoie, ... Il y a aussi une employée, Jeannette. Très vite apparaît Antoine, un client que le patron n'apprécie pas beaucoup, car un peu trop fou et exubérant. Il lui parle

: sorte de perruque. 4 Nonnain : diminutif de nonne. Texte D. Un décor neutre. Trois portes semblables. Au lever du rideau tous les personnages sont en scène. Ils bavardent, tricotent, jouent aux cartes. Le Prologue1 se détache et s’avance. LE PROLOGUE Voilà. Ces personnages vont vous jouer l’histoire d’Antigone. Antigone, c’est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense qu’elle va être Antigone tout à l’heure, qu’elle va surgir de la

fermeté. Au chapitre XVII, au sujet du soulèvement des Parisiens, il écrit « les nations estranges s'esbahissent de la patience des Roys de France, lesquelz aultrement par bonne justice ne les refrenent " (p. 156-158). Le recours au point de vue étranger et le pluriel utilisé pour désigner le pouvoir royal ne dissimulent que médiocrement la critique. Rabelais aspire aussi à plus de fermeté face au pouvoir religieux. Janotus menace ainsi les Sorbonnards de saisir le roi pour qu'il les fasse brûler

près le prologue, l'histoire se déroule dans un petit village provincial français proche dudit château. Une jeune fille prénommée Belle vit avec son père Maurice. Les habitants du village vantent sa beauté mais la trouvent étrange en raison de sa passion pour les livres. Tandis que les villageois chantent, Belle se rend chez le libraireNB 1. Gaston, chasseur et propriétaire de la taverne locale, tente de séduire Belle. Mais elle le considère comme « grossier et vaniteux » et repousse ses avances

pour tenter d’assiéger la ville et combattre son frère Etéocle. Les deux frères finissent par s’entretuer. 5/ Créon, leur oncle, prend donc le pouvoir. Il considère Polynice comme un traître à sa patrie parce qu’il est revenu en s’alliant à des étrangers pour se battre contre son propre peuple. Créon décide donc d’accorder les funérailles solennelles à Etéocle et de laisser le corps de Polynice à la proie des animaux pour montrer l’exemple et faire régner l’ordre sur Thèbes. Il est formellement interdit

représentation. I COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE (lire FMH, p. 262-3) Le prologue : Avant-propos qui précède parfois l'action proprement dite, récitée par un personnage généralement étranger à l'action, et qui raconte des événements antérieurs, explique les intentions de l'auteur ou s'efforce de gagner l'indulgence du public. Exemples : Le prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur ; le prologue d'Antigone de Jean Anouilh. Un acte : Partie d'une pièce correspondant

compères arrivent pour répéter. Bottom fait tout d’abord remarquer à ses camarades que le suicide de Pyrame sur scène pourrait choquer les dames. Il propose alors qu’un « prologue affecte de dire qu’ [ils] ne veulent [se] faire de mal avec [leurs] épées et que Pyrame n’est pas tué tout de bon ». Lecoin propose d’écrire ce prologue en vers de six « syllabes ». Plusieurs erreurs de langage comparables apparaissent dans cette scène telles que « amener, Dieu nous soit en aide ! » à la place d’amen ou encore

I COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE (lire FMH, p. 262-3) Le prologue : Avant-propos qui précède parfois l'action proprement dite, récitée par un personnage généralement étranger à l'action, et qui raconte des événements antérieurs, explique les intentions de l'auteur ou s'efforce de gagner l'indulgence du public. Exemples : Le prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur ; le prologue d'Antigone de Jean Anouilh. Un acte : Partie d'une pièce correspondant