Etre Citoyen Au Moyen Age

*Droit et morale (recoupements, mais non confusion). *Droit objectif et droits subjectifs. Les sources du droit (objectif): sources extrinsèques (forces créatrices politiques, économiques, culturelles…) sources intrinsèques: celles –ci peuvent être divisées en sources formelles (catégories de règles, ex: la loi, les usages), et sources matérielles (codes, recueils de lois, recueils de décisions de justice…) Parmi les sources formelles, on distinguera : Sources directes : la loi, la coutume

partielles dans des localités diverses » tandis que la seconde consiste uniquement à « nommer des députés à une assemblée centrale ». Ainsi, selon Sieyès, la première ne peut résulter en une « volonté générale » unique parce qu’elle donne voix aux citoyens vivant dans les localités, semblable en cela au modèle proposé par Condorcet. Ce qui nous intéresse ici, c’est que Sieyès comprenait très bien la distinction entre différentes formes de gouvernement représentatif. H. L. : Bernard Manin, peut-on

son évolution, ces périodes sont conventionnelles, les scientifiques s'entendent par traditions, mais c'est discutables. Ces périodes : l'Histoire ancienne : l'antiquité ; puis , le moyen âge : la période médiévale ; puis la période moderne et enfin, la période contemporaine. ce qu'on étudie c'est de l'histoire qui va être appliquée au droit, c'est à dire à l'ensemble des règles juridiques en vigueur dans une société donnée. Les juristes ne sont pas unanimes quant à la définition même du droit. Certains

Les inégalités dans la société justifiées par le droit: « Status libertatis » : séparation des libres et des non-libres. Tous les libres n’étaient pas citoyens. Clivage sur le plan social. Grave question de l’esclavage puis du servage. Problème des exclus de la société (lépreux, comédiens, prostituées…) qui n’ont pas droit à une sépulture religieuse. Toutes les grandes sociétés civilisées de l’époque ont pratiqué l’esclavage, par ex. l’Egypte avec les hébreux. Les grands philosophes

découle du besoin d'organisation du groupe. Avant la naissance du droit et de la justice-institution on ne peut pas parler de peine de mort. Dans ces sociétés primitives ou actuelles, ne connaissant pas l'État de droit, une condamnation à mort peut être considérée au mieux comme une exécution sommaire ou simplement comme un acte de vengeance ou de justice privée. On peut donc considérer que l'origine de la peine de mort est la construction de l'État lui-même. Le mot français « potence » vient d'ailleurs

les personnes qui apportent la richesse. Cette image on la retrouve quand on parle de l’état ; quand on dit qu’un état est souverain c’est trois choses : - lorsqu’il dispose d’une police et d’une armée pour se défendre - lorsqu’il a les moyens (argent des impôts) - si il a la capacité de sanctionner le droit, si il dispose d’une justice A/ Le monde grec : repères chronologiques : Il y a ce que l’on appelle la grande Grèce, c’est la partie sud de l’Italie et la Sicile. La Grèce

Agora (rencontres, info) Le commerce s’est toujours nourri à l’information. Exemple des troubadours au Moyen Age, personnage qui concilie information et divertissement + partie inventée. Légende/ rumeur > se retrouve encore aujourd’hui et peut parfois se confondre avec l’information vérifiée etc… PRESSE L’ancêtre des journaux est ce qu’on appelle les nouvelles manuscrites qui pouvaient être diffusées également à l’étranger (entre le 15ème et le 16ème siècle) Elles sont destinées aux + puissants

Les problèmes des banlieues La banlieue est un ensemble de logements sociaux situés à la périphérie des villes. Ce type d’habitat a été longtemps convoité par les classes moyennes mais aujourd’hui les Français d’origines étrangères y habitent. Les banlieues sont devenues des quartiers pauvres et la réputation de ceux-ci s’est détériorée. Ce qui explique que les banlieues sont devenues un lieu avec beaucoup de problèmes. D’abord on va présenter brièvement la situation problématique des banlieues

des arts et des lettres pour être comprise doit être resituée dans un contexte. Les arts et les lettres se sont développés, dans le monde occidental, à la faveur d’une inégale répartition des richesses. Une classe possédante, vivant dans l’oisiveté du produit du travail de sujets soumis, a pu s’accorder le temps de cultiver son intérêt pour la poésie, la musique, la philosophie ou les arts. Philosophes et écrivains pendant l’Antiquité se recrutent parmi les citoyens libres qui vivent dans l’otium

générale n’est pas la volonté de tous. Ce n’est pas la somme des volontés des citoyens. Ce n’est pas une question de majorité des citoyens, n’est pas une question de quantité mais de qualité. La volonté générale n’est pas une volonté. Il faut se tourner vers Condorcet qui considère qu’il aurait mieux valu dire que cette volonté générale c’était la raison générale. C’est le bien commun tel qu’il peut être découvert par le citoyens s’ils usent de leur raison. La volonté générale c’est 1 ce qui est conforme