Etre Conscient Est Ce être Libre

Pour Descartes, il y a identification de la conscience et du sujet : je ne suis rien d’autre que de la pensée et ainsi tout ce qui n’a pas été voulu par moi n’a pas été voulu. Toutes mes volontés sont nécessairement conscientes puisque la conscience est le fondement même de notre être et que la volonté est conscience de choix. Or le choix est conscience de l’action donc il n’y a de choix volontaire que s’il y a conscience de la conscience, c’est à dire un retour de la conscience sur elle-même. Mais

"conscience d'être" est donc le résultat de l'introspection c'est à dire de l'observation intérieure de soi-même en vue de se connaître. "Je", ici, doit être pris au sens général. Il ne s'agit pas de ma personne en particulier mais de toute personne douée de conscience et donc capable de dire "je". Le sens du problème Le problème est de savoir si mon être correspond à la saisie que j'en ai. Autrement dit, est-ce que je suis transparent à moi-même (n'y a-t-il pas des illusions que je forme sur moi-même

Peut on ne pas être l’auteur de ses pensées ? Dans l’histoire au moment de la seconde guerre mondiale , un personnage a manipulé les pensées des autres , Hitler, avec son grand talent d’orateur il a réussi à endoctriner des milliers de personne afin de les ramener à sa cause . Ce fait historique nous montre que la pensée peut-être manipulée, donc par conséquent que nos pensées peuvent être influencées par un parti politique comme dans cet exemple , ce qui voudrait dire que nous ne contrôlons

est un homme, ce qui le caractérise de manière profonde. Bien entendu, cette question devait être reliée au désir (on ne devait pas se demander uniquement : « quelle est l’essence de l’homme ? »). Par conséquent, pour comprendre la question, il fallait se demander, d’une part, pourquoi le désir pouvait-il être considéré (ou non) comme l’essence de l’homme, d’autre part, ce qui pouvait être considéré comme l’essence de l’homme en dehors du désir. Autrement dit, ce sujet portant au moins

tant qu’elles ne rencontrent point d’obstacles, nous ne savons non plus ce que nous faisons ». Ainsi la thèse d’Alain ne tendrait pas tant à faire la distinction Homme/Animal par la simple différenciation Conscient/Non-conscient mais plutôt par le fait que l’Homme PEUT-ETRE CAPABLE d’être conscient mais ne l’est pas constamment. Ce qu’Alain nous dit alors de manière implicite, est que si la conscience n’est pas toujours présente, la situation doit remplir certaines conditions pour que celle-ci se

La liberté n’est-elle qu’une illusion ? Depuis toujours, l'homme se bat pour être libre, de manière générale, nous pouvons dire que quelqu'un est libre si il ne dépend de personne, qu’il n’est soumis à aucune nécessité absolue, cependant, on a souvent l’impression que notre liberté n’est pas aussi étendue qu’on le souhaiterait ce qui nous pousse à nous demander si cette liberté n’est qu’illusoire ou au contraire bien réelle. Il n'existe pas une bonne signification de la liberté, elle peut définir

valeur de liberté. Grâce à cela, il est libre dans ces décisions et peut donc agir volontairement. À la différence du désir, qui est un penchant subi, la volonté est un principe actif par lequel l'Homme affirme sa capacité à se détacher de ses désirs et pose ainsi sa liberté. Mais y-a-t-il des limites à ce que nous pouvons faire sur nous-mêmes ? Nous chercherons d’abord des limites physiques puis des limites morales. La volonté semble être à l’origine du conscient car, par exemple si un individu souhaite

pense par moi-même. Suis-je pour autant seul dans ma pensée ? Non ! Je suis un être social et donc je vis avec autrui, avec lequel je me confronte afin qu'il me reconnaisse. Peut-on toujours considérer l'homme, substance pensante par elle-même, comme un être libre et indépendant dans la pensée alors même que celle-ci semble de plus en plus déterminée par autrui ? Nous verrons que, dans un premier temps, l'homme est un être capable de penser par lui-même, mais que cette faculté est liée à la présence

veut y acceder, on pourrait dire qu'il ne sait rien justement. La difference avec les etres communs est qu'il doit y acceder en usant de la raison il prend conscience de sa propre ignorance. Il n'y a de désir que par rapport a un manque. Croire etre heureux par exemple et ne pas le savoir est de l'ordre de l'opinion. La philo demarche critique(argumenter) vis à vis des opinions. Une opinion est un point de vue non reflechi. Un avis sur une question qu'on ne s'est pas posée. Dissertation:

devoir. Le fait de m'être préparé au devoir, aura la conséquence que j'obtiendrai une bonne note. Cependant si la liberté est influencée par des causes, mon désir qui est « ce que je veux » est donc lui aussi influencé par ces causes, il n'est donc pas libre. La liberté qui consiste à échapper à toute contrainte est alors remise en cause, car échapper à toute contrainte suppose échapper à toute forme d'être. Pour échapper à toute contrainte, la seule solution serait donc la mort, car la mort fait en sorte