Etre Juste Est Ce Obéir Aux Lois

différentes interprétations que le juge met en place en juridictions du fond. Ainsi, grâce aux décisions rendues, le juge fait évoluer le sens de la loi, son interprétation, afin de l'adapter aux nouveaux problèmes juridiques qui se posent (problèmes peut être/souvent jamais envisagés par le législateur). Par conséquent, l'influence du juge sur la loi, se fait par son jugement à travers l'interprétation et le dépassement de la loi écrite (A), mais également par la jurisprudence, pouvoir du juge face à la

pouvoir → les deux corps du roi → mystique et physique. Le mot roi désigne aussi l'Etat. Le roi ne meurt pas en France → pas de deuil car continuité → souveraineté transmise instantanément au successeur. Au prince vous mourrez, mais votre Etat doit être immortel. Res : ministère royal. Couronne : pouvoir royal, attribut de la souveraineté, prérogatives → porté par celui qui est en-dessous. Royaume : territoire et société organique. Roi → serviteur du royaume qui veille au bien de tous. Eglise = corps

présentant tous les stéréotypes d'une mauvaise personne. Cependant, on ne peut être sur de faire le bien uniquement en suivant ses sentiments. L'homme est un être sensible, dépendants de ses affects et de ses ressentis. Ces sentiments nous poussent à des actions qui sont parfois contraire à ce que nous savons être bien. Pour vivre en groupe, les hommes se sont donc crées une morale, c'est à dire une somme de règles, de lois intériorisées et parfois appuyées par un droit effectif. Ce sont ces barrières

de citoyens indifférenciés. Les gens sont différents les uns des autres et sont constitués de personnes d'âges, de religions, de cultures, d'ascendance et de circonstances différentes. La seule personne reconnue est les Français, et ils ne peuvent être divisés.Souveraineté : c'est le pouvoir juridique suprême originel. Traditionnellement, sous l'Ancien Régime, la souveraineté appartient au roi. Avec l'avancée de la démocratie, la souveraineté a été reconnue par le peuple.Les êtres humains sont une

d'être libre. Être libre, est-ce, pour autant faire ce qui nous plaît ? Ce désir de liberté peut-il se réaliser par la liberté des désirs qui ne visent que le plaisir ? Il semble bien, en un certain sens, qu'être libre, c'est faire ce qui nous plaît: car comment pourrions-nous seulement nous sentir libres si on nous empêchait d'agir en fonction de notre "bon plaisir" ? C'est cette liberté d'action qu'il nous faudra interroger de manière critique en examinant son fondement, qui doit être la liberté

“force du droit” n’en est pas moins polysémique : -à première vue, la force qui découle du droit semble être l’appareil répressif (polices, force de l’ordre, système pénal) qui vise à le faire respecter. Il semblerait que le droit, défini comme un “ensemble de règles qui prescrivent, dirigent, autorisent les conduites des membres d’une société donnée”, ne puisse se passer de la force pour être respecté. On peut se demander s’il s’agit d’une force spécifique ou s’il ne s’agit pas, sous couvert d’une

sont-elles satisfaites sexuellement? Certainement pas, même le personnage l´avoue en disant qu´elle avait honte de parler de l’absence d’orgasme. Je ne peux pas imaginer une vie de couple comme cela, vivre avec un mari qui n´inspire aucun désir. Cela doit être horrible de subir une situation pareille où les femmes pensent que la satisfaction du mari est un devoir religieux. Le jour où j`ai vu un documentaire qui s´agissait de l´Islam, j`ai écouté les prêches des islamistes et j`ai compris qu´ils ne cherchent

pour comprendre les enjeux du texte… Nous étudierons donc dans un premier temps, ce qu'affirme Kant: c'est à dire que l'homme est un animal qui vit avec d'autres individus, a besoin d'un maître. Puis, nous étudierons dans un second temps qui pourrait être le chef de l'homme. 1° partie: Au départ, Kant commence par énoncer le thème de l'espèce humaine: en effet, il affirme que la difficulté que la nature nous impose à résoudre est celle de réaliser une Société civile qui donne les mêmes droits

notion se rapproche de la notion d’Etat. Avec la renaissance de la pensée antique, on prend conscience d’une entité supérieure qui s’impose aux gouvernants et on emploie des termes comme « chose publique ou Etat ». Cette notion d’Etat va être très bien dégagée par les juristes. L’Etat est autonome, c'est-à-dire indépendant de ses formes juridiques (quelques soit le régime : monarchique, démocratique, oligarchique). Cette Etat est indépendant du prince, on ne mélange pas l’Etat et

d’institutionnaliser le pouvoir, de l’organiser, de l’impersonnaliser afin qu’il soit mieux accepté. Les hommes préfèrent obéir aux lois et aux institutions plutôt qu’a des hommes en chair, car ils oublient qu’à travers les lois et les institutions ce sont des hommes qui agissent en coulisses. De plus la notion de légitimité du pouvoir est abordée. Il apparait que si ce dernier est reconnu comme juste, utile, il est accepté par tous. Dans notre société, le pouvoir à une fonction de protection et de règlement