Étreintes brisées

prieur défunt, aura, en habit de cordelier, les honneurs de la chapelle ardente; et Marguerite, que son amant a tuée, sera ensevelie dans sa blanche robe d'innocence, entre quatre cierges de cire.Mais moi, la barre du bourreau s'était, au premier coup, brisée comme un verre, les torches des pénitents noirs s'étaient éteintes sous des torrents de pluie, la foule s'était écoulée avec les ruisseaux débordés et rapides, - et je poursuivais d'autres songes vers le réveil. Aloysius Bertrand Jean Jaurès est

matricielle comme on pourra le voir chez Proust. La chute du démiurge. Mais aussi, à cause du changement de narrateur, une course du je lyrique vers cet enfant pur et démiurge, agitant les bras comme au sortir du déluge. C'est cet enfant qui a étreint l'aube et qui tombe avec elle. Le je lyrique, par le jeu d'énonciation en est exclu. Le poème qui commençait par un cri victorieux est donc profondément déceptif. En outre cette chute du démiurge est illustrée par la phrase : « il était midi » qui

voulait me rendre malade, malade de démence. C’est lui qui force mes yeux à se poser sur la première page noircie, lui qui caresse de la pulpe de ses index le papier rugueux, lui encore qui murmure une à une les insupportables pensées qui m’ont étreintes un an auparavant, qui m’oblige à les regarder droit dans les yeux, me force à demeurer forte, alors que mon corps s’écroule doucement dans cette forme avancée de la folie. Le Carnet de June : 12 janvier 2011. Je crois que je n’ai jamais été

contre le vent se rince les dents Qui pisse contre le vent, s’en prend plein devant 212.Qui s’y frotte s’y pique X X 213.Qui se ressemble s’assemble X X 214.Qui sème le vent récolte la tempête X X 215.Qui trop embrasse mal étreint X X 216.Qui va à la chasse perd sa place X X Qui part à la chasse perd sa place Qui part à la chasse perd sa place, et quand le chasseur revient, il tue le lapin 217.Qui veut aller loin ménage sa monture X X Qui veut aller

Le sable, au plein midi, fume dans les espaces,Et les buffles trapus, au pied des buissons verts,Dorment, fronçant leur peau sous les mouches voraces ; C'est l'heure du soleil et du calme étouffant.Les champs n'ont pas un cri, les cieux pas une brise ;- Dans ta maison d'Esneh, que fais-tu maintenant,Brune Kuchiuk-Hanem, auprès du fleuve assise ? Le mouton qui te suit, de hénné tacheté,Sur la natte en jouant agace ton chien leste ;Et ta servante noire, accroupie à côté,Croise ses bras luisants

pas lourds et les craquements dans l'escalier. Puis ce sont des cris, des plaintes et le bruit d'une sonnette. Le narrateur se lève et court aux nouvelles. Il trouve M. Alphonse mort, gisant sur le lit nuptial brisé, le corps couvert de contusions. Son torse semble avoir été étreint violemment par un cercle de fer. Mme Alphonse est en proie à une crise d'hystérie13. Elle ne décèle sur le corps aucune trace de sang bien que la mort ait été violente compte tenu de la pose angoissée14 que le visage

meurent et Nan Goldin devient une « survivante» « du sida, de la drogue, des addictions dans leurs formes les plus crues »3. Ce terme à connotation tragique veut présenter Nan Goldin comme une artiste maudite, une sorte de héros des temps modernes, brisée, sans avenir. La vie et l’œuvre de cette artiste ressemblent à une tragédie grecque. Choquante, « trash » Nan Goldin heurte le public, apaisée, réconciliée, elle n’intéresse plus. A l’interprétation réductive faite par les journalistes, s’ajoute un

quand il se penche pour en boire et le vent éloigne les branches de l'arbre quand il tend la main pour en attraper les fruits. Au dessus de sa tête se tien en équilibre un énorme rocher qui menace de tomber a tout moment point. Une angoisse mortel étreint sans cesse sa gorge constituant aussi de troisième supplice. Interprétation: Le cannibalisme est un mode de sacrifice largement attesté le sacrifice du premier fils du chef l'es aussi, mais on peut supposé que, même admis est considéré comme

désirent, ils éprouvent un besoin de se revoir. Pour pouvoir se libérer de temps a autre ils se serrent fortement les mains je cite page 78-79 Quand ils pouvaient, derrière une porte, sans se parler, ils se serraient les mains à se les briser, dans une étreinte rude et courte. Ils auraient voulu, mutuellement, emporter des lambeaux de leur chair, collés à leurs doigts. Il n’avaient plus que se serrement de mains pour apaiser leurs désirs. Ils y mettaient tout leur corps. » 3- dégradation des tempéraments

désirent, ils éprouvent un besoin de se revoir. Pour pouvoir se libérer de temps a autre ils se serrent fortement les mains je cite page 78-79 Quand ils pouvaient, derrière une porte, sans se parler, ils se serraient les mains à se les briser, dans une étreinte rude et courte. Ils auraient voulu, mutuellement, emporter des lambeaux de leur chair, collés à leurs doigts. Il n’avaient plus que se serrement de mains pour apaiser leurs désirs. Ils y mettaient tout leur corps. » 3- dégradation des tempéraments