Etude Cas Snf

une évaluation macroéconomique et sectorielle s’impose. Elle permettra de dégager les effets potentiels d’une libéralisation totale des échanges commerciaux sur la structure des flux et sur l’activité économique en général. En outre, à travers cette étude, il sera procédé à la mise en évidence du bien fondé du lancement de plans sectoriels notamment dans les secteurs du tourisme et de l’industrie. Ces plans sectoriels sont à même de renforcer l’offre du Maroc en biens et services et profiter au mieux

Programme Cadre de Recherche et Développement Européen PICS: Projet International de Coopération Scientifique (France) PRAD : Projets de Recherche Agronomique pour le Développement PROTARS : Programme Thématique d’Appui à la Recherche Scientifique SNF: National Science Foundation (USA) UCA : Université Cadi Ayyad UFR : Unité de Formation et de Recherche 4 Avant-propos Ce recueil des activités de recherche est édité à l'occasion du 30ème anniversaire de la création de l'Université Cadi Ayyad

Les opportunités du développement de la finance islamique et de la pensée post keynésienne pour penser la réforme du système bancaire : Etude la crise de 2007. Hinda Fadhlaoui Université de Bourgogne / CEMF. Résumé : La crise de 2007 réactualise le débat en matière de refonte systémique. A ce titre, la commission d’experts de l’ONU, réunie à New York sous la présidence de Joseph Stiglitz, met en exergue la nécessité vitale de réformer les systèmes bancaires nationaux pour éviter de nouvelles crises

sociétés, payer les intérêts des emprunts, rémunérer les propriétaires du capital. Ce qui reste, constitue l’épargne qui peut alimenter la trésorerie ou financer les investissements. Une entreprise peut aussi investir plus qu’elle n’épargne, dans ce cas là elle emprunte à nouveau. Les emprunts sont une composante importante dans la part du capital prise dans la VA. Sur une longue période on constate une augmentation de la charge d’intérêts payé par les entreprises 1er choc pétrolier Baisse des profits

une évaluation macroéconomique et sectorielle s’impose. Elle permettra de dégager les effets potentiels d’une libéralisation totale des échanges commerciaux sur la structure des flux et sur l’activité économique en général. En outre, à travers cette étude, il sera procédé à la mise en évidence du bien fondé du lancement de plans sectoriels notamment dans les secteurs du tourisme et de l’industrie. Ces plans sectoriels sont à même de renforcer l’offre du Maroc en biens et services et profiter au mieux

monde, et en conséquence enlever toutes les rémunérations versées par les nationaux au reste du monde. Ici il s’agit bien d’additionner les revenus primaires qui reviennent aux individus ayant la nationalité du pays. En général on distingue dans ce cas-là trois types de pays : Le groupe le plus courant, les pays où le PIB et le RNB sont plus ou moins équivalents (ex : France, Allemagne) Les pays qui reçoivent plus de rémunérations qu’ils n’en versent (RNB > PIB) (ex : Grande-Bretagne) Les pays qui

inéquitable   suite   au   bouleversement   de   l’économie   (théorie   de   l’imprévision).   La   France   refus   cette   théorie.   Il   faudrait   pourtant   quelqu’un  pour  prévoir  un  rééquilibrage.     Ex2  :  Nullité  des  contrats  en  cas  d’indétermination  du  prix.     Ex3  :  En  justice  Etatique,  on  est  véritablement  dans  une  logique  de  gagnant  /  perdant,  le  juge  condamne  à  des   D&I,  prononce  la  nullité  du  contrat  etc.  alors  que  cela  ne  rentre  pas  dans

groupements d’économie. * Secteur financière : gagner de l’argent grâce à de l’argent. Service monétaire.= fournir des services d’intermédiation financière. Les fonds proviennent des engagements financiers et des primes d’assurance pour ce garantir en cas de sinistre : banque, assurance, fond de pension. * Pour différencier les unités d’instit, secteur financiers, der organismes de sécu, on utilise le critère suivant : la liberté  et sinon l’assurance est obligatoire le choix de l’assureur est

diffusion permettant d’assurer une meilleure analyse et, donc, une plus grande transparence. Mais l’harmonisation de l’information doit aussi contribuer à une amélioration de l’image de la banque. L’image des banques n’est, en France, pas bonne ou, en tout cas, n’est pas, sur bien des sujets, le reflet de la réalité. Ceci obscurcit et biaise de nombreux débats, dont certains présentent une importance stratégique. Des efforts doivent donc être faits dans ce domaine, tant par la profession que par les autres

Florence Arestoff* Jézabel Couppey-Soubeyran*** Sabine Mage* Juin 2008 Université Paris-Dauphine * Cette étude a bénéficié d’un support financier de l’Institut CDC pour la Recherche. Nous remercions Isabelle Laudier, Mohamed Fassi-Fehri, Abdesselam Aboudrar, Mohamed Soual, Mhamed Grine, Hamza ElHajoui, Hocine Tanjaoui pour leur soutien et les échanges effectués lors de la réalisation de cette étude. La partie portant sur l’analyse microéconomique de l’épargne a pu être réalisée grâce à l’exploitation