Etude De La Métaphore Des Lumières

Fiche Cours Nº : 91025 FRANÇAIS Toutes séries LE TALENT C’EST D’AVOIR ENVIE Etude d’œuvre : La Bête humaine de Zola Plan de la fiche 1. Une illustration du naturalisme 2. « Fêlure héréditaire » et bête humaine 3. Personnages et crimes 4. Une dimension épique 5. Une force mécanique indifférente 6. Originalité et pessimisme Une illustration du naturalisme Inspiré par Claude Bernard, Hippolyte Taine et par les travaux du Docteur Lucas sur l’hérédité (L’Hérédité naturelle), Zola illustre ici son

Sémiologie vient du grec semei signes que sont les symptômes lise le terme sémiotique, très pr cinéma, peinture, littérature, et des signes (1867), vraiment étu signes visuels. En sémiologie, il faut d’abord bi L’image : Peut être reflet, illus mentale, métaphore. Dans tous communication visuelle, c’est u être associée à d’autres sens : s « Avec un ami, nous c de Ferrante Ferranti. La compagne de mon — « Que faites-vous — « On regarde une f — « On regarde l ’ima Cette anecdote nous rappelle qu’ C’est d’ailleurs

Domaine d’étude : Littérature et débats d’idées. Problématique : Comment, par quel procédé apte à convaincre et persuader, Pascal va-t-il écrire à la fois une apologie (c'est-à-dire un éloge) du christianisme et une anthropologie (une vision, une étude de la condition humaine de la grandeur et de la misère de l’Homme) ? Séance 1 : BLAISE PASCAL « Cet effrayant génie » (Chateaubriand). Un effrayant génie précoce. Il est 1623 à Clermont Ferrand. Il a perdu sa mère à l’âge de trois ans

avec la manière de les interpréter, mais qui soit facilement compréhensible. À l’inverse, Luis de Góngora (1561-1627), éminent représentant du cultéranisme, travaille davantage la forme de ses poèmes qui se caractérisent par un style chargé de métaphores et dont la complexité entoure le texte de confu- sion. Les deux poètes s’installent à la cour de Valladolid en vue de bénéficier du mécénat de puis- sants courtisans, cela dans l’intention de s’élever au sommet de l’échelle sociale et d’exalter

l’étymologie générale admise est le Grec Sumbolon, dérivé du verbe symbollein, il désignait  "les tablettes brisées"  qui servaient de signe de reconnaissance. Mais l'emploi du mot symbole, révèle des variations considérables. L'emblème, la métaphore, la parabole ont en commun d'être des signes. Le signe établit une relation entre signifiant et signifié ; apercevoir des nuages noirs est signe de pluie. A partir d'une réalité matérielle, le symbole renvoie à quelque chose d'abstrait, il

(entend, entrave, bond), la bicyclette, elle, se trouve métamorphosée. La métaphore finale fait naître plusieurs images qui se chevauchent plus ou moins: coursier ailé, sorte de Pégase, dont les sabots jettent des "grappes d'étincelles"? attelage du dieu-soleil, avec ses deux roues pareilles à "deux astres en fusion"? La bicyclette rejoint le domaine du merveilleux, de la mythologie… Un motif dominant et poétique: la lumière. Remarquer la permanence dans le texte du champ lexical correspondant

en se confondant avec le reste des soldats • • « feu » l. 5 « allumer » l.24 « ça brûlait » l.25 « charbon » l.26 « lampe à arc » l.26 « rôti » l.28 • Métaphore filée Allusion de l'enfer Dénonciation de l'horreur et de la violence « ça venait des profondeurs » l.5 « général des Entrayes » l.14 • Accentuation de l'image de l'enfer Étude onomastique « bronchait » l.7 « foireux » l.16 « engueulade » l.20 « la vache » l.24 « mariole » l.27 • Langage familier et argotique Révolte verbale Ressenti

Les origines intellectuelles et culturelles des violences totalitaires Europe, une passion génocidaire, G. Bensoussan La violence nazie, une généalogie européenne, E. Traverso Les anti-Lumières, Z. Sternhell totalitarisme = terme générique utilisé par Mussolini pour parler d’un État total, repris par les politologues. Les origines du totalitarisme, H. Arendt Utilisé par désigner l’Italie fasciste, l’Allemagne nazie, l’URSS stalinienne. Aujourd’hui, prise de distance par rapport à ce terme

puissance des empires Perse et Ottoman fascine la France, donnant naissance au courant orientaliste dans tous les domaines artistiques. Galland introduit la mode en traduisant en 1711 « Les mille et une nuits » bien vite reprise par les philosophes des Lumières pour faire passer leurs idées comme Voltaire dans « Zadig » par exemple. D’Holbach, un des rédacteurs de l’Encyclopédie de d’Alembert et de Diderot semble se situer pleinement dans ce mouvement d’orientalisme philosophique lorsqu’il écrit en 1772

point de vue strictement référentiel, la comparaison relève presque de la géométrie fractale : les caractéristiques d'un élément, reproduites sur un autre plan, restent, analogues ou symétriques... Miroitements sur le référent, comparaisons et métaphores, ce texte n'est donc pas la description qu'il paraît. Le miroitement prend, du point de vue lexical, divers aspects. Ainsi l'alliance terme à terme, dans le syntagme horticulture aquatique (4). On ne peut stricto sensu la qualifier d'oxymore