Etude De Marché Sephora

p.6 CIBLE – IMPLANTATION – ZONE DE CHALANDISE...…………..………….p.12 INSCRIPTION A L’INPI……………………………………………………………..p.13 ANALYSE SWOT……………………………………………………………………….p.14 ETUDE DE MARCHE Générale…………………………………….............. p.15 Client………………………………………..………….. p.18 Concurrence ………………………………………….. p.20 CONCLUSION DE L’ETUDE DE MARCHE…………………….……………….. p.22 Amélioration du produit…………………………………………….. p.22 Fixation des prix……………………………………………..………. p.22 Stratégie de distribution…………………………………………

consommation plutôt basée sur les affinités, sur un mode plus individualiste qui devient un moyen d’expression de soi, la variable de prix conservant tout de même une part importante. La distribution va donc devoir s’adapter en segmentant d’une part des marchés devenus plus complexes, et d’autre par en améliorant les points de vente : Ambiance, accessibilité, praticité des magasins. Ces modifications entrainent le premier pas vers un ré-enchantement de la consommation, phénomène qui dans les années 90 sera

2. Ces deux entreprises sont-elles concurrentes ? Pourquoi ? 3. Comment voient-elles leurs avenirs respectifs ? Thème n° 2 : élaborer une stratégie 85 Dé co uvr ir Chapitre 4 : Définir une démarche stratégique A ppr o fo ndir Ä ÉTUDE I – LA FORMATION DE LA STRATÉGIE D’ENTREPRISE Document n° 1 Qu’est-ce que la stratégie ? • « La stratégie consiste à déterminer les objectifs et les buts fondamentaux à long terme d’une organisation, puis à choisir les modes d’action et d’allocation

marketing 19 1.2.4. Tentation ethnique : difficile d’y résister ! 20 1.3. Les statistiques en France 21 Chapitre 4 : Les produits ethniques en France 22 1.1. L’agroalimentaire 22 1.1.1. Manger comme là-bas 22 1.1.2. Focus sur le marché des produits «  halals » 23 1.1.3. Vers de nouveaux circuits de distribution 24 1.1.4. De nouveaux produits plus spécifiques 25 1.1.5. Changement de comportements alimentaires 25 1.2. Le secteur des cosmétiques en France 26 1.2.1. En

France ........46, 87 G Facebook France Damien Vincent, directeur commercial ........................................113 G Fnac.com Mathieu Staat, directeur marketing .36, 67, 68, 79, 82, 94, 104, 107 G Go Voyages Service Victor Aumaitre, responsable marché France..................60, 99, 110 G Groupe Beaumanoir Erick Bourriot, responsable internet, e-commerce & CRM ..............................................34, 48, 61, 71, 84 G Groupe Seloger.com David Labrosse, directeur marketing..............

point de me confier des dossiers importants quʼelle était amenée à gérer. Enfin, je remercie lʼISTEC, qui nous permet chaque année de réaliser un stage en Entreprise. Ces stages nous apportent une expérience valorisante avant même dʼêtre sur le marché du travail. Ils nous permettent dʼévoluer, de grandir aux côtés de professionnels passionnés et avides de transmettre leur savoir. Ces stages nous permettent également de prendre le temps du choix du domaine professionnel dans lequel nous souhaitons

partie d’un univers qui a une place unique dans notre société de consommation: le marché du Luxe. Créateur de Rêve et de Magie, ce monde est animé par des magiciens plus communément appelés créateurs, qui laissent libre court à leur créativité pour partager la sphère dans laquelle ils évoluent. Parmi tous ceux qui ont réussi à faire briller leur micro-univers, Christian Dior est l’un des plus célèbres. I- Le marché du Luxe 1- Quelques chiffres Il est très difficile d’obtenir des

L’essentiel sur le marché du Luxe Le paysage Les galaxies : la reprise des grandes manœuvres Le monde compte 10.9 millions de millionnaires selon le 15è World Wealth Report de Merrill Lynch Global Wealth Management et Capgemini. Les marchés Luxe et Inde : des affinités historiques Le champagne, rituel festif incontournable Barons de Rothschild : une stratégie d’exclusivité Les tendances marketing Mode : la nouvelle génération met la création au service du business 2011, un excellent millésime

2. L'évolution de la relation commerciale : → 1945/1965 : supériorité du fournisseur. L'offre est ici inférieure à la demande. Les prix étaient élevés (peu de concurrence). → 1965/1975 : conquête du marché. Pas de concurrence. On a une faible augmentation de la demande et des parts de marchés. Le client devient exigeant (nouveautés). → 1975/1985/1990 : tendances. La concurrence est accrue. Les entreprises favorisent leur image, veulent être les meilleures. Vers 1984, on a un essoufflement de

Marketing Spécifique – Etude du cas des soins Concevoir et développer un concept de courte ligne de Soin Yves Saint Laurent permettant de définir l’image de YSL pour les années 2010, tout en développant un nouvel axe de soins. Faire des choix en terme de concept cosmétique pour repositionner son image, ouvrir un nouvel axe de développement cosmétique international, augmenter son chiffre d’affaire et apporter une vision Yves Saint Laurent au monde de la cosmétique. Introduction 2 I. Analyse