Etude De Marché Yves Saint Laurent

Le marché des vins aux Etats Unis Répertoire des importateurs de vins pouvant marquer un intérêt pour l’offre française Tome I par la Mission Économique de New York Novembre 2008 Document réalisé par le pôle agroalimentaire des Missions Économiques aux Etats-Unis : S. Nguyen (NYC), M. Cambon (NYC), MH Crouhade (Houston), P. O’Sullivan (SF), A. Rypinsky, (SF) F. Candoulives (Atlanta) revu par Hervé Ochsenbein, E. Puissant et E. Duchêne MISSION ECONOMIQUE DE NEW YORK 810 Seventh Avenue, 38th

grâce en particulier à ses implantations en Amérique et en Inde. Dans les métiers de structures, Freyssinet a connu une activité égale à celle de 2008, portée par des commandes et des projets lancés antérieurement. Nuvia est restée sur la lancée des marchés prometteurs du nucléaire. Les résultats se sont maintenus à un bon niveau, à 5 % de résultat opérationnel, montrant une bonne capacité de résistance dans l’ensemble des métiers. Les efforts d’adaptation et de restructuration nécessaires ont en outre

précieux sésame en édition limitée, mais aussi de nouveaux consommateurs moins avertis ou cultivés. La principale évolution de ces chaussures aux lignes sportives est que non contentes d’être sorties des stades, elles continuent de monter une à une les marches de la hiérarchie textile. L’industrie du luxe s’affirme de plus en plus comme le point culminant de cette longue ascension. Toutes les maisons de couture revisitent la sneaker, à l'image par exemple de PRADA, DIOR, GIVENCHY, MARGIELA HERMES ou

ORGANISATION INTERNE 4 SA MISSION 5 SES VALEURS 5 SA STRATEGIE 5 PARTIE 2 : MACRO-ENVIRONNEMENT 6 ANALYSE DU SECTEUR MONDIAL DU LUXE 6 ANALYSE PESTEL 8 PARTIE 3 : INDUSTRIE 11 Le modèle des 5 forces de Porter 11 PARTIE 4 : MARCHE/CONCURRENCE 14 PARTIE 5 : CAPACITES STRATEGIQUES 16 Présentation des DAS du groupe LVMH 16 Les avantages concurrentiels 19 PARTIE 6 : ANALYSE SWOT DE L’ENTREPRISE 20 PARTIE 7 : LES PARTIES PRENANTES 27 PARTIE 8 : STRATEGIES GENERIQUES

Le regard de Plantu Culture Le mécénat d’entreprise en pleine crise U ne chute de 63 % en deux ans : entre 2008 et 2010, le budget consacré par les groupes privés au soutien de la culture est passé de 975 millions d’euros à 380, selon une étude de l’institut CSA. La crise financière ne suffit pas à expliquer ce désintérêt. Les entreprises semblent désormais plus enclines à financer des projets sociaux, humanitaires ou environnementaux.Certaines institutions, notamment dans le spectacle vivant

D’ADMINISTRATION Président : Vice Président : Vice Président : Secrétaire : Trésorier : Trésorier adjoint : Administrateurs : Guy PARTAGE Xavier CAÏAZZO François-Xavier DEWAVRIN Brigitte STEINER René LAQUET Yves REPETTO Jean-Louis ADROGUER Bruno BORETTI Jean-Pierre BRUN Emmanuel CHARBONNEL Laurent CURA Patrick PAPPALARDO Association des Entrepreneurs du Territoire Vitrollais Association loi 1901 100 boulevard de l’Europe - 13127 VITROLLES Tél. : 04 42 89 02 02 - Fax : 04 42 89 71 93 Site : www.vitropole

pour estimer les différences entre ses coûts et ceux des concurrents. Si c’est la part de marché locale qui commande les coûts logistiques et si le concurrent a une forte part de marché, il est probable que celui-ci possèdera pour cette activité créatrice de valeur un avantage par les coûts. Si la firme peut estimer la courbe unissant l’échelle aux coûts logistiques, la différence entre les parts de marché offre un moyen d’estimer la taille du désavantage de la firme. Généralement, une firme peut

l’élargissement de l’assiette de la taxe. Le problème est que les sites industriels les plus émetteurs de gaz à effet de serre sont déjà couverts par le système européen des quotas d’émissions. Au-delà de leurs quotas, ils doivent se fournir sur le marché européen des permis, dont le prix de la tonne a varié entre 8 et 32 euros. En deçà, ils ne devaient rien débourser jusqu’en 2013, puis payer graduellement jusqu’en 2027. Sauf que la Commission européenne vient de publier le 5 janvier une longue liste

clients et prêtant de l’argent à d’autres. Pourtant, totalement impliquée dans la globalisation économique et financière, la banque n’a eu de cesse d’évoluer avec son contexte économique et politique : relation avec ses clients, consœurs, autorités, marchés et commanditaires (actionnaires/salariés/investisseurs/sociétaires) quelle que soit son implantation dans le monde. La banque est une entreprise à part entière doublée d’une entreprise à fortes spécificités. Depuis plus de 50 ans, avec l'essor

s'embrouillent. Plus ce que l'entreprise dit est technique et abstrait, plus elle semble croire que c'est convaincant : elle use et mésuse de cette linguistrerie 1. Sa langue de bois est une glose immuable à propos du réel. Certes, des mécanismes sont en marche, mais ils avancent de façon inexorable et figée, ce qui donne à penser que personne n'est impliqué : « Une cellule de veille est mise en place », «Un programme d'information est élaboré », « Un bilan est établi ». Aussi, on pourrait croire qu'en entreprise