Etude Incipit L Etranger

FRANCAIS SEQUENCE 3 : NOUVELLES FANTASTIQUES DU 19E SIECLE - étude de nouvelle, définition de ce genre et de ce registre. Révision des outils d'analyse du recit (point de vue, personnage...) Figure du vampire traditionnelle (etude du film Morse ) → ecriture d'invention a partir du film. Séance1 : Vera, Villiers de l'île d'Adam (1874) La comtesse Vera meurt et son mari, qui l'aimait passionnément, se mets a vivre isolé et comme si sa femme existait toujours. Au bout d'un an, le jour

apparentés, Zola a cherché à appliquer la méthode expérimentale à la littérature en s’appuyant sur une documentation minutieuse. Le roman conte les amours adultérines et meurtrières de Thérèse et de Laurent. Dans le texte soumis à notre étude, qui constitue l’excipit du roman, les amants devenus époux se donnent mutuellement la mort sous les yeux de Mme Raquin, mère du mari assassiné qui peut enfin vivre sa vengeance. Nous nous demanderons ainsi comment par cet excipit Zola moralise son

RAPIDE ETUDE DE CONTOURS DU JOUR QUI VIENT de Léonora MIANO (2006) Références : édition Pocket Les guillemets renvoient à l'oeuvre ou correspondent à des paroles de l'auteur pendant une rencontre avec plusieurs classes de première à Vannes en mars 2009. Résumé : Prélude : absence Musango est une petite fille africaine qui raconte comment sa mère l'a abandonnée trois ans plus tôt à l'âge de 9 ans, la prenant pour un « enfant-sorcier » sous l'influence d'une vieille femme, Sésé. Le père est

d’étude : - étude des genres et des registres -notions d’histoire littéraire et culturelle -réflexion sur l’intertextualité et la singularité des textes littéraires Problématique : Dans quelle mesure le personnage de Meursault incarne-t-il la vision du monde absurde de Camus ? Séance 1 : Présentation de l’auteur et de l’œuvre ; notion d’absurde Séance 2 : LA n°1 : l’incipit, de « Aujourd’hui… » à « deux heures de route ». Prolongement : comparaison avec un/deux autres incipit Séance

Maupassant (éd. Folio) Plan de la séquence (chaque séance est de 2h) : |S. 1 |Recherches au CDI : le réalisme, le naturalisme et Maupassant. | | |Extrait n° 1 : incipit de Bel-ami : le cadre spatio-temporel, le portrait du personnage. | |S. 2 |Fin de l’extrait n° 1 | |

place dans la famille : la dernière . Rôle passif , se contente d'écouter . Dernier paragraphe sur Pangloss : peronnage clé ? Explication du sous-titre . Matière fourre-tout . Mélange métaphysique (réflexion sur la connaissance de l'être ) théologie (étude portant sur la religion) et cosmologie (science qui étudie l'univers sa structure ...)et conclue par « nigologie » : la science des nigauds . Critique les philosophes comme Leibniz qui veulent englober science et religion . Pangloss est un faux philosophe

penser a la mort. Les êtres se comportent suivant des facteurs qui les déterminent, ils ne sont que des produits de leur condition humaine. Zola donne dès l’incipit l’explication de ce qui va suivre. Axe 1 : Une description réaliste d’un lieu étrange, le passage du Pont Neuf * Une description réaliste et minutieuse : -Le lieu (adverbes et prépositions rythment la description, noms des rues…) -L’apparence (vitres, dallages) -Les boutiques -Les boutiquiers -Les passants * Sentiment

nous avons déjà citée plus haut) et qui semblent en pleine ascension vers la reconnaissance et l’intérêt académiques, on n’entend parler d’« imaginaire » qu’au détour d’une parenthèse, ou au titre de catégorisation vulgaire et préliminaire à une étude plus poussée d’un unique genre compris dans ce vaste champ. Qui s’intéresse à la fantasy, qui à la science-fiction, qui au fantastique… Mais personne ne semble regarder, hélas, du côté de ce que nous voudrions considérer comme leur hypergenre.

la censure ; allusion masquée, avec titre oriental, au Garde des Sceaux et à Crebillon, le censeur royal. Ironie « se faire passer pour », « malgré moi » ; lien logique qui ne fonctionne pas : « ainsi ». « ouvrage détestable » : antiphrase. • Etude de l’épître dédicatoire. = Captatio bene volontiae = séduire le lecteur. Rhétorique de l’éloge et de la flatterie : dans la tradition de l’épître ; parodie avec les images poétiques : topoï de la beauté. Bénédiction finale. Elle est exceptionnelle

léopard, chat-tigre, ocelot, car le tableau rencontre bien sûr le roman. La gueule ouverte de l’animal est impressionnante car on ne sait ce qu’il regarde, mais le lecteur admire un paysage qui s’apparente à celui que l’on trouve dans les contes, étrange avec ses nuances de verts et de jaunes, aplati, digne d’une tapisserie. La fourrure du tigre prend place dans cette beauté, au milieu des fleurs que l’animal respecte puisque aucune d’elles n’est écrasée. Nulle trace d’agressivité dans le corps