Eudes de Metz

permit grâce a un climat de paix. Parmi les villes édifiées sous les mérovingiens certaines ont été des capitales qui on eu des positions stratégiques importantes comme par exemple Paris après la victoire de Vouillet sur les vizigotes. La ville de Metz qui devient au 8eme siècle une des premières villes du royaume, elle a une importance politique par l’édification de nombreuses églises. La fonction spirituelle au sein de l’église devient primordiale et il y a foisonnement des lieux de culte au sein

d'un wâli Les musulmans imposent aux habitants, chrétiens et juifs, le statut de « dhimmi » qui les autorise à pratiquer leur religion d’une manière strictement encadrée et leur impose de payer un tribut[13]. En 721, les Arabes sont défaits par Eudes aux portes de Toulouse et Al-Samh trouvera la mort et l'armée musulmane bat en retraite. Ambiza succède à Al-Samh. En 725, Carcassonne et Nîmes sont prises, puis les Sarrasins commencent à remonter le Rhône. Les arabes pénètrent à Avignon et arrivent

lourde de France. La faïencerie, la verrerie, la glacerie ont su conserver leur ancienne réputation. Le seul centre français de lutherie, dont la renommée remonte au XVIIe siècle se trouve à Mirecourt. Les deux grandes villes de la Lorraine sont Metz et Nancy. Metz est la capitale, centre industriel (brasseries, chaussures, ateliers de chemins de fer, métallurgie, constructions électriques) et la principale place commerciale de la Lorrain. Nancy doit à sa position de carrefour d’être le centre politique

le thème gaulois Lugu-. Rev. celtique X (1889), 238-243. 986. R. DORANLO, Les lieux-dits La Trigale. Bull. de la Soc. des Antiquaires de Normandie XXXIV (1919-20), 406-411. 987. F. DOSDAT, Les Mandre. Nos traditions, organe du groupe folklorique de Metz II (1939), 39-51. 988. G. DOTTIN, Brica, Briga et Briva. Rev. des Etudes anciennes IX (1907), 175-180. 989. G. DRIOUX, Sur le nom d'Aqueranda. Rev. des Etudes anciennes XXXI (1929), 358. 990. H. DUBLED, "Allodium" dans les textes latins du Moyen Age

suite nécessaire en fut la révolution parisienne du 4 septembre 1870. L'empire s'écroula comme un château de cartes, la république fut de nouveau proclamée. Mais l'ennemi était aux portes : les armées impériales étaient ou enfermées sans recours dans Metz, ou prisonnières en Allemagne. Dans cette extrémité, le peuple permit aux députés parisiens de l'ancien Corps législatif de se constituer en « gouvernement de la Défense nationale ». Il le permit d'autant plus volontiers qu'alors, afin d'assurer la

propriété privée du roi qui en dispose à son gré. À son décès, ses fils se le partagent comme tout autre bien. Cet usage aboutit naturellement au morcellement du regnum Francorum (≈ royaume des Francs), durant deux siècles, avec les royaumes d’Austrasie (Metz), de Neustrie (Orléans), d’Aquitaine (Toulouse) et de Bourgogne (Lyon). Pour gouverner, le roi est assisté des grands (laïques et ecclésiastiques), à la tête desquels le “maire” du Palais (major domus) [d’Austrasie, de Neustrie…] (ci-après **). Signalons

fait, sauf exceptionnellement, aux dépens de la Maison d’Autriche (Habsbourg), d’Espagne ou d’Autriche : - En 1559, au Traité du Cateau-Cambrésis, le roi se fait reconnaître le droit à occuper militairement, à titre de garantie, les Trois-Évéchés (Metz, Toul et Verdun). Accessoirement, la France vient de récupérer Calais prise par les Anglais en 1347, mais les Espagnols n’y reconnaissent la souveraineté française qu’au traité de Vervins, en 1598. - En 1601, Henri IV négocie avec le duc de Savoie

monarchique, qui connaît, à nouveau, les plus graves difficultés durant la guerre de Cent Ans (14e-15e s.). § 1. La mutation féodale (10e et 11e siècles). En 888, les Grands assemblés à Compiègne n’ont pas proclamé roi l’héritier carolingien, mais Eudes, comte de Paris, qui, comme son père Robert le Fort, s’est illustré dans la lutte contre les Normands : pendant un siècle, Carolingiens et Robertiens vont alterner sur le trône. Parallèlement, les grands du royaume — les « princes territoriaux »1

la seule source de richesse. Le pouvoir central était incapable de résister aux invasions qui se multipliaient. Les Scandinaves а l’ouest ont acquis la Normandie, Les Sarrasins (Arabes) se sont approchés de Paris en 886. (Ils ont été arrкtés par Eudes. A la fin du IX siècle le royaume n’était plus qu’une poussière de plus de 300 comtés quasiindependants. LES CAPETIENS En 987 un descendant d’Eudes, Hugues Capet fut élu roi. Il est considéré comme fondateur

») D'un point de vue politique, l'Augustinisme politique est dominant. Il appelle à la « subordination » de l’Etat à l’Eglise, mais aussi par corollaire, limite le pouvoir du roi. ème Thierry de Théodebert (royaume d’Austrasie, capital Reims puis Metz, 6 siècle) traduit cette pensée de l’époque qui, comme son nom l'indique, puise dans le pensée de Saint Augustin : « Le souverain bien pour les rois est de cultiver la justice, de conserver à chacun ses droits et de ne pas abuser du pouvoir à